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OK CORRAL

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lobo tommy

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Invité seth rotten
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Invité seth rotten
Invité seth rotten Invités 0 message
Posté(e)

Attention, ne me fais pas déraper dans la défense du reich de mille ans et de la Collaboration hein :snif: Quoi qu'il en soit, mon admiration pour la Germanie dépasse de loin celle pour mon propre pays, ceci dit le plus beau pays du monde reste la Suisse.

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Membre, Posté(e)
mistral gagnant Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

je pense que tu te trompe le plus beau pays européen est la corse :snif:

je vois pas de plus pourquoi tu t'egares avec ton reich ..laisse tomber

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Invité seth rotten
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Invité seth rotten
Invité seth rotten Invités 0 message
Posté(e)

Mais je ne défend pas le reich :snif:

La corse c'est chouette, mais ça vaut pas la suisse !

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Membre, Posté(e)
mistral gagnant Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bon alors je vais t'expliquer pourquoi la suisse n'est pas le plus bO pays du monde dac :snif:

Allez on la compare avec la France ok!!

1/ la suisse a pas de mer

2/la suisse a qu'un climat, la France plusieurs méditerranéen, atlantique ect

la suisse une seul chaîne de montagne, la france plusieurs..

on peut continuer comme cela pendant un ptit bout de temps :snif:

edit; A h oui ta chérie est de la-bas

Modifié par mistral gagnant
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Invité seth rotten
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Invité seth rotten
Invité seth rotten Invités 0 message
Posté(e)

Alors rectifions : La suisse n'a pas la mer, mais elle a le lac Léman et le lac de Neuchatel, le lac de Constance, etc...

La suisse est touchée par les Alpes (genève), les Vosges (Basel) et le Jura (Yverdon, Neuchatel, le Val de Travers).

edit; A h oui ta chérie est de la-bas

Ah ben oui :snif:

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Membre, Posté(e)
mistral gagnant Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

:snif: OUI m ais tu me cites pas mal d'endroit commun avec la france?de plus je vois que tu parles du lac de constance qui lui et également commun avec Allemagne ;)

cette ptite discute est t'elle utile??la suisse est très belle c'est vrai mais bon ...

la Suisse italienne est magnifique aussi :o

parle moi de l'emmental :snif:

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Invité seth rotten
Invités, Posté(e)
Invité seth rotten
Invité seth rotten Invités 0 message
Posté(e)

Le GRUYERE Monsieur, en Suisse c'est du GRUYERE, l'emmental c'est du plastique.

Le gruyere suisse est le meilleur du monde, ce qui n'est pas le cas de son chocolat, là je me vois dans l'obligation de m'incliner, les Belges dominent en la matière.

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Membre, Posté(e)
mistral gagnant Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

1/plus tu as de gruyères, plus tu as de trous

2/plus tu as de trous , moins tu as de gruyères

3/donc plus tu as de gruyères ....moins tu as de gruyères :snif:

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Invité seth rotten
Invités, Posté(e)
Invité seth rotten
Invité seth rotten Invités 0 message
Posté(e)

Ah mais attention, les trous c'est pas dans le gruyere mais dans l'emmental. Le gruyere n'a pas de trous, ce n'est pas du tout le même fromage !

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Invité seth rotten
Invités, Posté(e)
Invité seth rotten
Invité seth rotten Invités 0 message
Posté(e)

C'est quoi ça ? Le fromage qui pue comme dans Astérix chez les corses ?

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Membre, Posté(e)
mistral gagnant Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Cela dépend , tu peux le manger a qlqs jours et également a qlqs semaines,ca depend si tu l'aime dure ou mou :snif:

Lorsque vous viendrez dans les Cévennes, surtout ne partez pas sans avoir goûté la salade de pélardon chaud car il s'agit d'une des meilleures façon de déguster ce délicieux fromage de chèvre au lait de nos montagnes. Pour cette préparation, le Pelardon est panné, rechauffé sur une fine couche d'huile d'olive et présenté sur une salade fraîche et croquante.

pelardon.gifCe fromage de petite taille était déjà réputé à Rome , à l'époque de Pline le Naturaliste (1er siecle aprè J.-C.) vante déjà le fromage de Nimes, des pagi du mont Lozère et des Gabales, comme étant le plus réputé à Rome. Par Nîmes

http://www.cevennes.com/pelardon.htm

Ps, on va arréter nos recettes de cuisine sinon on va se faire :snif:

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Membre, "Contraria contrariis curantur", Posté(e)
Valtesse Membre 6 551 messages
"Contraria contrariis curantur",
Posté(e)
Le GRUYERE Monsieur, en Suisse c'est du GRUYERE, l'emmental c'est du plastique.

