Pourquoi les galères financières empêcheraient-elles de trouver l’amour ?

Plutôt que de rogner sur sa vie sentimentale par manque de moyens financiers, pourquoi ne pas adopter une approche à la fois économique et originale ? Cinémas, restaurants et bars ne sont en effet pas les seuls lieux propices à un rendez-vous galant !

Vous pouvez très bien proposer une balade dans un musée si vous êtes amateur d’art. Quelque 24 % des célibataires interrogés par Happn plébiscitent d’ailleurs cette option.

Vous aimez tous les deux les jeux de plateau ? Faites connaissance dans un bar à jeux, ces établissements en plein essor qui permettent d’enchaîner les parties tout en buvant un verre !

Un pique-nique dans un parc ou en forêt offrira un cadre idyllique pour une première rencontre - iStock

Une brocante ou une activité sportive sont tout aussi sympas pour se découvrir. Et si vous êtes plutôt adepte de verdure, la visite d’un jardin botanique ou encore un pique-nique dans un parc ou en forêt offrira un cadre idyllique pour une première rencontre (plébiscité à 62 % selon Happn et à 56 % d’après Meetic).

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Tout à fait !

Encore mieux que ça ?

Une promenade dominicale « allons dénicher de bonnes affaires » chez Emmaüs, suivi d’un sympathique mais frugal goûter au Secours Populaire.

Mais le must du must, c’est le dîner galant aux Restos du Cœur : d’ailleurs, avec un nom pareil, c’est prédestiné que ce soit un repas sous le signe de l’amour…

Grâce aux Enfoirés, c’est tous les jours la Saint-Valentin.

Depuis quant faudrait il de l'argent pour trouver l'amour ? 

il y a 3 minutes, PtitAngelina a dit :

Depuis quant faudrait il de l'argent pour trouver l'amour ? 

Depuis qu'une majorité (je ne vais dire qu'une majorité !), de femmes font attention aux revenus de leurs possibles conjoints.

Même pour des coups d'un soir, certaines sélectionnent sur les vêtements (les chaussures en particulier, je sais on peut tourner ça en ridicule facilement mais c'est on ne peut plus vrai). La montre qui le fait, le pull ou polo de marque (même si à capuche), etc. etc.

à l’instant, Easle a dit :

 

Depuis qu'une majorité (je ne vais dire qu'une majorité !), de femmes font attention aux revenus de leurs possibles conjoints.

Même pour des coups d'un soir, certaines sélectionnent sur les vêtements (les chaussures en particulier, je sais on peut tourner ça en ridicule facilement mais c'est on ne peut plus vrai). La montre qui le fait, le pull ou polo de marque (même si à capuche), etc. etc.

 

Bin moi non et je ne connais pas " les coups d'un soir "  , tu te trompes de personne là .

il y a 1 minute, PtitAngelina a dit :

Bin moi non et je ne connais pas " les coups d'un soir "  , tu te trompes de personne là .

Mais je ne parle pas de toi. Tu as le droit de ne pas être dans la majorité.

Ça n'empêche pas l'existence de cette majorité.

Et, comme par hasard, tu es inaccessible.   comme tous les cas rares (quel manque de bol hein !)

il y a 1 minute, Easle a dit :

 

Mais je ne parle pas de toi. Tu as le droit de ne pas être dans la majorité.

Ça n'empêche pas l'existence de cette majorité.

Et, comme par hasard, tu es inaccessible.   comme tous les cas rares (quel manque de bol hein !)

Je penses que d'autres sont comme moi .

Inaccessible ? pourquoi ? 

Il y a 9 heures, PtitAngelina a dit :

Je penses que d'autres sont comme moi .

Inaccessible ? pourquoi ? 

Elles sont rares et tu pourrais le vérifier en voulant les observer. Or tu partiras bien plus probablement du principe qu'une telle observation serait de la perte de temps, plutôt que de vivre ce que tu as à vivre. Te concentrer sur toi plutôt que sur l'observation que tu trouveras stérile des autres. Ceci fait aussi partie de l'individualisme, psychologisant. En réalité car cela permet de profiter de ses avantages naturels et sociaux en se déculpabilisant d'avoir des privilèges, surtout dans un pays où le thème des "privilèges" a fait tomber des têtes, a été en permanence très justement compris comme des injustices (qu'elles viennent de la nature ou de la société).

Par inversion confortable, on voit ici comment il est nécessaire de culpabiliser le faible, le non privilégié, qui n'avait qu'à développer ses propres privilèges. Cela reprend sans aucune gène le thème récurrent du pauvre qui n'avait qu'à bosser pour ne pas l'être, sempiternellement récité par des "héritiers", des "rentiers", des "chanceux", des gens qui se donnent l'impression de se devoir des choses qu'ils doivent en réalité à la nature ou à la société, très rarement à leur soit disant "travail".

