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Tirade des nez vu par Edmond Rostant

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panda_en_kimono

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Membre, asilien par envie, 149ans Posté(e)
panda_en_kimono Membre 40 909 messages
Maitre des forums‚ 149ans‚ asilien par envie,
Posté(e)

l'original :

Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.

 

Revu et corrigé par San-Antonio :

- Bath, hein ? fait Béru, mi-chagrin mi-orgueilleux.

- Bath ? reprends-je. Ah non, le terme est un peu court, bonhomme, si l'objet ne l'est point. On pourrait dire, ô dieux, bien des choses en somme? En variant le ton. Par exemple, tiens. Agressif : « Moi, monsieur si j'avais une telle trique, il faudrait sur-le-champ que je me la sciasse ! » Amical : « Mais elle doit traîner sur vos godasses ! » Descriptif : « C'est un soc !? c'est un stick !? c'est un braque ! Que dis-je, c'est un braque ? C'est un très gros bidule ! » Curieux : « A quoi sert cet énorme pendule ? A battre la mesure ou à tanner des peaux ? » Gracieux : « Aimez-vous à ce point les tonneaux que, fort puérilement vous vous imaginâtes, avec un tel bâton, les changer en barattes ? » Truculent : « Ca, monsieur, lorsque vous dégainez, à un poste d'essence vous nous faites songer ! Ou bien encore à un conduit de cheminée ! » Prévenant : « Attention à vous arc-bouter car il ne faudrait pas briser une telle gaule ! » Tendre : « Comme elle doit aimer la gaudriole, ne la vouez pas à des cavités profanes ! » Pédant : « Seul l'éléphant, charriant dans les savanes entre ses deux défenses, le nez de Cyrano, pourrait passer, monsieur, pour votre alter ego ! » Cavalier : « Ben, mon pote, lorsque ce machin gode, je n'hasarderais pas mon cul sur la commode ! » Emphatique : « Avec ce phallus monumental, vous possédez un beau bâton de maréchal ! » Dramatique : « Vous voici, mon ami, logé à belle enseigne ! » Lyrique : « Un mât si fier résiste aux aquilons ! » Naïf : « Seigneur, est-ce un pylône, ou un pilon ? » Respectueux : « Permets, qu'on te salue, Béru. Car tu possèdes un zob qu'on n'avait jamais vu ! » Campagnard : « Nom d'bon gu, qu'est-ce c'est-t-y qu'c'machin ? Faudra un ben grand four pour cuire un si gros pain ! » Militaire : « Sacrebleu ! Mais vous êtes dans l'génie ! » Pratique : « Et ça complète toujours votre vessie ? Vous avez des grolons à la place des grelots ! » Enfin, pour achever d'aussi longs trémolos : « Le voilà donc, ce n?ud qui, du tronc de son hêtre écorce le vernis ! Il fait au moins six mètres !? »

Voilà, mon vieux Béru, ce que tu m'aurais dit, si tu avais le cerveau aussi gros que le vit ! »

Pour information cela parle de la verge de Bérurier.


Votre défi si vous l'acceptez c'est de faire une parodie de la tirade des nez :

Qui relève le défi ? 

Modifié par panda_en_kimono
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Membre, 72ans Posté(e)
Frank_N Membre 5 488 messages
Maitre des forums‚ 72ans‚
Posté(e)
Il y a 9 heures, panda_en_kimono a dit :

Pour information cela parle de la verge de Bérurier.

C'est gentil de le préciser mais quiconque à chanter "Les filles de Camaret" ou autre paillardise connait

Les filles de Camaret se disent toutes vierges (bis)
Mais quand elles sont dans mon lit
Elles préfèrent tenir mon vit
Qu'un cierge. (ter)
 

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Le 22/08/2023 à 21:57, panda_en_kimono a dit :

l'original :

Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.

 

Revu et corrigé par San-Antonio :

- Bath, hein ? fait Béru, mi-chagrin mi-orgueilleux.

