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En 40 ans, les cas d'obésité chez l’enfant et l’adolescent ont été multipliés par dix


Petit ours

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Membre, Raphaël 🇦🇲🇵🇸, 22ans Posté(e)
Petit ours Membre 5 438 messages
Maitre des forums‚ 22ans‚ Raphaël 🇦🇲🇵🇸,
Posté(e)
il y a 14 minutes, Sittelle a dit :

Dans la quasi totalité des club très rapidement tu vas être confronté à la compétition .. si tu n'est pas performant tu te retrouve sur la touche .. 

C'est très compliquer de pratiquer une  activité sportive si tu n'as pas une âme de compétiteur ..

Je parle pour les ados .. les adultes qui malgré tout continuent ont plus de choix ..

 

Et ouis il me semble que ce foit être encore plus compliqué pour un adolescent en surpoid de faire du sport .. outre son poids il faut aussi affronter les moqueries des ses camarades ..

Oui, si vous n'aimez pas la compétions il faut vraiment  éviter  les vraiment sport comme le tennis , l'équitation, les sports collectif (football,basketball, handball…)

Il  reste  quand meme le roller, le cyclisme, la natation, la course a pied...

Les jugement sur le physique son assez courant mais  certains sport comme le rugby ou le judo accepte les gens en surpoids beaucoup moins dans le  volleyball , la gym ou le football…qui  on vraiment  besoin de joueur fin/léger .

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 12 603 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
il y a 1 minute, Petit ours a dit :

Oui, si vous n'aimez pas la compétions il faut vraiment  éviter  les vraiment sport comme le tennis , l'équitation, les sports collectif (football,basketball, handball…)

Il  reste  quand meme le roller, le cyclisme, la natation, la course a pied...

Les jugement sur le physique son assez courant mais  certains sport comme le rugby ou le judo accepte les gens en surpoids beaucoup moins dans le  volleyball , la gym ou le football…qui  on vraiment  besoin de joueur fin/léger .

Détrompe toi Petit Ours .. si tu es inscrit dans un club tu seras de toutes façons tôt ou tard incité à, voir obligé de faire des compétitions .. y comprit dans le tennis la natation ou le cyclisme .

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Membre, Raphaël 🇦🇲🇵🇸, 22ans Posté(e)
Petit ours Membre 5 438 messages
Maitre des forums‚ 22ans‚ Raphaël 🇦🇲🇵🇸,
Posté(e)
il y a 5 minutes, Sittelle a dit :

Détrompe toi Petit Ours .. si tu es inscrit dans un club tu seras de toutes façons tôt ou tard incité à, voir obligé de faire des compétitions .. y comprit dans le tennis la natation ou le cyclisme .

Oui effectivement mais on peut toujours faire du vélo ou  courir sans s'inscrire dans un club...pour la natation et bien tout le monde n'a pas de jardin et encore moins de piscine mais d'autres  sport sont praticable a domicile.

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Invité Panem&Circenses
Invités, Posté(e)
Invité Panem&Circenses
Invité Panem&Circenses Invités 0 message
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il y a une heure, Sittelle a dit :

Dans la quasi totalité des clubs très rapidement tu vas être confronté à la compétition .. si tu n'es pas performant tu te retrouves sur la touche .. 

 

il y a 26 minutes, Sittelle a dit :

si tu es inscrit dans un club tu seras de toutes façons tôt ou tard incité à, voir obligé de faire des compétitions .. 

:mef2:

Je ne sais pas de quels clubs tu parles, mais je réfute tes affirmations.

De très nombreuses associations sportives proposent des activités dites "loisir", sans compétitions. Je ne connais pas d'association qui oblige (sic) des enfants à participer à des championnats.

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 12 603 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
il y a 32 minutes, Panem&Circenses a dit :

 

:mef2:

Je ne sais pas de quels clubs tu parles, mais je réfute tes affirmations.

De très nombreuses associations sportives proposent des activités dites "loisir", sans compétitions. Je ne connais pas d'association qui oblige (sic) des enfants à participer à des championnats.

Ils n'obligent pas .. ils proposent .. mais très vite ceux qui ne sont pas interessés sont ecartés des groupes performants .. c'est rarement motivant .

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 132 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Ce n’est pas un souci , l’important c’est de s’accepter tel que l’on est :sleep:

 

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Invité Panem&Circenses
Invités, Posté(e)
Invité Panem&Circenses
Invité Panem&Circenses Invités 0 message
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il y a 56 minutes, Sittelle a dit :

mais très vite ceux qui ne sont pas interessés sont ecartés des groupes performants

Ce qui est logique si ces groupes sont axés sur la performance en compétition.

