le puit

Le puit :

-          Je dois coute que coûte le vendre, sinon, nous nous retrouverons sur la route et nous n’aurions rien à manger.

Sa femme, était paniquée, elle ne croyait pas ce qu’elle entendait, son mari est surement devenu fou.

-          Mais homme tu sais ce que tu fais, tu vends un puit qui te rapporte toute ta nourriture. L’eau que tu vends est notre subsistance Va chercher un travail au lieu de vendre une caution pour nous deux et nos deux enfants.

Il sortit de la maison décidée à vendre son puit, ou peut-être qu’il avait déjà trouvé L’acheteur, car il frappa sur une porte avant qu’un homme ne se dessine sur l’entrée. Un jeune homme beau paraissant en très bonne santé, contrairement à notre maigrichon, avec une barbichette qui nous rappelle Baphomet. De loin ils paraissent discuter cordialement pour se serrer la main ensuite et se séparer enfin. Une bonne poigne de main qui est gage d’un accord. Notre maigrichon rentra à la maison tout content, il paraissait avoir fait une bonne affaire. Il se réserva la surprise pour sa femme, car un bon pactole va tomber dans ses mains. Ce jour-là plutôt cette nuit, sa femme avait gouté aux plaisirs qui l’avaient longuement quitté. De bon matin pour que son mari retrouve ses forces, elle lui servit du miel d’abeille. Puis il se leva souriant, ouvrit le placard de la cuisine pour y extraire parmi toutes ces ustensiles, une enveloppe qu’il posa sur la table. La femme intriguée, n’osa point lui demander, ce qu’il y avait dans cette enveloppe, mais lui souriant, pensant faire une bonne surprise à sa femme, il lui demanda de deviner son contenu. Elle resta pétrifier n’osant point répondre, son cœur battait la chamade, non à cause de cette belle nuit d’amour, mais elle avait senti que son mari avait vendu le puit. Ces nerfs, l’avaient rendu tellement fragile qu’elle tomba sur une chaise, pour cacher son visage entre ses mains et pleurer, elle pleura, pleura, jusqu’à épuiser toutes les larmes de son corps.

-          Pourquoi tu pleures lui demanda candidement son mari.

-          Elle ne répondit pas, puis elle dit ‘’oh, mon Dieu.

Puis elle courut dehors pour se perdre dans les méandres des ruelles du village. Son mari courut derrière elle mais ne put la rattraper. Il revint dans sa cabane, fixa longuement son enveloppe, pour la remettre dans une sorte de bourse en cuir qu’il cacha dans une fente de son pantalon. Le lendemain pour faire sa toilette, il sortit de la maison, se dirigea vers le puit pour remplir deux sceaux d’eau. Il remplit le premier, et il était sur le point de remplir le second quand le nouveau propriétaire sortit et héla de loin pour que son voisin l’entende, mais quand il a vu que son voisin ne préta pas attention à ce cri, il courut vers lui.

-          Qu’est-ce que tu fais ? avait demandé le nouveau propriétaire du puit ?

-          Je remplis de l’eau répondit son voisin.

-          Je vois bien que tu remplis ton sceau, ne m’as-tu pas vendu le puit ? et ne t’avais-je pas remis une enveloppe, demanda rageusement le nouveau propriétaire.

-          Oui c’est vrai je t’ai vendu le puit, et tu m’as payé, mais l’eau qui s’y trouve m’appartient, je ne t’ai vendu que le puit, avait répliqué le voisin.

-          Quoi ?!

Il était tellement en colère qu’il ne savait plus quoi répondre, et dans ces moments de colère où le cerveau s’embrouille et ne peut plus réfléchir, ce sont les muscles qui remplissent le vide. Il sauta sur le maigrichon pour le prendre par le cou, prêt à le tuer, mais heureusement pour les deux, les voisins ont accouru pour les séparer. Et l’affaire se retrouva devant la justice.

Chacun des deux antagonistes avait exposé sa vision de cette histoire, et c’était au tour du juge de donner son verdict.  Il s’adressa au vendeur en lui disant :

-           Puisque l’eau t’appartient et le puit appartient à l’acheteur, tu dois par conséquent payer le droit d’extraire de l’eau du puit de l’acheteur et c’est ainsi que chacun trouvera son compte. Et puisque tu as perdu ton procès tu dois remettre une somme au nouveau propriétaire du puit.

