3 blessés après qu’une voiture tombe dans la Maine à Angers.

il y a 2 minutes, Morfou a dit :

-Juste pour votre information...

Peut-être à condition que le suicidé soit seul dans son acte et qu'il n'entraîne pas sa famille avec lui !

il y a 48 minutes, Plouj a dit :

Tout à fait, à cet endroit il faut aller chercher la berge ...

D'après la photo c'est évident...

à l’instant, Plouj a dit :

Peut-être à condition que le suicidé soit seul dans son acte et qu'il n'entraîne pas sa famille avec lui !

C'est pourquoi mon "pour info"...c'est possible dans certaines circonstances, contrairement à ce qui se passait avant, et bien sur pas dans d'autres...

Qui le demanderait dans la situation que vous décrivez?

il y a 5 minutes, Morfou a dit :

Qui le demanderait dans la situation que vous décrivez?

Des membres de la famille restante, cousins, parents ....

il y a 21 minutes, Plouj a dit :

Des membres de la famille restante, cousins, parents ....

Moi je ne l'aurais pas demandé...je ne sais même pas si j'aurais assisté à quoi que ce soit...pourtant c'était mon fils, mais s'il avait emporté ses 3 gosses avec lui....

il y a 4 minutes, Morfou a dit :

Moi je ne l'aurais pas demandé...je ne sais même pas si j'aurais assisté à quoi que ce soit...pourtant c'était mon fils, mais s'il avait emporté ses 3 gosses avec lui....

Je ne suis pas sûr que l'on puisse se projeter et savoir ce que l'on ferait dans de telles circonstances.

à l’instant, Plouj a dit :

Je ne suis pas sûr que l'on puisse se projeter et savoir ce que l'on ferait dans de telles circonstances.

Ce n'est pas une projection...question de circonstances!

Il y a 6 heures, Morfou a dit :

De même, aujourd’hui, l’Église catholique accepte de célébrer les obsèques d’une personne s’étant donnée la mort comme l’expliquait, interrogé par La Croix, le père Bruno Mary, qui était alors directeur du service national de pastorale liturgique et sacramentelle de la Conférence des évêques de France.

« Sans doute traîne-t-il encore dans les têtes le refus qui a été opposé à la célébration des funérailles à l’église pour des personnes qui s’étaient suicidées ou dont le choix de vie pouvait interpeller, assurait-il. On considérait à l’époque que le suicide était un acte délibéré de défi contre Dieu, une volonté de prendre sa place, lui qui est le maître de la vie. Aujourd’hui, nous savons bien que ce n’est généralement pas le cas, que le suicide reste surtout un très grand mystère pour les familles. Dans des funérailles, nous confions à Dieu un défunt pour qu’il en prenne soin. Il ne s’agit pas de juger sa vie. »

-----------Juste pour votre information...

Merci beaucoup, effectivement il semblerai que les grosse huiles de vidanges aient changé,  juste avant le déclin faut reconnaître le fait.

Mais j'aime bien on considérait à l'époque, ce fut plus d'un millénaire cette époque, faut alors admettre que dans le milieu catho la comprenure est des plus laborieuse, voir très très lente.