- Bath ? reprends-je. Ah non, le terme est un peu court, bonhomme, si l'objet ne l'est point. On pourrait dire, ô dieux, bien des choses en somme? En variant le ton. Par exemple, tiens. Agressif : « Moi, monsieur si j'avais une telle trique, il faudrait sur-le-champ que je me la sciasse ! » Amical : « Mais elle doit traîner sur vos godasses ! » Descriptif : « C'est un soc !? c'est un stick !? c'est un braque ! Que dis-je, c'est un braque ? C'est un très gros bidule ! » Curieux : « A quoi sert cet énorme pendule ? A battre la mesure ou à tanner des peaux ? » Gracieux : « Aimez-vous à ce point les tonneaux que, fort puérilement vous vous imaginâtes, avec un tel bâton, les changer en barattes ? » Truculent : « Ca, monsieur, lorsque vous dégainez, à un poste d'essence vous nous faites songer ! Ou bien encore à un conduit de cheminée ! » Prévenant : « Attention à vous arc-bouter car il ne faudrait pas briser une telle gaule ! » Tendre : « Comme elle doit aimer la gaudriole, ne la vouez pas à des cavités profanes ! » Pédant : « Seul l'éléphant, charriant dans les savanes entre ses deux défenses, le nez de Cyrano, pourrait passer, monsieur, pour votre alter ego ! » Cavalier : « Ben, mon pote, lorsque ce machin gode, je n'hasarderais pas mon cul sur la commode ! » Emphatique : « Avec ce phallus monumental, vous possédez un beau bâton de maréchal ! » Dramatique : « Vous voici, mon ami, logé à belle enseigne ! » Lyrique : « Un mât si fier résiste aux aquilons ! » Naïf : « Seigneur, est-ce un pylône, ou un pilon ? » Respectueux : « Permets, qu'on te salue, Béru. Car tu possèdes un zob qu'on n'avait jamais vu ! » Campagnard : « Nom d'bon gu, qu'est-ce c'est-t-y qu'c'machin ? Faudra un ben grand four pour cuire un si gros pain ! » Militaire : « Sacrebleu ! Mais vous êtes dans l'génie ! » Pratique : « Et ça complète toujours votre vessie ? Vous avez des grolons à la place des grelots ! » Enfin, pour achever d'aussi longs trémolos : « Le voilà donc, ce n?ud qui, du tronc de son hêtre écorce le vernis ! Il fait au moins six mètres !? »

Voilà, mon vieux Béru, ce que tu m'aurais dit, si tu avais le cerveau aussi gros que le vit ! »

Pour information cela parle de la verge de Bérurier.


Votre défi si vous l'acceptez c'est de faire une parodie de la tirade des nez :

Qui relève le défi ? 

Qui relève le défi ? 

Mézigue pour sûr, mais c'est un de mes plus vieux écrits, une... resucette ! :shok:

Certains accent sont san Antoniesques !

 

Je t’envoie cet e.mail


Je t’envoie cet e.mail
(Un émail, des émaux.)
Où je pèse mes mots.
C’est un méchant travail
Pour mon
pauvre cerveau…
Tu souris… blanc émail…
(Mon chant, c’est du pipeau ?)
Tes éclatantes chailles
En mon cœur font écho
Et grignotent les mailles
De tous mes plus gros maux.
Dont je râle en pagaille
Mille mots
En grumeaux :
Sarkosyste déçu :
Toute cette racaille
D
oit finir au cachot !
Laborieux :
Je me tue au travail :
Prolo, mélo, barreaux !
Pêcheur de gros blasé :
C’est le triomphe de la poiscaille :
Tout s’en va-t-à vau-l’eau !
Cuisinier :
T’es ma cuisine à l’ail
(Excepté du gigot !)
Scato, désabusé :
Tôt ou tard ces ripailles
Finiront dans le pot !
Facétieux :
Mais quel épouvantail !
T’es un vrai travelo !
Religieux :
Aux saintes épousailles
Je joue les p’tits bedeaux !
Vulgaire :
Je palpe ton poitrail :
Tripote mon poireau !
Attentionné-caniculaire :
Pour qui cet éventail ?
Pour mon petit moineau !
Automnal,
Enfile ton chandail,
C’est la saison de l’eau !
Sadique :
Allonge-toi canaille
Et lèche mon pied-bot !
Kama-sutrasque :
A quatre pattes, Caille,
C’est la bête à deux dos !
Sportif :
Tant pis si tu dérailles :
Enfourche mon vélo !
Loup de mer :
Tiens bon
le gouvernail
J’arrime tes ballots !
Naufrageur :
Une insidieuse faille
Fissure ton radeau !
Ogino :
L’idée d’une marmaille
Sape ma libido…
Militaire :
Ressaisis-toi, piétaille !
On repart à l’assaut !
Escrimeur :
Soit d’estoc, soit de taille,
A présent tout coup vaut !
La calomnie m’assaille :
On me dit gigolo !
Positif :

Oui, mais moi je me raille
De tous ces vils ragots !
Oculiste R.E.R. :
Autant suivre les rails :
C’est la technique des miros…
Bucolique rural :
Je te broute la paille

Et repars au galop !
Bricoleur :
Bien que pris en tenaille,
Je donne du marteau !
Chuis la brute au sérail !
De ton corps le bourreau !
Tu cries :
« Seigneur Dieu quelle taille ! »
Puis tu hurles « Bravo ! »

Je t’envoie cet e.mail…
Résultat :

Des jumeaux !