Le gruyere suisse est le meilleur du monde, ce qui n'est pas le cas de son chocolat, là je me vois dans l'obligation de m'incliner, les Belges dominent en la matière.

Ben moi, je préfère le chocolat suisse... :snif:

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Invité seth rotten
Invités, Posté(e)
Invité seth rotten
Invité seth rotten Invités 0 message
Posté(e)

Ben tu as tort :snif: Souvent ils mettent du beurre de soja, puisque la nouvelle législation les autorise. Mais bon, heureusement il reste des chocolatiers suisses honnêtes qui ne mettent pas de saloperie dans leur milka :snif:

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Membre, "Contraria contrariis curantur", Posté(e)
Valtesse Membre 6 551 messages
"Contraria contrariis curantur",
Posté(e)

Donc j'ai raison! :snif:

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Membre, "Contraria contrariis curantur", Posté(e)
Valtesse Membre 6 551 messages
"Contraria contrariis curantur",
Posté(e)

Prends note, et remercie-moi de ma bonté à veiller à ton instruction :

2007 : l'écosse vers l'indépendance ? flag_scot.gif

L'an prochain, l'écosse va fêter le tricentenaire de l'Acte d'Union, à sa façon

samedi 5 mai 2007 - Ronan Blaise

Le 1er mai dernier se sont déroulées, à Edimbourg, les commémorations du tricentenaire de l'Acte d'Union anglo-écossais de 1707 : acte juridique fondateur du Royaume-Uni de Grande Bretagne supprimant le Parlement d'écosse. Or, cet anniversaire n'est finalement pas si festif que ça...

arton1166-153x200.jpgEn effet, on se rappellera que le Parlement écossais a été restauré il y a quelques années : en 1998 (« Scotland Act »), suite à la tenue d'un référendum s'étant déroulé l'année précédente, en 1997.

L'écosse ayant alors accédé à un statut d'autonomie sur un certain nombre de compétences (comme la santé, l'éducation ou les questions sociales) pour lesquels les députés « britanniques » de Westminster n'ont désormais plus leur mot à dire.

Or, le surlendemain des commémorations du tricentenaire de l'Acte d'Union auront justement précisément lieu des élections législatives pour renouveler les membres du Parlement d'écosse, élu en mai 1999.

Des élections lourdes de menaces pour l'avenir d'un Royaume-Uni fondé il y a à peine trois cent ans...

Un premier pas vers l'indépendance ?

En effet, pour ces prochaines élections, un parti politique est d'ors et déjà très clairement donné vainqueur par les instituts de sondage (avec aujourd'hui plus de 25% des intentions de vote et environ cinq points d'avance sur leurs principaux concurrents...) : c'est le SNP (Scottish National Party), parti nationaliste et séparatiste écossais qui, avec le soutien appuyé de personnalités comme l'acteur Sean Connery, milite ouvertement pour l'indépendance de l'écosse et pour sa sortie du Royaume-uni [1].

Un parti dont la victoire annoncée pourrait alors ouvrir la voie à une éventuelle scission du Royaume-Uni. En effet, leur leader Alex Salmond l'a très clairement promis : si jamais le SNP remporte effectivement les élections et s'il est désigné premier ministre, il soumettra alors dans les cent jours au Parlement d'écosse un projet de loi prévoyant l'organisation d'un référendum sur l'indépendance de l'écosse.

Lequel référendum d'autodétermination pourrait donc être organisé autour de la question suivante : « étes-vous d'accord pour que le Parlement écossais négocie un nouvel accord avec le gouvernement britannique afin que l'écosse devienne un état souverain et indépendant ? ».

L'indépendance, pourquoi faire ?!