Puis il s’adressa au nouveau propriétaire

-          Quant à toi, tu dois payer pour avoir agressé ton voisin

Le voisin sans sa femme qui avait rejoint ses parents, avec ses enfants, n’avait plus aucun sou. Il s’est retrouvé pauvre jusqu’à mendier sa subsistance devant sa maison qu’il avait aussi vendu, après avoir voulu jouer un tour à l’acheteur, le tour du clou de Jéha, mais le propriétaire avait enlevé le clou.

Un puitS avec un s même au singulier. Désolée mais vu que c'est le point central du texte, c'est mieux si c'est écrit correctement 

Il y a 8 heures, titenath a dit :

Un puitS avec un s même au singulier. Désolée mais vu que c'est le point central du texte, c'est mieux si c'est écrit correctement 

Bonne remarque , un" littéraire"qui se plante  , c'est pas sérieux là.

Ou alors qu'il embauche un "nègre". 

Il y a 9 heures, titenath a dit :

Un puitS avec un s même au singulier. Désolée mais vu que c'est le point central du texte, c'est mieux si c'est écrit correctement 

Et c'est aussi le titre du sujet de discussion, donc très visible dès que l'on accède au forum. D'ailleurs, l'orthographe de tous les titres des sujets du forum ne devraient-ils pas être systématiquement corrigés en cas de faute(s) d'orthographe ? En août dernier, on pouvait lire le sujet intitulé: "Tirade des nez vu par Edmond Rostant" (tirade vue par, et Rostand massacré).

Il y a 12 heures, titenath a dit :

Un puitS avec un s même au singulier. Désolée mais vu que c'est le point central du texte, c'est mieux si c'est écrit correctement 

C’est vrai j’ai fait une erreur, mais parmi vos écrivains dans ce forum, qui sont français ils en font des tonnes. Vous n’osez jamais leur faire la moindre des remarques. Ça m’interpelle ce genre de deux poids deux mesures, surtout que vous êtes animatrice. 

il y a 49 minutes, diffn a dit :

Vous n’osez jamais leur faire la moindre des remarques.

Si si, mais en général je ne lis jamais les trucs littérature, sauf que là c'était dans le titre donc particulièrement flagrant.

Bon c'était juste à vocation de progression (d'ailleurs mon message était plutôt bienveillant), mais je comprends que tout le monde n'ait pas envie de s'améliorer

il y a 36 minutes, titenath a dit :

 

 mais je comprends que tout le monde n'ait pas envie de s'améliorer

 

Procès d’intention, d’une animatrice à un pauvre algérien qui vient tout juste d’apprendre le français. Ce qui me chagrine est que je suis entrain de sentir un sentiment de rejet par des personnes qui me prêtent justement ce genre de procès, il faudrait que mes idées n’écorchent pas leurs oreilles trop fragiles, sinon c’est la levée des boucliers.

Il y a 3 heures, Gepetto a dit :

Bonne remarque , un" littéraire"qui se plante  , c'est pas sérieux là.

Ou alors qu'il embauche un "nègre". 

Je souhaite que mon nègre soit Geppeto, je pense qu’il a inventé le français, un puits avec s ce n’est pas tout le monde qui peut le savoir, mais Geppeto si, d’ailleurs je pense que tu as des problèmes avec justement ces ‘’s’’ Gepetto

 Faut la voir en réalité sans artifice et des fois tu tombe (verbe tomber prend un s avec la deuxième personne du singulier

Mercredi , tu va être servi sur un plateau  (tu vas)

alors tout le monde peut se gourer surtout en orthographe, d'ailleurs il existe des championnats

il y a 20 minutes, diffn a dit :

Procès d’intention, d’une animatrice à un pauvre algérien

??????

