il y a 1 minute, unjour a dit :

Haute-Garonne : des élèves menacent une enseignante après ses propos sur le voile

https://fr.news.yahoo.com/haute-garonne-élèves-menacent-enseignante-170955860.html

La routine !

 

Ben oui la routine , mais qu'est ce qui vous pousse comme ça à continuer dans ce métier ou vous partez au boulot la peur au ventre dans les endroits ou vous savez que vous aurez des problèmes avec certains .

Là , je m'explique pas le pourquoi et comment , j'ai mon idée mais je le dirais pas , et ne me dites pas que c'est la transmission du savoir quand je vois ma fille avec une licence de maths qui en voulait faire son métier et qui y a renoncé après un stage dans une école en ZEP, car après murement réfléchi à laissé tomber , je crois qu'elle a aucun regret car elle a trouvé un métier qui la rend surement plus sereine en allant travailler, il est vrai que cette licence lui a ouverte les portes pour y rentrer, sans elle elle n'aurait pas pu y accéder .

Oui, pourquoi ?

Il y a 1 heure, unjour a dit :

Oui, pourquoi ?

Je suis rentrée dans l'EN en 1993, je ne savais rien de cette violence inouïe, venant de ma Bretagne encore bien calme (ça a changé). Personne ne m' a mise au parfum. Nommée à Aix-Marseille (Mari militaire muté dans le Sud), après c'est difficile de partir comme ça, il faut payer le loyer et remplir le frigo, tout simplement. J'avais divorcé, ne pouvant compter que sur moi-même, comment se sortir de là ? L'emploi -avec salaire suffisant pour vivre seule- ne courait pas les rues.

Je pense qu'il en est de même pour beaucoup d'autres (avec enfants à charge, crédit immobilier sur le dos). Très difficile de se reconvertir sans aucun soutien familial ou autre. Un prof n'a aucune valeur sur le marché du travail. Que faire d'un prof de lettres, d'histoire-géo, de svt, de philo ? Rien.

Il y a 50 ans, c'était une profession attractive. Mes parents ouvriers illettrés m'ont envoyé à l'Ecole normale parce que c'était gratuit (nourris, logés). J'ai eu un poste d'instituteur où on était respecté par tout le monde. Pas de problème de discipline et je pouvais enseigner un peu partout dans le monde (j'adore les voyages).

Puis ça s'est dégradé peu à peu. Inutile de signaler l'indiscipline, le Rectorat nous répondait = c'est parce que vous manquez de pédagogie.

On s'y habituait et trouvé un autre emploi devenait problématique sachant qu'une (presque bonne retraite) à 55-60 ans nous attendait.

Maintenant, c'est l'enfer avec cette communauté qui met le souk partout où elle refuse de s'intégrer, charia oblige.

il faudrait utiliser des méthodes digne du moyen age  ,contre cette engeance !

il y a 1 minute, boeingue a dit :

il faudrait utiliser des méthodes digne du moyen age  ,contre cette engeance !

Pas besoin d'aller si loin.

Va dans une école coranique. Le maître enseigne avec un bâton et gare si l'élève ne récite pas correctement chaque verset du Coran imposé tout en ne les comprenant pas.

il y a 1 minute, unjour a dit :

Pas besoin d'aller si loin.

Va dans une école coranique. Le maître enseigne avec un bâton et gare si l'élève ne récite pas correctement chaque verset du Coran imposé tout en ne les comprenant pas.

 

Ah la       Macron l a dit.     ainsi soit il

vous avez dépassé votre pré carré vous allez maintenant rentrer dans votre enclos

Il y a 3 heures, unjour a dit :

Oui, pourquoi ?

Pourquoi , quoi?

La réponse a été donnée.

Ici on est en plein débat sur ce que sont devenus les universités, et l'imposition de safe space qui fait que l'on censure des idées, des mots, des conférenciers enfin tout ce qui peut heurter certains groupes. Nous en avons une démonstration violente alors qu'une professeure québécoise s'est fait lynchée par des étudiants à l’Université d'Ottawa pour avoir prononcé le fameux "n word" en classe .  Cette prof, qui a un Ph. D. en humanités-beaux-arts de l’Université Concordia, s’est toujours fait un devoir de présenter l’histoire de l’art dans une  perspective féministe et inclusive , le  9 septembre dernier, elle a annulé son cours pour permettre à ses étudiants de participer à une manif  Black Lives Matter, pourtant...Elle est maintenant honnie, dépeinte comme une ignorante, une raciste tout cela pour avoir prononcé le fameux mot . Pire, une étudiante a publié son adresse et numéro de téléphone et elle reçoit depuis des menaces de mort et elle a peur pour sa sécurité. Qu,à fait l'Université pour la soutenir? Ils l'ont suspendu le temps de faire enquête.

https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:PjrsHuGkdFcJ:https://www.lapresse.ca/actualites/2020-10-15/l-etudiant-a-toujours-raison.php+&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=ca&client=firefox-b-d

Citation

Le cours de Verushka Lieutenant-Duval porte sur la représentation des identités sexuelles dans les arts visuels. Le 23 septembre, elle a donné une leçon en ligne sur la théorie queer à ses étudiants.

À l’origine, le terme queer était une insulte, leur a-t-elle expliqué. La communauté gaie s’est réapproprié le mot et l’a vidé de son sens initial pour en faire un puissant marqueur identitaire.

En langage savant, cette récupération s’appelle la « resignification subversive ». Il y a d’autres cas célèbres, a expliqué la prof à ses étudiants. Aux États-Unis, par exemple, la communauté noire s’est réapproprié l’insulte raciste n*gger.

M^me Lieutenant-Duval n’a pas dit n-word pour protéger les oreilles sensibles. Comme il s’agissait de citer le mot en exemple, dans un contexte pédagogique, elle l’a prononcé dans son entièreté.

Malaise sur Zoom.

 

« Une étudiante lui a dit : une Blanche ne devrait jamais prononcer ce mot, point », rapporte Jan-Léopold Munk.

Le soir même, la prof s’est excusée par courriel à ses étudiants. Elle ne savait pas. Elle n’avait pas l’intention de blesser quiconque. Puis, elle a tenté d’ouvrir le débat.

« Je vous invite à aborder la question la semaine prochaine afin de réfléchir à ce qui convient pour traiter ce mot. Vaut-il mieux ne pas le prononcer parce qu’il est sensible ? Le silence ne mène-t-il pas à l’oubli et au statu quo ? »

C’est là que tout a dérapé.

Cette Prof à une histoire très intéressante concernant l'éducation national, le temple des lâchetés... Elle parle aussi de l'affaire du professeur assassiné Samuel Paty, elle ne parle pas du terrorisme enfin si, celui de l'éducation national.

Je ne suis pas prof et trop vieux pour faire la part de vérité.