Alors, bien entendu, la prochaine victoire électorale des séparatistes écossais n'est actuellement absolument pas acquise d'avance et l'indépendance de l'écosse et sa sortie du Royaume-Uni ne sont sans doute pas pour tout de suite.

Mais envisager que l'écosse quitte le Royaume-Uni n'a aujourd'hui plus rien de farfelu. Et, à l'heure actuelle, nombre d'écossais commencent manifestement à se dire que l'indépendance de l'écosse n'est sans doute pas une si mauvaise idée que cela.

D'abord parce que l'actuelle majorité parlementaire « Labour-LibDem » qui siège aujourd'hui à Edimbourg depuis mai 1999 n'a visiblement plus assez de soutien populaire pour s'y maintenir. Ensuite parce que les Conservateurs ne représentent pas aujourd'hui en écosse une alternative crédible. Enfin parce que les électeurs écossais semblent aujourd'hui prêts à franchir le pas et à porter le SNP aux affaires.

Une résurgence indépendantiste que l'on peut également expliquer par le pétrole : le SNP affirmant que 90% du pétrole de la mer du nord aujourd'hui exploité par des firmes britanniques appartenait à l'écosse (et que les revenus qui en étaient aujourd'hui tirés devaient alors revenir aux écossais...).

Une manne pétrolière aujourd'hui évaluée (en se fondant sur des prévisions optimistes quant à l'évolution du cours du pétrole...) à environ 270 milliards d'euros d'ici à dix ans : une manne pétrolière qui viendrait apporter une crédibilité nouvelle aux projets économiques et sociaux du SNP.

L'indépendance : quelles conséquences ?

Cette indépendance, en tout cas, aujourd'hui plus de 50% des écossais (dans une enquête commandée, en cette fin novembre dernier, par l'Institut YouGov à la demande du SNP) et près de 60% des Anglais (dans une enquête récemment réalisée par « The Sunday Telegraf ») semblent y être aujourd'hui favorables.

De plus, les Anglais ne sont finalement pas si mécontents que cela à la perspective de ne plus voir dans l'avenir leurs lois « anglaises » être votées par une majorité renforcée par des députés écossais... Précisément alors que le Parlement de Westminster n'a absolument plus son mot à dire sur certaines questions ne relevant plus, depuis 1998, que du Parlement autonome d'Edimbourg.

Une indépendance écossaise qui pourrait alors, en tout cas, avoir des conséquences catastrophiques pour le parti travailliste actuellement aux affaires au Royaume-uni. Puisque l'indépendance de l'écosse lui ferait ainsi perdre une quarantaine de députés sans lesquels l'actuelle majorité n'est absolument pas viable (et serait bien incapable de faire passer ses projets législatifs).

Mais une indépendance écossaise qui pourrait avoir des conséquences positives pour l'Angleterre... et pour l'Europe. Puisque cette indépendance permettrait enfin à l'Angleterre de prendre la mesure de sa vraie place dans le monde plutôt que de se reposer, comme aujourd'hui encore, sur les lauriers fanés d'une époque impériale décidément à jamais révolue...

A la tienne et à celle de ta reine! :snif:

whisky.jpg

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Invité j-luc
Invités, Posté(e)
Invité j-luc
Invité j-luc Invités 0 message
Posté(e)
C'est quoi ça ? Le fromage qui pue comme dans Astérix chez les corses ?

Dans Astérix en Corse le meilleur c'est le coup des huitres.

Quand l'aventure commence par l'attaque du camp romain Obélix explique aux invités que les romains c'est comme les huitres: les petits sont meilleurs.

A la fin de l'aventure quant avec Astérix ET Idéfix il attaque le camp romain local après avoir précisé aux locaux qu'il n'a pas besoin d'eux il ajoute qu'on ne lui fera pas le coup des huitres.

Obélix est un grand gastronome tout le monde sait ça.