Dans mon club de judo, par exemple, il y a des entraînements communs à tous les pratiquants et des cours supplémentaires réservés à ceux qui souhaitent aller plus loin dans la technique ou le combat. Effectivement, le Senseï a son mot à dire et peut refuser certains élèves lors de ces séances. C'est son métier.

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Membre, Raphaël 🇦🇲🇵🇸, 22ans Posté(e)
Petit ours Membre 5 438 messages
Maitre des forums‚ 22ans‚ Raphaël 🇦🇲🇵🇸,
Posté(e)

5 façons de contrer le « décrochage sportif »

https://activeforlife.com/fr/contrer-le-decrochage-sportif/#:~:text=La raison numéro un pour,jeunes athlètes sur leurs motivations.

keep-kids-playing-sports.jpg

On ne perd pas seulement les jeunes qui n’arrivent pas à entrer dans l’équipe universitaire, on perd bon nombre de nos plus grands athlètes.

Qu’on soit parent ou entraîneur, je crois qu’il est crucial de comprendre les motifs qui poussent nos enfants à pratiquer un sport et à l’abandonner. Une communication sincère et réciproque avec nos athlètes est également essentielle, de façon à repérer les premiers signes de détresse et à redresser la barre avant qu’il ne soit trop tard.

J’ai noté cinq raisons, responsables du décrochage sportif des jeunes et qui ont toutes un dénominateur commun : un état d’esprit négatif. Si l’une (ou plusieurs) d’entre elles correspond à votre enfant ou à votre adolescent, dites-vous bien qu’il existe une solution et qu’il n’est jamais trop tard pour changer les règles du jeu.

Quand on ne s’amuse plus

La raison numéro un pour laquelle un enfant abandonne une activité sportive est parce qu’il ne la trouve plus amusante. Dans le cadre d’une étude menée en 2014 par l’Université George Washington, la chercheuse Amanda Visek a interrogé de jeunes athlètes sur leurs motivations. 9 sur 10 ont répondu en premier le plaisir et l’amusement.

Les participants ont donné 81 définitions de ce plaisir. Essayer de faire de son mieux, être respecté par son entraîneur, ses parents et ses coéquipiers, et avoir du temps de jeu sont en tête de liste. Gagner n’arrive qu’en 48e position, disputer des tournois en 63e et s’entraîner avec un moniteur privé en 66e.

Si un jeune sportif ne s’amuse plus, il finira par abandonner, peu importe ses aptitudes, son équipe ou son entraîneur. Un adulte choisit ses activités (physiques, bénévoles ou autres) – et s’y tient – en fonction du plaisir qu’elles lui procurent. Nos enfants font de même.

La solution : posez une simple question à votre enfant: « Est-ce que ça te plaît d’être sur le terrain? » Aucun sportif n’est jamais trop vieux ou trop talentueux pour y répondre. Plus le plaisir est présent, plus la motivation de jouer est grande et meilleures sont les performances. Michael Jordan aimait tellement le basketball qu’il avait une clause dans ses contrats professionnels intitulée « amour du jeu », lui permettant d’improviser une partie chaque fois qu’il le désirait. Le plaisir de jouer est indispensable. S’il disparaît, il faut trouver un moyen de le raviver sinon, c’est la retraite assurée!

Quand on est plus maître du jeu

Si un enfant a l’impression que son expérience sportive ne lui appartient plus, il aura tendance a y prendre moins de plaisir et à se tourner vers d’autres activités à l’abri de l’œil critique de l’adulte. Tout comme Kate, des millions de jeunes troquent le sport pour un autre passe-temps où chacune de leurs actions ne sera pas surveillée de trop près. Cela ne veut pas dire qu’ils refusent l’apprentissage ou les conseils, mais simplement qu’ils veulent conserver leur autonomie. Vous en doutez? Alors demandez-vous pourquoi un adolescent passe en moyenne 17 heures par semaine avec sa console de jeux vidéo (version anglaise). Une grande partie de la réponse est parce qu’il n’y a personne à ses côtés pour critiquer son jeu ou attendre qu’il le divertisse. Votre enfant ne peut s’approprier une victoire ou une défaite s’il vous entend dire « On a marqué dix paniers » ou « On a encaissé trois buts ». Si depuis la ligne de touche, vous lui intimez de tirer, dribbler, passer le ballon au lieu de le laisser prendre ses propres décisions, vous ne l’aidez pas. Vous le dépouillez de son expérience de jeu tout en lui gâchant son plaisir. Qui a envie que son patron regarde par-dessus son épaule toute la journée et critique son travail? Personne. Alors pourquoi penser qu’un jeune athlète y trouverait du plaisir ou un profit?

