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Les frères coen

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Axo lotl

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Membre, 49ans Posté(e)
Axo lotl Membre 10 398 messages
Maitre des forums‚ 49ans‚
Posté(e)

Les frères Coen, Joel et Ethan, ont réalisé plus de 15 films ensemble depuis les années 80. Ils se sont rapidement imposés comme des visionnaires dans le monde du cinéma. Ils combinent avec brio l’humour noir, l’ironie, la violence et le mélodramatique. Au fil des années, ils ont prouvé qu’ils n’avaient pas peur de s’essayer à tous les genres : western, films noirs, comédie, thriller…

Les deux frères touchent à tout et veillent, à chaque fois, à laisser leur empreinte toute particulière et reconnaissable entre toutes. Leurs films mettent très souvent à l’honneur les classiques américains - surtout à travers leurs films noirs - mais conservent toujours une touche d’originalité et de modernité.

https://www.abusdecine.com/dossier/parcours-les-freres-coen-les-maitres-de-lhumour-noir/

 

https://www.senscritique.com/liste/realisateur_les_freres_coen/51578

 

The big lebowski et o' brother sont mes deux préférés, mais y'a comme une envie de se faire une virée chez les deux frères. 

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Membre, 76ans Posté(e)
G2LLOQ Membre 20 811 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
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Il y a 11 heures, Frank_N a dit :

No country for old man est pas mal non plus, un vrai petit chef d’œuvre.

Je n'ai jamais compris la fin .................?,

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Membre, 49ans Posté(e)
Axo lotl Membre 10 398 messages
Maitre des forums‚ 49ans‚
Posté(e)

Je ne connais pas celui là, donc hop au programme ce soir. Et cerise sur le gateau, John Goodman

images?q=tbn:ANd9GcTuyzXzd4izJ9Oz0-SFXz6_t0m915IaYsgqFBQVQmeXWTr_wOoK

Inside Llewyn Davis raconte une semaine de la vie d'un jeune chanteur de folk dans l'univers musical de Greenwich Village en 1961. Llewyn Davis est à la croisée des chemins. Alors qu'un hiver rigoureux sévit sur New York, le jeune homme, sa guitare à la main, lutte pour gagner sa vie comme musicien et affronte des obstacles qui semblent insurmontables, à commencer par ceux qu'il se crée lui-même. Il ne survit que grâce à l'aide que lui apportent des amis ou des inconnus, en acceptant n'importe quel petit boulot. Des cafés du Village à un club désert de Chicago, ses mésaventures le conduisent jusqu'à une audition pour le géant de la musique Bud Grossman, avant de retourner là d'où il vient.

 

 

 

 

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Membre, 49ans Posté(e)
Axo lotl Membre 10 398 messages
Maitre des forums‚ 49ans‚
Posté(e)

Ça me prend la tête depuis hier soir. Je ne comprends pas la fin. J'ai beau la tourner dans tous les sens, je ne vois pas où ils voulaient en venir. Du coup je suis passer à côté du film. Et ça m'énerve. 

Donc si quelqu'un l'a vu, est ce qu'il peut me dire comment il comprend la fin ? 

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Membre, Posté(e)
Lowy Membre 1 338 messages
Mentor‚
Posté(e)

http://ilaose.blogspot.com/2013/11/inside-llewyn-davis.html

''A la fin du film, après que Llewyn Davis a joué sa chanson du pendu (pour la seconde fois, le film, replié sur lui-même, adoptant la structure d'une boucle éternelle), et tandis qu'il sort se faire casser la gueule dans l'arrière-cour du Gaslight Café, on aperçoit le jeune chanteur qui a pris sa place sur scène et dont la voix, reconnaissable entre mille, nous dit aussi sec qu'il s'agit de Bob Dylan. Et au lieu, comme l'espèrent peut-être les Coen, de songer avec mélancolie à tous ces folkeux à la petite semaine du New-York des années 50, tristement passés aux oubliettes et qui n'eurent pas la chance de devenir aussi fameux que Dylan, on se dit qu'après lui, et depuis des lustres déjà, tous ces gentils interprètes de folk à barbes de velours et autres adeptes de la pop indépendante sauce aigre-douce avec option suicide collectif ont occupé le devant de la scène sans faire montre de la même originalité de son, de la même force d'écriture, du même génie. Ceux-là vengent et re-vengent tous les Llewyn Davis d'antan en nous les brisant menu, et à l'aune de longues années de braves Llewyn Davis par wagons, l'injustice que nous vendent les Coen paraîtrait presque, pour être vache, assez juste. Vive Dylan.''

La fin m'a rappelé un vieux film ''Eve'' -1950 de Joseph L. Mankiewicz ...( aurait-il inspiré les frères Coen? ...) celle qui n'était rien et devenue actrice de renom - trahissant celle qui l'avait prise sous son aile-  sort de sa chambre , une femme de chambre y entre et prends l'une de ses robes pour l'essayer avec un air arrogant et narquois...l'histoire qui se répète , quelqu'un qui prends la place, prise à d'autres ...enfin, je dirais que l'on crois tous être ce quelque chose d'important qui n'est pas, que notre vie en soit n'est rien , infime atome de l'univers, grain de sable dans un désert etc...et que la vie d'autres est bien plus interessante ou le sera et qu'ils feront quelque chose de leur art, génie ou grande âme...Voilà.

D'un autre côté , il y'a cette masse de multitude identique (même avec un certain talent...), et puis il y'a celui qui pourrait se démarquer, de la chance au delà du génie qui pourrait être...

  • Merci 1
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