Livre personnel . Votre opinion ?

Félicia se réveilla en pleine nuit à cause d'un cauchemar terrifiant et comprit immédiatement qu'elle était en nage, car son lit était mouillé. Son cœur battait, sa respiration était irrégulière, son corps entier était en sueur. Encore une fois, elle avait rêvé du même rêve à propos du criminel légendaire qui avait inventé un poison. Dans son rêve, ce scientifique fou sortait un citron d'une boîte noire, prenait un flacon de sa poche, le cachait et versait un liquide transparent sur le citron, puis le salait.

Il donna le citron à un chat, le chat le mangea et s'effondra. Il sortit un autre citron, versa du liquide, mais cette fois-ci ne le sala pas. Il donna le citron à un perroquet, le perroquet le mangea, mais ne mourut pas. Un sourire maléfique se forma sur le visage de l'homme, avec assurance, il murmura, "Maintenant personne ne me capturera."

Intéressant", murmura la fillette de sept ans, "existe-t-il un tel poison ? Pour qu'un poison se forme, il faut un mélange de liquide et de sel. Comme elle voulait devenir détective. Bientôt, très bientôt, peut-être dans un mois, elle le deviendrait. Il fallait convaincre les adultes que les enfants étaient capables de plus qu'ils ne le pensaient, et que les enfants n'étaient pas moins intelligents que les adultes, mais égaux à eux en intelligence. Elle se souvint immédiatement de son nouveau syllogisme inventé, qu'elle avait écrit hier matin.

• Toutes les papillons ont une couleur bleue. Certains objets de couleur bleue aiment les coccinelles. Les myrtilles aiment les coccinelles."
• "On ne sait pas si les papillons aiment les coccinelles, car ces papillons pourraient ne pas faire partie des objets bleus aimant les papillons. Mais si les myrtilles sont des papillons, alors un papillon aime les coccinelles." La fillette soupira tristement, ne comprenant pas pourquoi on ne la considérait pas comme égale aux adultes ; après tout, elle avait surpassé certains jeunes gens en quelque chose.
• Tous les adultes intelligents ne comprennent pas les syllogismes, pour eux, un papillon est un insecte et une myrtille est une baie.
• "Il s'agit simplement de raisonnement logique ici." Félicia soupira, sentant la tristesse et le chagrin au fond de son cœur, des émotions provoquant un grand inconfort dans son esprit, la rendant incapable de dormir et la poussant à réfléchir à la manière efficace de construire un État. Pourquoi les enfants intelligents n'ont-ils pas le droit de vote, alors qu'un adulte idiot a le droit de vote ?
• Pourquoi un enfant est-il toujours considéré comme dépendant s'il est un enfant ? Les enfants sont plus bêtes, moins matures, mais n'ont pas de droits. Un adulte est immature et infantile, moins expérimenté qu'un enfant, mais reste sous la tutelle de ce géant. Au fond de son esprit, Félicia connaissait la réponse : le système l'exige, c'est ainsi, mais pourquoi ?
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• Félicia réfléchit, et est-ce humain et juste de priver un groupe spécifique de personnes, les idiots par exemple, de leur voix ? Si on ne peut pas enlever la voix aux idiots et que chaque personne est libre de voter et si par hasard ses pensées sont discriminatoires envers l'intelligence...
• "Alors pourquoi, dans ce cas, un enfant, qu'il soit plus intelligent, plus bête, plus mature ou plus infantile qu'un adulte, n'a-t-il pas le droit d'exprimer son opinion ? Les gens se contredisent eux-mêmes et limitent les autres.
• Il n'y a pas de notion d'intelligence, les scientifiques n'ont pas encore décidé, mais quand même, ce type est un idiot !" S'exclama la fillette devenue précoce avec tension, mais elle interrompit aussitôt son monologue intérieur, craignant que sa mère ne l'entende et la réprimande pour avoir interrompu son sommeil. Cependant, la porte ne s'ouvrit pas, aucun pas ne se fit entendre. Sa mère dormait probablement... ou elle avait peut-être décidé qu'elle avait imaginé tout cela, si elle s'était soudainement réveillée.
• Cependant, Félicia continuait à ressentir en elle-même une chaleur comparable à un feu brûlant et la peur. D'un geste rapide, elle couvrit sa bouche de sa paume et se mit à penser aux papillons qui voltigeaient au-dessus de la pelouse pour se calmer. Sa petite chienne en peluche courait dans l'herbe en essayant d'attraper les rubans qui volaient. On aurait dit que la petite chienne avait confondu un papillon avec un ruban. Retrouvant l'harmonie et la paix, Félicia s'endormit paisiblement en oubliant le scientifique maléfique de son rêve, ce qui était un grand soulagement pour le monde, préservant ainsi les enfants du mal."
• Après-demain, Félicia sortit de l'appartement avec sa mère. Elles descendirent les escaliers à pied, ouvrirent la porte et sortirent de l'immeuble dans la rue. Le soleil brillait intensément comme de l'or, ses rayons touchaient la peau, lui donnant un éclat semblable à la poussière de fée. La fillette sourit, la lumière du soleil était un signe indiquant la réalisation imminente d'un rêve. Bientôt, elle aurait l'occasion de rejoindre une agence de détectives et de résoudre les crimes les plus mystérieux. Grâce à la déduction, tous les mystères seraient élucidés. Tenant fermement sa poche, la fillette marchait sur le trottoir et observait les enfants et les adultes.

Structure ton texte : fais un plan.

Tu as une idée de livre, mais ce que tu viens d'écrire ne ressemble pas à la présentation d'un livre, à un synopsis...

Essaye d'écrire une nouvelle. Au moins sur trente pages ; une sorte de condensé de l'histoire que tu voudrais raconter, qui comporte un début comme tu l'écris ; un développement qui se subdivise en plusieurs chapitres et surtout la fin que tu dois connaître dès le début, car c'est la conclusion de ton livre qui sera le plus important.

Après tu peux développer cette nouvelle en agrandissant le cercle de façon équilibrée pour atteindre les 180 pages qui deviendront ton livre...

Bien à toi.

Merci.