Réflexion politique avec Totof 44

Bonsoir Monsieur Totof 44,

La laïcité positive consiste en la promotion d'une culture comme l'anglicanisme, le vaticanisme, l'islamisme politique ou l'israélime dans les débats publics. Tandis que la laïcité plurielle est une laïcité qui vise l'émancipation et à l'intégration de plusieurs cultures par une réconciliation entre les anciennes traditions et les nouvelles coutumes issues de de notre communauté nationale plurielle de la République. Je pense alors que l'on devrait amender la proposition de loi conduite par la droite du Sénat en matière du principe de primauté des valeurs républicaines de la laïcité dans la Constitution pour consacrer un principe républicain de primauté d'une laïcité plurielle ou d'intégration au nom de l'indépendance de notre souveraineté républicaine laïc d'intégration à l'heure d'une lepénisation des esprits et d'un identitarisme communautaire groupusculaire dangereux pour notre République de la diversité des origines; Qu'en pensez-vous ? Que pensez-vous aussi quant à l'interprétation que peut faire la jurisprudence constitutionnelle du conflit de normes fondamentales dans le cadre du contrôle de proportionnalité  du Conseil constitutionnel entre la liberté de conscience et la liberté de croyance avec la liberté d'association dans le cadre de la loi sur le séparatisme ? N'est-il opportun de distinguer entre un principe général à valeur constitutionnelle de liberté d'association cultuelle et de liberté d'association non cultuelle pour exercer sa liberté d'opinion par un contrat d'association avec autorisation préalable dans le pouvoir d'interprétation de la norme constitutionnelle ?  

La décentralisation participative à projets plutôt qu'une décentralisation organico-fonctionnelle permet un engagement citoyen et un renouvellement de la classe politique par le bas enfin à mon sens. Faut-il qu'elle figure dans le projet de loi 4 D portant  en matière de décentralisation participative ? Doit-il être complété par une mesure de publicité avec d'avis consultatif d'une assemblée de citoyens en matière de passation de marchés publiques ou de contrat de délégation de services publics à un tiers ?  Une décentralisation participative permet en effet de débattre à l'échelle d'un quartier populaire ou d'une commune rurale d'avant-projets en matière de politiques de la ville locale liée au fait que l'on va progressivement basculer vers des processus de développement d'urbanisation rurale ou de campagne urbaine (repeuplement des désert médicaux etc...) à l'image par exemple du modèle des conseils de quartiers.

Non, je suis pour une conception d'un élitisme éthique de la classe politique avec par exemple une inéligibilité provisoire en cas de manquement à ses droits civiques. Je souhaite qu'elle figure dans la loi de moralisation et de transparence de la vie publique. Qu'en pensez-vous ?

Au niveau local parce que la politique d'aménagement et de compétitivité du territoire dépend d'une économie circulaire et des circuits-courts comme l'artisanat durable et équitable ou l'industrie de moyenne taille de lutte contre l'obsolescence programmée à circuits-courts etc...) . Il s'agit d'éviter de dépendre d'une compétitivité nationale par la norme à mon sens trop rigide et  trop globalisante dans le cadre d'une programmation de marchés publics durables peu adaptée aux spécificités de chacun de nos territoires. Je propose d'abord d'intégrer un principe de compétence subsidiaire dans la Constitution en matière de compétence d'action dans le cadre d'une économie locale intégrative et d'innovation progressive et décarbonée (entreprises progressistes etc...).Peut-t-il y avoir en effet selon vous des économies d'échelles si on multiplie ce modèle de créativité d'entreprenariat sur l'ensemble de notre territoire républicain comme condition préalable à un modèle français d'une internationalisation par l'innovation? 

Cordialement 

Il y a 2 heures, Fersi a dit :

Cordialement 

Ca j'ai compris.