Il sait

L’acquis qu’on s’appoprie, qu’on adopte, convaincus qu’il nous sera utile, il se présente sous plusieurs formes, une idée, un savoir faire, une propagande... il nous vient d’ailleurs, pourtant si familier, on y vois du sens, une évidence, souvent par constat ou par espérance... plus on en a plus on gagne en débats, il en sait des choses, un intell...oh ! Un tel niveau, mérite du respect, l’exemple en société, il est cultivé, il faut l’écouter... à réciter? Une vie à assimiler des faits, collectionner des œuvres de romanciers, retenir des dates de décès,  en politique en botanique en mécanique il sait de tout, il sait beaucoup, en quantités.

Il y a 1 heure, dida12 a dit :

L’acquis qu’on s’appoprie, qu’on adopte, convaincus qu’il nous sera utile, il se présente sous plusieurs formes, une idée, un savoir faire, une propagande... il nous vient d’ailleurs, pourtant si familier, on y vois du sens, une évidence, souvent par constat ou par espérance... plus on en a plus on gagne en débats, il en sait des choses, un intell...oh ! Un tel niveau, mérite du respect, l’exemple en société, il est cultivé, il faut l’écouter... à réciter? Une vie à assimiler des faits, collectionner des œuvres de romanciers, retenir des dates de décès,  en politique en botanique en mécanique il sait de tout, il sait beaucoup, en quantités.

Le sage est avant tout sûr qu'il ne sait pas, qu'il ne peut pas savoir, et peut-être, qu'il n'y a rien d'utile à savoir.

Le savoir est une richesse pour l'esprit, un certain esprit, celui qui se nomme lui-même "moi", même si ce moi revêt de multiples costumes aux multiples couleurs.

Malgré cela il y quelque chose qui est souvent confondu avec le savoir. Quelque chose qui n'est pas réfléchi, mais spontané, quelque chose qui ne peut être stocké et revendiqué, quelque chose d'éphémère qui a le parfum des étoiles. Quelque chose qui n'intéresse pas l'esprit du "moi" et qui nous lie au monde, de bon gré ou non.

Le sourire de pierre.

Toute pierre retient en son cœur mille secrets,

Et ce sculpteur en extirpe un visage farouche,

Et cet autre en libère un d’une grande beauté.

Chaque sourire, chaque nez et chaque bouche,

Nous parle d’une terre et d’un ailleurs inconnus.

Toute pierre cache une âme dans sa profondeur,

Une infinité de lèvres, de mondes, et de corps nus.

Une infinité de paires d’yeux, de peaux sans chaleur

Il y a tant de mondes et de regards où l’on se perd

Et tant de messages que des bouches closes

Livrent en silence à celui-là seul qui espère

S’unir à l’âme du jardin et au cœur de ses roses.

Juan.

Non, l’on ne s’approprie pas l’acquis. Il s’impose à nous. Et l’on y réagi différemment selon ce qu’à été son innée.

Il y a deux manières d'acquérir cet acquis.

Soit une manière purement passive. L’on enregistre mécaniquement, instinctivement, ce que l’on voit, entend ou lit. Le cerveau en enregistre ce qu’il estime être intéressant et le stocke en mémoire. Il le ressortira, en tout ou en partie, lorsqu’il estimera que cela est nécessaire ou bénéficiaire, au porteur du cerveau concerné.

Soit une manière active. Elle note tout ce que le cerveau a enregistré de positif et l’utilise pour pousser le porteur du cerveau concerné à améliorer et peaufiner ce que l’acquis a apporté. Et à améliorer la qualité du message et de l’apport reçu par l’acquis. Au coup par coup.

Mais cette seconde possibilité est gérée par la qualité et la quantité de possibilités que l’innée a mis à la disposition de la personne concernée. Par son QI.

La manière passive est propre à la très grande majorité de nos concitoyens.

La manière passive est propre à une petite, très petite, partie de dits concitoyens.  

Mais dans les deux cas, et pour le principal, l’individu concerné n’est pour rien dans cette affaire.

Les choses se sont jouées ailleurs et en dehors de lui. Il n’en est que le réceptacle.

Et la suite pour l’intéressé, pour l’essentiel, dépendra d’un mix des deux éléments de départ, de l’environnement, et du simple hasard.    