Prends note, et remercie-moi de ma bonté à veiller à ton instruction :

2007 : l'écosse vers l'indépendance ? flag_scot.gif

L'an prochain, l'écosse va fêter le tricentenaire de l'Acte d'Union, à sa façon

samedi 5 mai 2007 - Ronan Blaise

Le 1er mai dernier se sont déroulées, à Edimbourg, les commémorations du tricentenaire de l'Acte d'Union anglo-écossais de 1707 : acte juridique fondateur du Royaume-Uni de Grande Bretagne supprimant le Parlement d'écosse. Or, cet anniversaire n'est finalement pas si festif que ça...

arton1166-153x200.jpgEn effet, on se rappellera que le Parlement écossais a été restauré il y a quelques années : en 1998 (« Scotland Act »), suite à la tenue d'un référendum s'étant déroulé l'année précédente, en 1997.

L'écosse ayant alors accédé à un statut d'autonomie sur un certain nombre de compétences (comme la santé, l'éducation ou les questions sociales) pour lesquels les députés « britanniques » de Westminster n'ont désormais plus leur mot à dire.

Or, le surlendemain des commémorations du tricentenaire de l'Acte d'Union auront justement précisément lieu des élections législatives pour renouveler les membres du Parlement d'écosse, élu en mai 1999.

Des élections lourdes de menaces pour l'avenir d'un Royaume-Uni fondé il y a à peine trois cent ans...

Un premier pas vers l'indépendance ?

En effet, pour ces prochaines élections, un parti politique est d'ors et déjà très clairement donné vainqueur par les instituts de sondage (avec aujourd'hui plus de 25% des intentions de vote et environ cinq points d'avance sur leurs principaux concurrents...) : c'est le SNP (Scottish National Party), parti nationaliste et séparatiste écossais qui, avec le soutien appuyé de personnalités comme l'acteur Sean Connery, milite ouvertement pour l'indépendance de l'écosse et pour sa sortie du Royaume-uni [1].

Un parti dont la victoire annoncée pourrait alors ouvrir la voie à une éventuelle scission du Royaume-Uni. En effet, leur leader Alex Salmond l'a très clairement promis : si jamais le SNP remporte effectivement les élections et s'il est désigné premier ministre, il soumettra alors dans les cent jours au Parlement d'écosse un projet de loi prévoyant l'organisation d'un référendum sur l'indépendance de l'écosse.

Lequel référendum d'autodétermination pourrait donc être organisé autour de la question suivante : « étes-vous d'accord pour que le Parlement écossais négocie un nouvel accord avec le gouvernement britannique afin que l'écosse devienne un état souverain et indépendant ? ».

L'indépendance, pourquoi faire ?!

Alors, bien entendu, la prochaine victoire électorale des séparatistes écossais n'est actuellement absolument pas acquise d'avance et l'indépendance de l'écosse et sa sortie du Royaume-Uni ne sont sans doute pas pour tout de suite.

Mais envisager que l'écosse quitte le Royaume-Uni n'a aujourd'hui plus rien de farfelu. Et, à l'heure actuelle, nombre d'écossais commencent manifestement à se dire que l'indépendance de l'écosse n'est sans doute pas une si mauvaise idée que cela.

D'abord parce que l'actuelle majorité parlementaire « Labour-LibDem » qui siège aujourd'hui à Edimbourg depuis mai 1999 n'a visiblement plus assez de soutien populaire pour s'y maintenir. Ensuite parce que les Conservateurs ne représentent pas aujourd'hui en écosse une alternative crédible. Enfin parce que les électeurs écossais semblent aujourd'hui prêts à franchir le pas et à porter le SNP aux affaires.

Une résurgence indépendantiste que l'on peut également expliquer par le pétrole : le SNP affirmant que 90% du pétrole de la mer du nord aujourd'hui exploité par des firmes britanniques appartenait à l'écosse (et que les revenus qui en étaient aujourd'hui tirés devaient alors revenir aux écossais...).

Une manne pétrolière aujourd'hui évaluée (en se fondant sur des prévisions optimistes quant à l'évolution du cours du pétrole...) à environ 270 milliards d'euros d'ici à dix ans : une manne pétrolière qui viendrait apporter une crédibilité nouvelle aux projets économiques et sociaux du SNP.

L'indépendance : quelles conséquences ?

Cette indépendance, en tout cas, aujourd'hui plus de 50% des écossais (dans une enquête commandée, en cette fin novembre dernier, par l'Institut YouGov à la demande du SNP) et près de 60% des Anglais (dans une enquête récemment réalisée par « The Sunday Telegraf ») semblent y être aujourd'hui favorables.

