Ma Terre

Ma Terre,

je t'ai vu belle,

comme une femme,

que l'on embrasse a la pelle ,,,

en me cultivant un peu,

j'ai usé de « mots' ho culteur ! » ,,,

alors maintenant, je peux raconter, des salades ,,,

écrire des contes ou des navets ,,,

ou simplement vous dire, l'histoire de « l'Are » ,,,

Ma terre,

argileuse, quant tu reste imperméable, a nos larmes,

marécageuse, dans le bourbier de nos idées noires ,,,

terreau de vie, dans tes parcelles de morts ,,,

La musique est là, dans tes décompositions ,,,

Ma terre-nelle, dans nos hareux d'infini ,,,

dans cette marelle, en jouant jusqu'au ciel,

l'Homme sait qu'il est fini ,,,

Alors, comme a notre venue,

vient le temps, de notre dernier cri ,,,

la vie est une colère, où la mort,

nous fout la paix ,,, 

il y a 41 minutes, Good Venins a dit :

la vie est une colère, où la mort,

nous fout la paix ,,, 

 

Je peux te piquer ça? En te citant bien sûr! Pour mettre sur mon sujet "Quand le Rose a des reflets de Blue" (titre piqué à Bashung)

J'y mets les petites phrases, comme celle-ci qui me réveillent l'âme et me ravissent la gamberge.

En la lisant, cette conclusion si percutante, je me suis dit "tiens, plutôt que "colère", "guerre" aurait offert une sorte d'oxymore décomposé idéal entre "guerre" et "paix". Mais ta "colère" est juste...juste!

il y a une heure, Elfière a dit :

Il y a 2 heures, Good Venins a dit :

la vie est une colère, où la mort,

nous fout la paix ,,, 

 

Je peux te piquer ça?

bonsoir,

Oui, pas de problèmes

a bientôt .

Il y a 1 heure, Good Venins a dit :

comme une femme,

que l'on embrasse a la pelle ,,,

C'est très pertinent cette poésie! Ne dis-t-on pas lorsqu'on embrasse une femme qu'on lui roule une pelle ? 

Belle poésie

En dehors de toute hérésie

La terre est si belle

Comme certaines femmes, oui.

Mais la terre, inouïe,

Se retrouve face à l'irréel..

Comme l'Homme face à l'infidélité

Plein de haine inexpliquée,

Incomprise et incompréhensible

Qui lui donne une peur terrible

De n'être rien, qu'une particule

Qu'un peu de carbone qui brule

Se consume et meurt

Quand la nature demeure.

Il y a 13 heures, Petitpois a dit :

Belle poésie

Belle poésie, ma fois…

Bravo Petitpois, j’apprécie et j’admire la qualité de votre exercice poétique, tout en ayant conscience que c’est une corde que je ne possède pas à mon arc, celle d’écrire des vers… 

Il y a 6 heures, Enchantant a dit :

c’est une corde que je ne possède pas à mon arc, celle d’écrire des vers… 

Les circonstances de ce texte sont un peu spéciales, je l'ai écrit d'un seul jet, juste avant de le mettre en ligne ... je faisais une recherche

internet, sur le chanteur Pierre Vassiliu, je savais qu'il était mort, sans connaître les circonstances, et j'ai vu un reportage sur sa fin de vie ...

(Alzheimer, je crois) .  Mon sentiment premier fut un mélange de tristesse et de sérénité, de le voir "redevenir" aussi fragile qu'un enfant ...

d'où l'orientation, vers cette conclusion, ou j'ai réalisé que l'on venait au monde en criant, jusqu'a son dernier cri ... (jamais content ...) .