Bill Millin

Bill Millin, connu sous le surnom de « Piper Bill », né le 14 juillet 1922 à Regina en Saskatchewan (Canada)^{[réf. nécessaire]} et mort le 17 août 2010^[1] à Torquay, est un soldat britannique. Il était le joueur de cornemuse personnel de Lord Lovat, commandant de la 1^re Brigade spéciale britannique le Jour J, lors du débarquement de Normandie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bill_Millin

Festival de St-Chartier (Berry) musiques traditionnelles 

Bill Millin était invité pour son 75e anniversaire, il a joué et ensuite répondu aux questions 

« «  je ne sais pas comment je m’en suis sorti mais des soldats allemands fait prisonniers ont

déclare ,   nous l’avions au bout de fusil mais on ne tire pas sur un fou « « 

bonsoir

il y à un proverbe qui dit que : la musique adoucie les moeurs  , donc , peut-être un moment de grâce en plein enfer ?

bonne soirée

Belle phrase

merci

Le 13/06/2021 à 11:30, Betacam1418 a dit :

Bill Millin était invité pour son 75e anniversaire, il a joué et ensuite répondu aux questions 

« «  je ne sais pas comment je m’en suis sorti mais des soldats allemands fait prisonniers ont

déclare ,   nous l’avions au bout de fusil mais on ne tire pas sur un fou «

Pour ces fins critiques d'outre Rhin ce devait être de l'art dégénéré 

Enfin il s'en est tiré vivant c'est le principal, et il peut continuer à nous régaler de sa bonne zik: vive la cornemuse !

qu'il repose en paix !

rester stoique au milieu d'un combat ,et quel combat ,cela démontre un courage extraordinaire !

Le 14/06/2021 à 16:13, sovenka a dit :

Pour ces fins critiques d'outre Rhin ce devait être de l'art dégénéré 

Bonjour sovenka,

J’ai une interprétation différente de cette situation paradoxale ?

La guerre, le combat, la mort de jeunes hommes, est le paroxysme de la déshumanisation.

La musique, particulièrement celle d’un instrument à air comme la cornemuse est sans doute l’évocation pour chacun des adversaires à ce moment-là, celle d’une époque heureuse antérieure, synonyme de paix mais aussi de la fragilité de l'existence, la sienne, celle des autres, avec cette cornemuse rythmée par le souffle des poumons, synonyme de vie ?

On ne tire pas sur un fou, prétendaient les allemands, je pense que c’est plutôt l’alibi qu’ils se donnaient pour le plaisir d’écouter cette musique auquel ils n’étaient pas insensibles, justifiant ainsi le refus de tuer l’ennemi en réponse aux ordres, dans ce cas précis.

 Un peu tiré par les ch’vos tout ça