Le 26/07/2024 à 13:49, Témoudjine a dit :

Non, l’on ne s’approprie pas l’acquis. Il s’impose à nous. Et l’on y réagi différemment selon ce qu’à été son innée.

 

Il y a deux manières d'acquérir cet acquis.

 

Soit une manière purement passive. L’on enregistre mécaniquement, instinctivement, ce que l’on voit, entend ou lit. Le cerveau en enregistre ce qu’il estime être intéressant et le stocke en mémoire. Il le ressortira, en tout ou en partie, lorsqu’il estimera que cela est nécessaire ou bénéficiaire, au porteur du cerveau concerné.

 

Soit une manière active. Elle note tout ce que le cerveau a enregistré de positif et l’utilise pour pousser le porteur du cerveau concerné à améliorer et peaufiner ce que l’acquis a apporté. Et à améliorer la qualité du message et de l’apport reçu par l’acquis. Au coup par coup.

 

Mais cette seconde possibilité est gérée par la qualité et la quantité de possibilités que l’innée a mis à la disposition de la personne concernée. Par son QI.

 

La manière passive est propre à la très grande majorité de nos concitoyens.

 

La manière passive est propre à une petite, très petite, partie de dits concitoyens.  

 

Mais dans les deux cas, et pour le principal, l’individu concerné n’est pour rien dans cette affaire.

 

Les choses se sont jouées ailleurs et en dehors de lui. Il n’en est que le réceptacle.

 

Et la suite pour l’intéressé, pour l’essentiel, dépendra d’un mix des deux éléments de départ, de l’environnement, et du simple hasard.    

 

Du savoir ou ça voir?

Le savoir est acquis, savoir est un prossecus, privilégier l’un ou l’autre dépend de ce que l’on estime prioritaire, essentiel...

L’acquis se présente à nous, nous le mémorisons de manière instinctive, puis nous décidons de l’adopter ou d’en faire usage ou pas en fonction de ce que l’on souhaite nourrir, développer...

Il y a 19 heures, dida12 a dit :

Le savoir est acquis, savoir est un prossecus, privilégier l’un ou l’autre dépend de ce que l’on estime prioritaire, essentiel...

L’acquis se présente à nous, nous le mémorisons de manière instinctive, puis nous décidons de l’adopter ou d’en faire usage ou pas en fonction de ce que l’on souhaite nourrir, développer...

C’est nettement plus complexe que tu ne le décris.

ll est évident que le savoir ne peut qu’être acquis. Sinon il appartiendrait à l’innée.

Mais l’on ne privilégie pas l’un ou l’autre. Du moins pas volontairement.

L’innée est ce qu’il est, et l’on ne peut pas agir sur ce qu’il est. Mais il y a deux manières de l’utiliser. Et cela dépend seulement du degré d’intelligence brute de la personne concernée. De l’intelligence apportée par l’innée. Le mot « Intelligence » étant utilisé là dans le sens de capacité.  

Pour la majorité des gens, plus des neuf dixièmes au premier niveau, cet innée sera utilisé lorsque les circonstances le demanderont, mais brut de coffrage. Tel qu’il est perçu au premier degré par la conscience, et accessoirement également par l’inconscient, de l’individu. Mais cela ne concerne que l’écume de la chose.

Pour une petite minorité de la population, il y aura une intervention supplémentaire de l’innée qui, inconsciemment de sa part, incitera l’individu à la prise de conscience que cet acquis est perfectible.  Et qui amènera l’individu à se livrer à des efforts psychiques conscients ayant pour but d’améliorer cet acquis.

C’est l’inconscient de l’individu, poussé par l’innée, et si ses capacités cérébrales innées sont suffisantes, qui amènera sa conscience à l’envie de chercher lui-même, instinctivement, comment améliorer son acquis. D’où des réactions psychiques qui au bout du processus agiront sur les circuits synaptiques. Avec dans un premier temps des effets mnésiques instinctifs, qui auront pour but d’améliorer lesdits réseaux synaptiques. Donc les capacités que les neurones retireront de ces améliorations.

Et l’individu en retirera une amélioration de ces capacités cérébrales, mais seulement si cet innée était suffisant pour amener l’individu à agir psychiquement sur ses capacités acquises.