La solution : acceptez les buts sportifs de votre enfant. Pour ce faire, utilisez le formulaire Se fixer des buts entre parents et enfant et regardez la vidéo qui l’accompagne (version anglaise).

Aidez-le à se découvrir une passion plutôt que de lui en imposer une. Quand vous assistez à l’un de ses matchs, ne criez jamais après l’arbitre. À la fin, encouragez votre enfant ou taisez-vous. Si vous ne trouvez pas les mots, demandez-lui. Il pourrait vous surprendre.

Quand on est privé de temps de jeu

Si un enfant fait partie d’une équipe et qu’il n’entre quasi jamais sur le terrain ou qu’il se fait sortir à chaque faute commise, il abandonnera. Un enfant veut jouer. Un enfant a besoin de jouer. Il se fiche de savoir que son équipe est bonne ou que son entraîneur est réputé, s’il n’a jamais l’occasion de participer. D’après une étude mené par l’Institut Josephean, 90 % des jeunes préfèrent jouer avec une équipe qui perd plutôt qu’être assis sur le banc d’une équipe qui gagne.

La culture de gagner à tout prix, que nous imposons de plus en plus tôt à nos petits sportifs, entrave leur rythme de développement. Quand un entraîneur n’a qu’un seul but en tête : gagner, et qu’il ne fait entrer sur le terrain que les joueurs capables d’atteindre ce but, il dégoûte les autres tout en les empêchant de progresser. Si Mike Matheny, gérant d’une ligue majeure de baseball, arrive à faire jouer tous ses joueurs pendant de longues minutes et ce, quelle que soit leur position, c’est que c’est possible.

La solution : un entraîneur doit faire jouer tous les membres d’une équipe, notamment s’ils sont très jeunes. Si vous vous apercevez que votre enfant, bien qu’il aille à tous les entraînements et à tous les matchs, n’entre jamais sur le terrain, demandez-lui s’il en est malheureux. Si la réponse est oui, changez-le d’équipe en fin de session. Le monde du sport universitaire et professionnel est rempli d’athlètes qui n’étaient pas des stars à 11 ans. Certains faisaient même partie de la pauvre équipe « B ». Mais on les a fait jouer, ce qui leur a permis d’améliorer leur technique, de prendre confiance en eux et d’aimer leur sport. Aucun trophée d’équipe ne remplace le fait de ne pas participer à un match.

Quand on a peur de mal faire

À force d’être critiqué, de se faire crier dessus quand il commet une faute, de passer trop de temps sur le banc, un enfant se met à craindre de mal faire et abandonne. Les meilleurs joueurs sont ceux qui grandissent dans un environnement où l’erreur est permise, où on les encourage à essayer quitte à se tromper, où on leur explique que l’échec fait partie du jeu et de la progression. Les entraîneurs et les parents qui ne cessent de commenter chaque action d’un match, qui mettent en doute chaque décision prise par le joueur, et qui lui hurle dessus quand il échoue alors qu’il a pourtant fait de son mieux, créent une culture de la peur qui a pour conséquence le décrochage.

La solution : encouragez la prise de risque et l’échec éventuel qui va avec. Ne félicitez pas seulement votre enfant pour les actions réussies pendant le match mais aussi pour sa façon de réagir juste après avoir commis une maladresse. A-t-il repris le ballon? A-t-il tenu tête à un autre joueur? S’est-il battu jusqu’au bout? Complimentez la bonne gestion de ses erreurs et créez ainsi un environnement positif où la peur de se tromper n’existe pas.

Quand on ne se sent pas respecté

Dans l’étude menée en 2014 par l’Université George Washington, les jeunes participants ont listé les caractéristiques qui font un bon entraîneur : respect et encouragement sont arrivés en tête. Je n’ai jamais rencontré un adulte qui aimait que ses amis, sa famille ou ses collègues lui manquent de respect. Pourtant, il suffit d’assister à n’importe quel match pour constater le manque d’indulgence des adultes auprès des enfants dès lors qu’ils ratent une passe. De la même façon, le documentaire The Short Game nous montre de petits prodiges du golf, capables de faire aussi bien à 7 ans à peine que les pros de la PGA, harcelés par leurs parents. Ridicule!