Je ne sais pas qui tu es, ni ta nationalité et je m'en contrefous éperdument. Alors le couplet de victimisation "procès d'intention à un pauvre algérien ", tu le sors à qui tu veux mais pas à moi !

il y a 16 minutes, diffn a dit :

Je souhaite que mon nègre soit Geppeto, je pense qu’il a inventé le français, un puits avec s ce n’est pas tout le monde qui peut le savoir, mais Geppeto si, d’ailleurs je pense que tu as des problèmes avec justement ces ‘’s’’ Gepetto

 

 Faut la voir en réalité sans artifice et des fois tu tombe (verbe tomber prend un s avec la deuxième personne du singulier

Mercredi , tu va être servi sur un plateau  (tu vas)

alors tout le monde peut se gourer surtout en orthographe, d'ailleurs il existe des championnats

Prend le à la rigolade , mais c'est vrai que quand tu poste un sujet , l'erreur est inévitable et ça m'arrive à moi aussi si je m'en compte avant , là je rectifie vite fait  , après il est trop tard 

il y a 3 minutes, titenath a dit :

??????

Je ne sais pas qui tu es, ni ta nationalité et je m'en contrefous éperdument. Alors le couplet de victimisation "procès d'intention à un pauvre algérien ", tu le sors à qui tu veux mais pas à moi !

Et vlan ! dans les dents 

Même une victime , tu l'assomme .

il y a une heure, titenath a dit :

??????

Je ne sais pas qui tu es, ni ta nationalité et je m'en contrefous éperdument. Alors le couplet de victimisation "procès d'intention à un pauvre algérien ", tu le sors à qui tu veux mais pas à moi !

Alors le couplet de victimisation,

Moi je n’ai rien à foutre de ta compassion, ce mot de victimisation je le rencontre souvent et il me fait rire, c’est vous les victimes et non moi. 

il y a 58 minutes, Gepetto a dit :

 

Et vlan ! dans les dents 

Même une victime , tu l'assomme .

Tu es le seul supporteur, aucun soutient de ta part, pour la victime

il y a 10 minutes, diffn a dit :

 

Tu es le seul supporteur, aucun soutient de ta part, pour la victime

Pas bien compris là , j'essaye de t'arranger en t'expliquant un peu ton erreur , et tu me parle de non soutien pour la "victime" un bien grand mot d'ailleurs . 

à l’instant, Gepetto a dit :

Pas bien compris là , j'essaye de t'arranger en t'expliquant un peu ton erreur , et tu me parle de non soutien pour la "victime" un bien grand mot d'ailleurs . 

pour rire

il y a 3 minutes, diffn a dit :

pour rire

Ah ! bon , alors ça va 

à l’instant, Gepetto a dit :

Ah ! bon , alors ça va 

en réalité je voulais ce dessert sur la table, mais il est trop fort pour moi, et c'est pourquoi j'ai demandé ton aide. je l'aurais partagé avec toi c'est sur. 

Il y a 19 heures, diffn a dit :

Le puits :

re bonjour,

où comment monter une arnaque en connaissance de cause ....!

ce qui m'amène à cette conclusion : dans un contrat , il faut toujours lire toutes les clauses , même celle en tout petit car, c'est là généralement que se cache le loup !

je vais vous en donner un exemple qui m'est arrivé :

j'avais souscris une extension de garantie pour une voiture et je me suis penché sur le contrat ( qui était soit disant ultra protecteur d'après le vendeur ) .

j'arrive enfin aux exclusions ( il y en a toujours ) et là stupeur : à la fin de la liste des éléments qui n'étaient pas couvert par la garantie il y avait , 3 petits points ( ... ) .

c'est 3 petits points signifient que la liste n'est pas close et je m'en suis ouvert au vendeur . Vous pouvez donc y mettre ce que vous voulez , puisque la liste des éléments couverts par la garantie est elle "finie" ( pas de 3 petits points et il est impossible de citer tous les éléments d'un véhicule ) ?

cela a fait une "petite révolution" car personne , du moins parmi les vendeurs n'avait relever ce "détail" et il m'a fallu attendre un bon moment avant d'avoir l'information complète et ....un contrat sans ces 3 petits points .

y avait-il une volonté "d'arnaque" ? je ne suis pas certain car c'était un contrat proposé par ma banque, une société qui n'a pas l'habitude de faire ce genre de "blagues" !  toujours est-il que finalement, c'est assez simple de tromper l'acheteur , comme dans cette petite histoire de puits 

cela étant dit, en passant, le français est sacrément tordu ( ça c'est pas nouveau ) , car qu'il y en ait un ou plusieurs , puits prend toujours un s final ( comme toujours , temps, rictus, tas, bois, cas, bras, fils  ....! et "comble" de l'ironie , certains mots ne prennent pas d's au pluriel comme gaz , index ...( ceux en x )  il y a de quoi en perdre son ...latin ! ) .

bonne journée.