 

 

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Membre, asilien par envie, 149ans Posté(e)
panda_en_kimono Membre 40 909 messages
Maitre des forums‚ 149ans‚ asilien par envie,
Posté(e)
Il y a 2 heures, Blaquière a dit :

Qui relève le défi ? 

Mézigue pour sûr, mais c'est un de mes plus vieux écrits, une... resucette ! :shok:

Certains accent sont san Antoniesques !

 

Je t’envoie cet e.mail


Je t’envoie cet e.mail
(Un émail, des émaux.)
Où je pèse mes mots.
C’est un méchant travail
Pour mon
pauvre cerveau…
Tu souris… blanc émail…
(Mon chant, c’est du pipeau ?)
Tes éclatantes chailles
En mon cœur font écho
Et grignotent les mailles
De tous mes plus gros maux.
Dont je râle en pagaille
Mille mots
En grumeaux :
Sarkosyste déçu :
Toute cette racaille
D
oit finir au cachot !
Laborieux :
Je me tue au travail :
Prolo, mélo, barreaux !
Pêcheur de gros blasé :
C’est le triomphe de la poiscaille :
Tout s’en va-t-à vau-l’eau !
Cuisinier :
T’es ma cuisine à l’ail
(Excepté du gigot !)
Scato, désabusé :
Tôt ou tard ces ripailles
Finiront dans le pot !
Facétieux :
Mais quel épouvantail !
T’es un vrai travelo !
Religieux :
Aux saintes épousailles
Je joue les p’tits bedeaux !
Vulgaire :
Je palpe ton poitrail :
Tripote mon poireau !
Attentionné-caniculaire :
Pour qui cet éventail ?
Pour mon petit moineau !
Automnal,
Enfile ton chandail,
C’est la saison de l’eau !
Sadique :
Allonge-toi canaille
Et lèche mon pied-bot !
Kama-sutrasque :
A quatre pattes, Caille,
C’est la bête à deux dos !
Sportif :
Tant pis si tu dérailles :
Enfourche mon vélo !
Loup de mer :
Tiens bon
le gouvernail
J’arrime tes ballots !
Naufrageur :
Une insidieuse faille
Fissure ton radeau !
Ogino :
L’idée d’une marmaille
Sape ma libido…
Militaire :
Ressaisis-toi, piétaille !
On repart à l’assaut !
Escrimeur :
Soit d’estoc, soit de taille,
A présent tout coup vaut !
La calomnie m’assaille :
On me dit gigolo !
Positif :

Oui, mais moi je me raille
De tous ces vils ragots !
Oculiste R.E.R. :
Autant suivre les rails :
C’est la technique des miros…
Bucolique rural :
Je te broute la paille

Et repars au galop !
Bricoleur :
Bien que pris en tenaille,
Je donne du marteau !
Chuis la brute au sérail !
De ton corps le bourreau !
Tu cries :
« Seigneur Dieu quelle taille ! »
Puis tu hurles « Bravo ! »

Je t’envoie cet e.mail…
Résultat :

Des jumeaux !

 

 

mouais po mal du tout, même plutot bien 

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Le 25/08/2023 à 16:17, panda_en_kimono a dit :

mouais po mal du tout, même plutot bien 

Tu as dit Qui relève le défi ? 

Je suppose que ça n'est pas innocent ?! Alors on attend ta participation ! ;)

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  • 4 semaines après...
Membre, asilien par envie, 149ans Posté(e)
panda_en_kimono Membre 40 909 messages
Maitre des forums‚ 149ans‚ asilien par envie,
Posté(e)
Le 28/08/2023 à 12:06, Blaquière a dit :

Tu as dit Qui relève le défi ? 

Je suppose que ça n'est pas innocent ?! Alors on attend ta participation ! ;)

je met ça à mon planning 

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  • 1 an après...
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