De plus, les Anglais ne sont finalement pas si mécontents que cela à la perspective de ne plus voir dans l'avenir leurs lois « anglaises » être votées par une majorité renforcée par des députés écossais... Précisément alors que le Parlement de Westminster n'a absolument plus son mot à dire sur certaines questions ne relevant plus, depuis 1998, que du Parlement autonome d'Edimbourg.

Une indépendance écossaise qui pourrait alors, en tout cas, avoir des conséquences catastrophiques pour le parti travailliste actuellement aux affaires au Royaume-uni. Puisque l'indépendance de l'écosse lui ferait ainsi perdre une quarantaine de députés sans lesquels l'actuelle majorité n'est absolument pas viable (et serait bien incapable de faire passer ses projets législatifs).

Mais une indépendance écossaise qui pourrait avoir des conséquences positives pour l'Angleterre... et pour l'Europe. Puisque cette indépendance permettrait enfin à l'Angleterre de prendre la mesure de sa vraie place dans le monde plutôt que de se reposer, comme aujourd'hui encore, sur les lauriers fanés d'une époque impériale décidément à jamais révolue...

A la tienne et à celle de ta reine! :snif:

whisky.jpg

Je vais finir par demander la nationalité écossaise.

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Invité Simplicius
Invités, Posté(e)
Invité Simplicius
Invité Simplicius Invités 0 message
Posté(e)

Moi aussi je sais faire des copier/coller et tes chiffres sont à revoir à la baisse !

http://www.vigile.net/30-des-Ecossais-sont-favorables-a

Mais il n'empêche que la dévolution écossaise n'a pas amené grand chose à cette contrée. Quant à la galloise, elle végète complétement ! :snif:

Ces sauvages sont perdus sans les Anglais !

Sinon tu ne réponds à rien, paresseuse ! ;):snif:

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Membre, "Contraria contrariis curantur", Posté(e)
Valtesse Membre 6 551 messages
"Contraria contrariis curantur",
Posté(e)

Enfin donc, cher ami, pourquoi irais-je m'épuiser à retranscrire un texte, quand les précieuses vertus du "copié-collé" m'offrent un gain de temps que je peux utiliser à des fins plus profitables ? :snif:

Et comme le dirait ce sage Anatole France, le travail est quelquechose d'anti-naturel.Seule la

paresse est divine! :o

Je me vois fort obligée, pour parer à vos chiffres farfelus, de recourir à la parade du "copié-collé", afin de faire taire votre faconde :

"Selon de récents sondages, 51 % des Ecossais et 59 % des Anglais souhaitent l'indépendance de l'Ecosse, autonome depuis 1999. Si le Parti national écossais, en progression dans les sondages, remporte les élections au Parlement écossais en mai 2007, un référendum pourrait être organisé et mettre fin à un mariage vieux de trois siècles.

"Le nationalisme écossais fonctionne par vagues", écrit Michael Fry, journaliste et ancien député conservateur écossais, dans Prospect, qui consacre dans son numéro de décembre un grand dossier au débat sur l'indépendance écossaise. Et ledit nationalisme serait plutôt à la hausse, ces temps-ci. Le Parti national écossais (SNP) a dépassé les 25 % de soutien dans les sondages. Selon un récent sondage publié par le Sunday Telegraph, 51 % des Ecossais et 59 % des Anglais souhaitent l'indépendance de l'Ecosse vis-à-vis du Royaume-Uni. L'Ecosse bénéficie depuis 1999 d'un statut d'autonomie, avec son propre Parlement. En 2007, cela fera trois cents ans que l'Ecosse et l'Angleterre sont unies.