Le monde du sport peut être très dur. Devenir un joueur expérimenté exige des milliers d’heures de pratique et, nous, on voudrait que nos joueurs de soccer de 9 ans prennent toutes les bonnes décisions et que nos joueurs de baseball de 11 ans ne se trompent jamais. Bon nombre d’entraîneurs et de parents qui critiquent les maladresses sportives des jeunes athlètes n’autoriseraient pas un tel comportement de la part d’un professeur d’école ou d’un patron. On ne permettrait pas à nos enfants de venir voir l’un de nos matchs et d’agir de la sorte avec nous, pas vrai?

La solution : appliquez la règle d’or « Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse. » Respectez les efforts, la détermination et le courage dont votre enfant fait preuve pour pratiquer un sport dans un monde où les adultes considèrent dorénavant le sport des jeunes comme leur nouveau divertissement. Votre enfant a gagné votre respect simplement en osant entrer dans l’aréna. Respectez-le comme vous voudriez l’être.

De nos jours, aux États-Unis et un peu partout dans le monde, plus de 70 % des enfants abandonnent leur activité sportive à 13 ans. Ceci, alors que près d’un jeune Américain sur 3 est en surpoids ou obèse, ressemble à une mauvaise parodie.

Les adultes impliqués dans le sport chez les jeunes, qu’ils soient parents, entraîneurs ou administrateurs, ont la responsabilité de créer un cadre qui réponde aux besoins, aux valeurs et aux priorités des enfants, non aux leurs. 70 % des jeunes qui décrochent nous disent qu’on a échoué.

Mais on peut changer les règles du jeu et créer un environnement épanouissant pour nos enfants, de façon à ce qu’ils persévèrent. Il nous suffit de mieux communiquer avec eux, de leur demander ce qu’ils retirent de cette expérience sportive et de faire en sorte qu’elle soit la leur.

Il nous suffit de les traiter avec le respect qu’ils méritent et de les laisser apprendre de leurs erreurs.

Il nous suffit de leur offrir un terrain sur lequel ils pourront jouer en toute sécurité.

Un taux d’échec de 70 % fait peut-être gagner des millions au baseball professionnel mais dessert nos jeunes sportifs.

Changeons les règles du jeu, et tout le monde en bénéficiera!

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Membre, Raphaël 🇦🇲🇵🇸, 22ans Posté(e)
Petit ours Membre 5 438 messages
Maitre des forums‚ 22ans‚ Raphaël 🇦🇲🇵🇸,
Posté(e)

Réponse d'expert : "Mon enfant veut changer de sport chaque année. Dois-je le forcer à continuer ?"

https://www.magicmaman.com/,reponse-d-expert-mon-enfant-veut-changer-de-sport-chaque-annee-dois-je-le-forcer-a-continuer,2375101.asp

A 9 ans, la fille de notre maman ne cesse de changer d'activité sportive : poney, piscine, multisports, etc. Ce comportement est-il synonyme d'instabilité ? Comment l'aider à rester motivée ? Didier Pleux, notre expert psychologue, lui livre ses conseils.

La question de la maman :
Bonjour,
Ma fille de bientôt 9 ans change de sport quasiment chaque année. Elle a déjà fait 1 an de poney, puis opté pour 2 ans de piscine et enfin 1 an de multisports. Elle souhaite encore changer cette année pour faire de la gym ou du tennis (elle hésite). Le reste ne l’intéresse plus. Nous l'encourageons à honorer son contrat et à rester l'année scolaire complète. C'est une passionnée, elle s'investit vraiment mais veut quand même arrêter à chaque fin d'année. Nous ne savons que faire... Favorisons-nous son côté instable en lui permettant de changer ? Doit-on plutôt voir ça comme de l’intérêt ou de la curiosité pour le sport en général ?Je vous remercie sincèrement de votre réponse.

La réponse de Didier Pleux, psychologue :
Votre fille a 9 ans, elle veut tout découvrir, tout connaître... Cette envie-là est un bon signe pour son évolution future : expérimenter, être curieux sont des facteurs de vie importants. Elle veut donc tout tenter, tout « faire » à son âge et c’est très naturel. Cependant, et vous avez raison, en changeant d’activité tous les ans, elle risque de devenir une sorte « d’enfant orchestre » quigoûte à beaucoup de choses mais ne va jamais au terme d’une formation complète… Elle peut dès lors se « disperser » et ne plus voir si telle ou telle activité correspond à son tempérament, à ses compétences, à ses talents. Il est donc bon de limiter les essais et de faire le point avec elle pour s’engager plus longuement dans un sport.