à l’instant, pic et repic a dit :

puits prend toujours un s final ( comme toujours , temps, rictus, tas, bois, cas, bras, fils  ....! et "comble" de l'ironie , certains mots ne prennent pas d's au pluriel comme gaz , index ...( ceux en x )  il y a de quoi en perdre son ...latin ! ) .

bonne journée.

Pour gaz et index, il y a une règle, mais les autres avec le s, non, il faudrait connaitre pour certains, le grec

à l’instant, pic et repic a dit :

 

y avait-il une volonté "d'arnaque" ? je ne suis pas certain car c'était un contrat proposé par ma banque, une société qui n'a pas l'habitude de faire ce genre de "blagues" !  toujours est-il que finalement, c'est assez simple de tromper l'acheteur , comme dans cette petite histoire de puits 

 

bonne journée.

voilà une autre histoire, qui a laissée son impact sur la conscience arabe, car quand quelqu'un s'évertue à vouloir par t'arnaquer en insistant, on lui dit: " tu veux me faire le coup du clou de Jouha?"

Le clou de Jéha :

Jouha a décidé de vendre sa maison, mais il a réfléchi à une astuce. Il a alors vendu sa maison, mais dans l’acte de vente, il était stipulé qu’il pouvait visiter son clou une fois par semaine et qu’il pouvait y accrocher des habits, des tapis ou autre chose . Vu le prix de vente modique de la bâtisse, l’acheteur avait accepté le compromis. Jouha est connu dans la tradition arabe comme était un homme très rusé.

Les jours passèrent et chaque semaine Jouha visitait son clou. Quelques fois il suspendait son pantalon, d’autres fois sa chemise…Le nouveau propriétaire commençait à aimer Jouha, il était très prolixe et le faisait rire souvent. Mais Hugo disait, faire rire, c'est faire oublier. Quel bienfaiteur sur la terre, qu'un distributeur d'oubli. Il lui avait distribuer ce rire pendant un mois complet. Puis un jour Jouha s’est endormi sous son clou.

-          Que fais-tu Jouha ?

Jouha avait répondu qu’il dormait sous l’ombre de son clou, et c’est ainsi que Jouha, venait chaque semaine, pendant l’heure des repas, dormir sous l'ombre du clou. Le nouveau propriétaire était obligé de lui servir à manger. Jouha a vu qu’avec cette astuce, le propriétaire n’a rien dit, il passa alors à l’étape suivante. Il se présenta, un jour avec une peau de chèvre qui puait à des kilomètres, il suffit que tu la mettes dans un coin pour que cette odeur se répande et te pourrirait la vie.  Jouha, bravant l’odeur, resta dans la maison, tandis que le nouveau propriétaire, avec sa femme s’évadèrent de cette puanteur. Ils restèrent cinq jours dans un hôtel, alors que Jouha sortit de son ancien gîte pour revenir reprendre sa peau de chèvre cinq jours après. Les propriétaires revinrent au sixième jour, ils ne trouvèrent pas de peau, mais l’odeur est restée toujours nauséabonde, fétide et écœurante. Ils décidèrent alors de prendre une nouvelle fois un studio dans un d’hôtel, alors que Jouha, sur son clou tous les – jours posait une nouvelle peau de chèvre. et c'est ainsi que le pauvre monsieur s'est déclaré vaincue?

"Qui cherche le moins chère  laissera la moitie, et ceci pour les produits alimentaires, légumes et fruits. mais pour l'achat des maisons, il pourra laisser la totalité" avait dis Jouha à un homme qui voulait le blâmer. 

Alors moi je les vois les fautes d'orthographe, ce qui ne m'empêche absolument de voir les fautes du Merle, mais bon après le fond, la forme, les +1... Le commentaire en fait est une synthèse de tout ça.

Ben là je trouve que c'est... transparent... C'est presque "notre histoire". En fait, c'est vrai, je suis pas le seul à l'observer, on a de plus en plus une scission entre les financiers et.... les "culs terreux" désolé pour le jargon, c'est de la région.

C'est pas d'hier en effet :

http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/savfinan.htm

Mais je note votre prolixité, j'admire cela, et en fait si vous voulez écrire encore en dessous de ceci, j'ai rien contre