"Quoi qu'en pensent les ministres à Londres, le problème de l'Ecosse dans l'Union n'est pas réglé, et il va plus loin que l'effervescence occasionnelle due à la surreprésentation des députés écossais au Parlement britannique et à la part de l'Ecosse dans les dépenses publiques", affirme Michael Fry. Le journaliste, ancien partisan de la dévolution (transfert d'une partie des pouvoirs au gouvernement et au Parlement écossais), estime que celle-ci a atteint ses limites. "L'Ecosse bénéficie de beaucoup d'argent public, mais elle ne rattrape pas pour autant la croissance anglaise. Plus les dépenses publiques pour l'Ecosse augmentent, plus le gouvernement britannique peut pointer du doigt le désastre qui découlerait de l'arrêt des subventions ¿ notamment dans le cas d'une sécession. En résumé, tout cet argent vise à entretenir la dépendance de l'Ecosse vis-à-vis du Royaume-Uni", pointe Michael Fry. "On nous impose un régime de subordination provinciale. C'est ce qui a motivé la naissance du nationalisme écossais, et la dévolution n'a rien changé à cela. La seule solution, c'est de s'en débarrasser définitivement. Cela signifie que la nation doit devenir son propre arbitre moral. Cela signifie l'indépendance", appelle Michael Fry.

"Si les Ecossais veulent l'indépendance, les Britanniques ne peuvent pas l'empêcher", écrit le chroniqueur Simon Jenkins dans The Guardian. Pour lui, le gouvernement britannique s'accroche à l'Ecosse par simple arithmétique politique. "Le Parti travailliste a désespérément besoin des 40 sièges écossais au Parlement britannique. Alors que l'Union fêtera ses 300 ans en mai, elle semble sur le point de s'écrouler, et la bonne fortune du Parti travailliste avec. La bataille se poursuivra au Parlement écossais, dont les élections auront lieu le 23 mai." Le Parti travailliste tient pour l'instant le Parlement écossais, et la représentation écossaise au Parlement britannique est presque exclusivement travailliste.

Cela dit, "l'indépendance ne signifie pas la fin du Royaume-Uni : l'Ecosse et l'Angleterre partageaient un monarque avant 1707, comme le Royaume-Uni et le Canada aujourd'hui. Si l'Europe de l'Est peut réussir la partition, alors le Royaume-Uni le peut aussi", assure l'éditorialiste du quotidien britannique. "Le retrait des subventions britanniques sera dramatique, mais il ne fera pas de mal aux Ecossais de comprendre que l'argent public ne pousse pas dans les arbres. Et l'histoire de l'économie nous apprend que trop d'argent public gâte l'économie", affirme Jenkins. "La partition est la politique à la mode. C'est grâce à la partition que l'Irlande connaît un boom économique, que la Slovaquie revit et que les Etats baltes prospèrent. Le gouvernement britannique l'encourage partout, et la force même en ex-Yougoslavie ou en Irak. Elle a accueilli favorablement l'indépendance du Monténégro. Par quelle hypocrisie Londres peut¿il mépriser l'ambition écossaise ? Si les Ecossais veulent rejeter l'Union, les Anglais devront l'accepter. Les Etats n'ont pas de légitimité sans le consentement de leurs minorités territoriales. Le Royaume-Uni est entré en guerre pour défendre ce principe au Kosovo."

"Le quatuor formé par l'Union britannique est discordant", remarque également le Financial Times. "Le manque d'harmonie vient du fait que les Ecossais refusent de jouer les seconds violons derrière les Anglais. En retour, cela alimente le ressentiment des Anglais, conscients du prix qu'ils paient pour préserver l'unisson", écrit le quotidien londonien dans une métaphore musicale. "Il est temps d'envisager de manière dépassionnée des carrières solos", enchaîne le journal économique. "Les travaillistes ne souhaitent évidemment pas perdre leur leadership, menacé de disparaître en cas de départ des députés écossais. Mais ce qui est bon pour le Parti travailliste ne l'est pas forcément pour le Royaume-Uni."

Vous vous plaisez à dire que les écossais ont besoin de la Perfide Albion pour survivre, c'est oublier un peu vite le fameux pétrole de la mer du nord qui leur reviendrait de droit si l'Ecosse reprenait son indépendance... :snif:

Mon cher ami, ton acharnement m'amuse.

Je t'invite à un souper digne de ce nom dans une de mes modestes demeures ;) :

ecosse15.jpg

ecosse20.jpg

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Invité seth rotten
Invités, Posté(e)
Invité seth rotten
Invité seth rotten Invités 0 message
Posté(e)

Classe !

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