Je soupçonne aussi votre enfant , comme beaucoup d’autres à cet âge, d’arrêter une activité dès que les fameuses « frustrations » apparaissent : on n’aime plus jouer à tel sport collectif parce qu’il y a un entraînement frustrant, on abandonne tel autre sport parce qu’il y a de l’exercice physique avant le jeu, etc. Il vous faut donc bien observer au quotidien votre enfant : n’a-t-elle pas tendance à toujours abandonner un jeu dès qu’elle n’est plus motivée ? Éduquer, c’est aussi apprendre à nos enfants à ne pas rester dans le plaisir immédiat, mais à s’inscrire sur du long terme pour vraiment exceller. Se disperser affaiblit l’estime de soi, quand la ténacité la renforce…

Vous aussi vous souhaitez poser une question à notre expert ? Rendez-vous sur sa page expert !

A lire également
- Comment aider mon enfant à choisir son sport ?
- Comment lui donner confiance en lui ?

https://conseilsport.decathlon.fr/a-quel-age-un-enfant-peut-il-commencer-le-sport

LES BIENFAITS D'UNE ACTIVITÉ PHYSIQUE POUR VOTRE ENFANT

Vous le savez : faire du sport c'est bon pour vous ! Alors bien sûr, c'est bon pour votre enfant aussi :) Mais pas (que) pour les mêmes raisons !

Si vous pratiquez une activité physique pour votre santé ou votre bien-être, en la pratiquant, votre enfant apprend aussi de nombreuses choses ! Lorsqu'il est tout petit, pratiquer une activité physique douce tel que la baby gym ou le bébé nageur l'aide à développer ses sens et à prendre conscience de son corps. C'est ainsi en se mouvant (dans l'eau ou au sol) qu'il se repère et se situe mieux dans l'espace : il accélère ainsi son développement psychomoteur.

Plus tard, en pratiquant une activité sportive, il continuera à développer ses facultés physiques et cognitives. Bien sûr, certaines capacités seront plus développées que d'autres, en fonction du sport pratiqué. Dans l'ensemble, au-delà des capacité cardio-vasculaires et du développement musculaire associé à une pratique, votre graine de champion·ne pourra entraîner ses réflexes, sa confiance en soi et parfois même ses capacités analytiques (tous les footballeurs en herbe rêvent de lire le jeu comme notre divin chauve national).

Envie d'en savoir plus ? Retrouvez notre conseil en détail :

#10 Les bienfaits du sport pour nos enfants.

Les Conseils de Sportifs, c’est LE podcast qui vous accompagne dans votre pratique sportive, qui vous aide à débuter ou reprendre le sport, c’est aussi le podcast qui vous prouve que l’activité physique, c’est avant tout du plaisir ! Grâce à des experts ou le partage d’expériences de vie, chaque épisode est une aide sur une question que vous vous posez.

Aujourd’hui, avec Brigitte, professeur à la faculté des Sports de Lille - docteur en psychologie, et Céciliane, coach certifié Baby Gym, nous allons aborder le sujet du sport et des enfants. Quel est l'intérêt de faire faire du sport à nos enfants ? A partir de quel âge ? On explore une séance de baby gym avec Céciliane !

AVANT 7 ANS : DE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE PLUS QUE DU SPORT

Bien sûr, il n'est pas question de faire de votre tout·e petit·e un·e athlète en herbe à tout prix ! Pour les jeunes enfants (entre 1 et 7 ans), l’idée est surtout de se dépenser : jouer au parc, improviser un spectacle de danse, prendre la trottinette pour aller à l’école…

« Il s’agit d’activités ‘non structurées’, dans le sens où il n’y a pas de règles et que c’est la notion de plaisir qui importe résume Adrien Lelong, ostéopathe du COPS (Centre d’ostéopathie et de posturologie du sport) à Lille. Le sport est une bonne porte d’entrée sur le monde extérieur. Découverte de sensations, de lieux, rencontres… Il ne faut pas hésiter à tester différents sports pour trouver celui dans lequel l’enfant s’épanouira le mieux. »

On peut tout de même, en adaptant l’activité aux capacités de l’enfant, envisager démarrer le sport vers 5 ou 6 ans. “Il reste tout à fait possible de sensibiliser l’enfant au sport de façon douce, rappelle Grégory Dupas, ostéopathe/posturologue. Avec toutefois une réserve : il faut garder à l’esprit que trop tôt, le corps de l’enfant est encore très malléable, et donc fragile. »

ET LE SPORT POUR BÉBÉ DANS TOUT ÇA ?