Mais cela les justifie et les conforte dans leur sentiment de supériorité et leur légitimité à user des autres comme bon leur semble, tout en le niant... bien sûr. psychologiquement cette contradiction leur sert à maintenir leur pouvoir. Et ils le savent, au moins instinctivement tant qu'on ne leur a par fourrer sous le nez la logique de manipulation bien réelle que cela traduit. Mais là encore, il seront dans la nécessité, on le voit parfaitement ici, de le nier. C'est une question de survie de leur identité, de leur présentation d'eux-mêmes aux autres, de leur image sociale.

Ne le prend pas pour toi ou seulement pour toi. De plus ce n'est pas une critique mais une invitation à être plus réaliste et honnête. Accepter de se reconnaitre comme bénéficiant d'inégalité, et arrêter de culpabiliser les autres, simplement compatir plutôt que de chercher à se disculper comme le feront toujours des Soizigs et autres Gouderiens (ce qui en soi expose leur réalité).

il y a 4 minutes, Easle a dit :

 

Elles sont rares et tu pourrais le vérifier en voulant les observer. Or tu partiras bien plus probablement du principe qu'une telle observation serait de la perte de temps, plutôt que de vivre ce que tu as à vivre. Te concentrer sur toi plutôt que sur l'observation que tu trouveras stérile des autres. Ceci fait aussi partie de l'individualisme, psychologisant. En réalité car cela permet de profiter de ses avantages naturels et sociaux en se déculpabilisant d'avoir des privilèges, surtout dans un pays où le thème des "privilèges" a fait tomber des têtes, a été en permanence très justement compris comme des injustices (qu'elles viennent de la nature ou de la société).

Par inversion confortable, on voit ici comment il est nécessaire de culpabiliser le faible, le non privilégié, qui n'avait qu'à développer ses propres privilèges. Cela reprend sans aucune gène le thème récurrent du pauvre qui n'avait qu'à bosser pour ne pas l'être, sempiternellement récité par des "héritiers", des "rentiers", des "chanceux", des gens qui se donnent l'impression de se devoir des choses qu'ils doivent en réalité à la nature ou à la société, très rarement à leur soit disant "travail".

Mais cela les justifie et les conforte dans leur sentiment de supériorité et leur légitimité à user des autres comme bon leur semble, tout en le niant... bien sûr. psychologiquement cette contradiction leur sert à maintenir leur pouvoir. Et ils le savent, au moins instinctivement tant qu'on ne leur a par fourrer sous le nez la logique de manipulation bien réelle que cela traduit. Mais là encore, il seront dans la nécessité, on le voit parfaitement ici, de le nier. C'est une question de survie de leur identité, de leur présentation d'eux-mêmes aux autres, de leur image sociale.

 

Ne le prend pas pour toi ou seulement pour toi. De plus ce n'est pas une critique mais une invitation à être plus réaliste et honnête. Accepter de se reconnaitre comme bénéficiant d'inégalité, et arrêter de culpabiliser les autres, simplement compatir plutôt que de chercher à se disculper comme le feront toujours des Soizigs et autres Gouderiens (ce qui en soi expose leur réalité).

 

 

Mais j'observe et rien n'est pertes de temps . On apprends tout les jours sur soi sur les autres rien qu'en observant le comportement humain .

Tout ne s'apprends pas que dans les livres , le terrain est une source d'apprentissage immense .

Et l'amour des autres en est une autre .

il y a 6 minutes, PtitAngelina a dit :

Mais j'observe et rien n'est pertes de temps . On apprends tout les jours sur soi sur les autres rien qu'en observant le comportement humain .

Tout ne s'apprends pas que dans les livres , le terrain est une source d'apprentissage immense .

Et l'amour des autres en est une autre .

 

Surtout le terrain. Mais il faut le pratiquer, faire des enquêtes, regarder, écouter, disséquer. Ce n'est pas bien difficile une fois qu'on a pris le plis, c'est une habitude à voir, à crever la bulle du moi auto centré.

Et les livres peuvent être aussi utile. Lire l'expérience, les enquêtes des autres est nécessaire.

Il n'y a pas plus bête qu'un être humain qui a besoin de "faire ses propres expériences". Cela signifie qu'il apprend peu et lentement, répétant les mêmes erreur que ces aïeux. C'est affligeant.

Si la science, si un scientifique, devait en permanence tout ré-expérimenter, on aurait jamais avancé. On passerait son temps, comme certain-e-s, à ré-inventer le fil à couper le beurre.

il y a 3 minutes, Easle a dit :

 

Surtout le terrain. Mais il faut le pratiquer, faire des enquêtes, regarder, écouter, disséquer. Ce n'est pas bien difficile une fois qu'on a pris le plis, c'est une habitude à voir, à crever la bulle du moi auto centré.

Et les livres peuvent être aussi utile. Lire l'expérience, les enquêtes des autres est nécessaire.

Il n'y a pas plus bête qu'un être humain qui a besoin de "faire ses propres expériences". Cela signifie qu'il apprend peu et lentement, répétant les mêmes erreur que ces aïeux. C'est affligeant.

Si la science, si un scientifique, devait en permanence tout ré-expérimenter, on aurait jamais avancé. On passerait son temps, comme certain-e-s, à ré-inventer le fil à couper le beurre.

Tout a fais d'accord avec toi