l'époque du désengagement

Bonjour!

Les "complexes" bien qu'ils arrivent avec "perte et fracas", lol, ne viennent pas imposer leur idées, mais juste pour les dire, et aussi lire voire adopter celles des autres!

___

CONSTAT  Nous sommes à l'époque du désengagement et de la zapette. Dès qu'une chose déplait ou demande un effort, on zappe.

Pa exemple, Plus personne ou presque ne s'engage dans un parti politique, ni dans un syndicat. Et adns les assocaitins (en tous cas dansle sud), il y en a un qui fait tout

et les autres rien. (je suis concerné, l'année scoliare 2021-2022, ai été engagé dans une association et "n'ai plus le temps d'y aller, mais suis resté en bon terme et participe

de loin)

Autre exemple (surtout dans le sud), une personne lance un projet, tout le monde est d'accord, qui y va? personne!

autre exemple: vous dîtes à un ami "regarde telle émission/vidéo", il ne regarde pas, la seule façon de lui faire visionner une courte vidéo, c'est de lui envoyer le lien. S'il y a la moindre recherche, plus personne!

___

ANALYSE

En fait pour une raison X, chacun de nous "se fout des autres"., peut être parce qu'on aurait présumé que "les autres ne peuvent rien apporter, ne le comprennent pas.

mais en fait c'est en pensant cela que cela devient vrai!

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SOLUTION PROPOSEE

Pour inciter l'autre à se ré-engager, commencer par s'engager soi-même pour l'autre. (passage à l'acte: aller répondre à 2 ou 3 threads d'autres persones)

C'est un peu la phrase de Kennedy "ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, mais ce que tu peux faire pour ton pays", mais sans le mot "pays" qui a été détourné de son sens, plutôt avec le mot "groupe" (et non communauté, qui fait trop communautarisme * non-"=écoute-active

il y a une heure, Norbert a dit :

 

Bonjour!

Les "complexes" bien qu'ils arrivent avec "perte et fracas", lol, ne viennent pas imposer leur idées, mais juste pour les dire, et aussi lire voire adopter celles des autres!

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CONSTAT  Nous sommes à l'époque du désengagement et de la zapette. Dès qu'une chose déplait ou demande un effort, on zappe.

Pa exemple, Plus personne ou presque ne s'engage dans un parti politique, ni dans un syndicat. Et adns les assocaitins (en tous cas dansle sud), il y en a un qui fait tout

et les autres rien. (je suis concerné, l'année scoliare 2021-2022, ai été engagé dans une association et "n'ai plus le temps d'y aller, mais suis resté en bon terme et participe

de loin)

Autre exemple (surtout dans le sud), une personne lance un projet, tout le monde est d'accord, qui y va? personne!

autre exemple: vous dîtes à un ami "regarde telle émission/vidéo", il ne regarde pas, la seule façon de lui faire visionner une courte vidéo, c'est de lui envoyer le lien. S'il y a la moindre recherche, plus personne!

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ANALYSE

En fait pour une raison X, chacun de nous "se fout des autres"., peut être parce qu'on aurait présumé que "les autres ne peuvent rien apporter, ne le comprennent pas.

mais en fait c'est en pensant cela que cela devient vrai!

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SOLUTION PROPOSEE

Pour inciter l'autre à se ré-engager, commencer par s'engager soi-même pour l'autre. (passage à l'acte: aller répondre à 2 ou 3 threads d'autres persones)

C'est un peu la phrase de Kennedy "ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, mais ce que tu peux faire pour ton pays", mais sans le mot "pays" qui a été détourné de son sens, plutôt avec le mot "groupe" (et non communauté, qui fait trop communautarisme * non-"=écoute-active

 

 

Pour s’engager dans une voie il est nécessaire de voir cette voie cheminer jusqu’à l’horizon. Nécessaire de ressentir un infini, spatial, dans la contemplation du cheminement de la voie. Cela c’est pour l’humain dégagé de la nécessité. 
Si la voie considérée bute sur un impossible, sur un mur, sur une impasse, alors l’humain ne s’engage pas. 
La question n’est pas : pourquoi ne s’engage t on plus, la question est : pourquoi la politique, le syndicalisme, les religions, etc. apparaissent  tels qu’ils semblent, à l’horizon, s’écraser sur des murailles, ou sombrer dans des abimes.