À partir de 3 à 6 mois, votre bébé commence à avoir des plages d'éveil plus longues. C'est alors l'occasion idéale de pratiquer une activité douce avec lui. Des pratiques telles que l'éveil aquatique et le baby yoga seront bénéfiques pour vous, pour votre petit bout et pour le lien que vous nouez avec lui·elle. Elles vous permettront de reprendre une activité physique en douceur, tandis que la mise en mouvement renforcera sa colonne vertébrale (entre autres). La découverte d'un nouvel environnement aidera d'autant plus à son éveil.

L'éveil aquatique pour vous et votre bout de chou vous intéresse ? Découvrez notre dossier pour vous accompagner dans la découverte de cette pratique !

NOTRE DOSSIER POUR DÉCOUVRIR L'ÉVEIL AQUATIQUE

A 5 ANS : LUI FAIRE DÉCOUVRIR LE SPORT

En grandissant, votre enfant pourra cependant évoluer vers une pratique plus sportive, et ce dès 5 ou 6 ans. Attention tout de même à adapter la pratique à ses capacités (et son plaisir) : “Il reste tout à fait possible de sensibiliser l’enfant au sport de façon douce, rappelle Grégory Dupas, ostéopathe/posturologue. Avec toutefois une réserve : il faut garder à l’esprit que trop tôt, le corps de l’enfant est encore très malléable, et donc fragile. »

Notre conseil : continuez à lui faire découvrir différentes pratiques sportives. Entre sports collectifs, arts martiaux, sports de raquettes ou sports d'endurance, il·elle finira par trouver son équilibre au sein du sport idéal. Et s'il s'avère que c'est finalement parmi plusieurs pratiques que votre enfant est épanoui, sachez que c'est une belle occasion pour lui/elle de faire des rencontres et de découvrir d'autres horizons...

DE 8 À 12 ANS : LE PERFECTIONNEMENT

Après la découverte et l’initiation, certains enfants de 8 à 12 ans peuvent envisager de se perfectionner. C'est souvent l'âge où ils veulent se tester et se dépasser. Les compétitions que proposent les clubs peuvent alors les intéresser !

Il s’agira néanmoins de bien respecter les phases d’échauffement (avant l’activité) et d’étirements et de récupération (après l’activité). Un enfant, aussi agile voire, parfois, pressé (d’en découdre sur le tatami, de monter sur son poney, de montrer sa nouvelle chorégraphie…) soit-il, n’est pas à l’abri d’une blessure.

Quel que soit l’âge de l’enfant, il faudra aussi penser à l’emmener régulièrement chez l’ostéopathe afin de réaliser un bilan et vérifier si son développement, sa posture, suivent la bonne voie. Un bon moyen de préserver son capital santé et de limiter ses éventuels pépins physiques une fois à l’âge adulte…

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Membre, Raphaël 🇦🇲🇵🇸, 22ans Posté(e)
Petit ours Membre 5 438 messages
Maitre des forums‚ 22ans‚ Raphaël 🇦🇲🇵🇸,
Posté(e)
Il y a 21 heures, DroitDeRéponse a dit :

Ce n’est pas un souci , l’important c’est de s’accepter tel que l’on est :sleep:

 

Pour certaines personne s'accepter tel que l'on est...se révèle être un assez mauvais conseille.

Sinon  les gens n'on pas vraiment le choix puisque les industriel son en grande  parti responsable du problème.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 132 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Petit ours a dit :

Pour certaines personne s'accepter tel que l'on est...se révèle être un assez mauvais conseille.

Ah bon ces personnes ne doivent pas s’accepter telles qu’elles sont ?

Il y a 1 heure, Petit ours a dit :

Sinon  les gens n'on pas vraiment le choix puisque les industriel son en grande  parti responsable du problème.

Pourquoi ?

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Membre, Raphaël 🇦🇲🇵🇸, 22ans Posté(e)
Petit ours Membre 5 438 messages
Maitre des forums‚ 22ans‚ Raphaël 🇦🇲🇵🇸,
Posté(e)
Il y a 7 heures, DroitDeRéponse a dit :

Ah bon ces personnes ne doivent pas s’accepter telles qu’elles sont ?

Pourquoi ?

L'obésité augmente grandement le risque de   maladie tout simplement :rolle:

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