Les limites de l'Homme

Bonsoir

 C'est ce que les nazis voulaient faire : la race des seigneurs .supprimer les infirmes , les gens qui ne correspondaient pas à des normes .

nous avons mieux que cela, et beaucoup plus efficace ( une bonne) guerre nucléaire et Dieu reconnaîtra les siens , pour les Croyants ?

Bonne soirée

Quand je dis que la philosophie est morte . 

Il y a 19 heures, paulau a dit :

Trois débats nous sont imposés par les élites : le genre, les droits de l’animal, l’euthanasie.
Derrière les bons sentiments affichés on s 'aperçoit que se font jour des conséquences absurdes sinon abjectes.
Si le genre n’est pas lié au sexe, pourquoi ne pas en changer tous les matins ? Si le corps est à la disposition de notre conscience, pourquoi ne pas le modifier à l’infini ?
S’il n’y a pas de différence entre animaux et humains, pourquoi ne pas faire des expériences scientifiques sur les comateux plutôt que sur les animaux ? Pourquoi ne pas avoir de relations sexuelles avec son chien ? Pourquoi les droits de l 'Homme ?
S’il est des vies dignes d’être vécues et d’autres qui ne le sont pas, pourquoi ne pas liquider les « infirmes », y compris les enfants « défectueux » ? Pourquoi ne pas nationaliser les organes des quasi-morts au profit d’humains plus prometteurs ?
Il existe un point commun à toutes ces théories : la volonté d ' effacer les limites. Limites entre les sexes, entre les animaux et les humains, entre les vivants et les morts.
Ce sont ces limites qui nous constituent. Ces théories sont inhumaines.

 

Si votre sentiment est que ces débats vous sont imposés, il suffit de ne pas vous laisser imposer.

Aucun débat ne peux vous être imposé.

Derrière les bons sentiments affichés, on peut trouver toutes sortes de choses, si vous savez que ces bons sentiments ne sont pas sincères, qu'il sont une façade pour jouer le jeu des apparences, si vous le savez, vous êtes libres, et si vous êtes libres, peu importe l’hypocrisie et les mensonges, les mensonges sont comme les insultes, ils ne salissent que ceux qui les profèrent.

Le genre est juste un mot sur une étiquette, les étiquettes sont des symboles, ce qui est important, c'est comme on se sent soi-même, par delà toutes les étiquettes et la bien-pensance. Si vous vous sentez garçon avec des attributs de garçons,  vous ne ressentirez pas le besoin de changer de sexe. Si vous vous sentez garçon avec des attributs de fille, il vous reste de l'accepter vous-même et vous ne ressentirez pas le besoin de changer de sexe. Ce ne sont pas les attributs qui déterminent la catégorie, mais la sensibilité et la façon dont on veut exprimer sa sensibilité.

Qui a dit qu'il n'y avait pas de différence entre l'animal et l'humain ? Celui qui le dit doit nourrir en secret le vœu de vivre dans la savane ou en forêt vierge, qu'il y aille dans ce cas. Mais j'ai  connu des hommes qui vivaient en forêt vierge et j'ai vu chez eux que bien qu'ils tenaient en estime fraternelle les animaux qui partageaient leur territoire, ils ne se considéraient pas comme eux. Et on peut leur donner raison au vu que leurs actes sont parfois à la hauteur de ceux des anges. Ce que sont capables de faire les humains, aucun animal ne le peut. Hélas trop rares sont ces actes permis par une condition humaine encore empêtrée dans l'argile de l'inconscience.

Abandonnons les théories inhumaines et les autres, peu importe les théories, elle sont fumée dans nos pensées.

Pour l'acte d'aimer, il n'ait besoin d'aucune théorie.