Tellement vrai !

il y a 1 minute, Morfou a dit :

Z'en manquez pas une vous!

Un... les deux sujets en question sont du genre masculin ..

Le 03/10/2020 à 19:28, Plouj a dit :

Et donc, qui ramasse ce qui traine ??

En fait cette image reflète deux choses, les travailleurs d'un côté et les gens dégueulasses de l'autre.

 

Se promener autour d'un fast-food et regarder aux alentours ce qui fleurit sur les trottoirs ou bas -côtés.. c'est édifiant !

Un employé municipal ramasse les cochonneries qui traîne autour des conteneurs

Le 03/10/2020 à 20:05, versys a dit :

Eh non, lyslev, chez toi, les éboueurs passent toujours, pour vider régulièrement les conteneurs.

Pareil , je voulais dire qu'ils passent pas dans les rues comme avant.

Il n’y a rien de déshonorant à être ouvrier. 

Il y a des gens qui ne s’épanouissent pas au travail et qui trouvent l’épanouissement ailleurs. Le boulot c est pas la vie. 

il y a 3 minutes, hanss a dit :

Il n’y a rien de déshonorant à être ouvrier. 

Il y a des gens qui ne s’épanouissent pas au travail et qui trouvent l’épanouissement ailleurs. Le boulot c est pas la vie. 

On dit aussi : " on ne vit pas pour travailler, mais on travaille pour vivre ! "

il y a 12 minutes, hanss a dit :

Il n’y a rien de déshonorant à être ouvrier. 

Il y a des gens qui ne s’épanouissent pas au travail et qui trouvent l’épanouissement ailleurs. Le boulot c est pas la vie. 

Je ne pense pas que ce soit deshonorant, en voilà une drôle d'idée. Et je n'ai pas parlé des ouvriers mais de certains ouvriers, notamment le travail à la chaîne et à peu près tous les métiers qui sont faits par défaut, juste pour se nourrir et payer ses factures.

il y a 8 minutes, Plouj a dit :

On dit aussi : " on ne vit pas pour travailler, mais on travaille pour vivre ! "

Dans les services missions locales ou pôle emploi, les conseillers demandent si le besoin de travailler est « alimentaire »  bé oui. 

il y a 10 minutes, Plouj a dit :

On dit aussi : " on ne vit pas pour travailler, mais on travaille pour vivre ! "

Peut être mais à un moment donné il faut réaliser que son travail on l'effectue environ 8 heures les plus actives de sa journée sinon plus.

à l’instant, Quasi-Modo a dit :

Je ne pense pas que ce soit deshonorant, en voilà une drôle d'idée. Et je n'ai pas parlé des ouvriers mais de certains ouvriers, notamment le travail à la chaîne et à peu près tous les métiers qui sont faits par défaut, juste pour se nourrir et payer ses factures.

Combien de personnes arrivent à vivre de leur passion? Cela reste assez rare. J’ai rencontré un art thérapeute ce matin, il ne vit pas de sa passion. Il l’excerce bénévolement et il travaille à côté en tant qu’ouvrier. 

il y a 1 minute, hanss a dit :

Dans les services missions locales ou pôle emploi, les conseillers demandent si le besoin de travailler est « alimentaire »  bé oui. 

C'est beaucoup plus que ça.

Je trouve incroyable que personne ici ne s'en rende compte.

Vous subissez tous votre travail ici ?

il y a 4 minutes, hanss a dit :

Combien de personnes arrivent à vivre de leur passion? Cela reste assez rare. J’ai rencontré un art thérapeute ce matin, il ne vit pas de sa passion. Il l’excerce bénévolement et il travaille à côté en tant qu’ouvrier. 

C'est surtout très aliénant de passer le tiers de son temps à exercer une activité de laquelle on éprouve aucun plaisir. Et je ne pourrais tirer aucun plaisir à travailler a la chaîne.

Le bon critère c'est la lettre de motivation et l'adéquation des valeurs. Si votre lettre de motivation n'est que du baratin ou que votre entreprise n'a que des valeurs sur le papier, mais qu'elle n'est pour vous qu'une usine à fric, je vous le dis sincèrement : fuyez à toutes jambes et ne vous retournez pas !

à l’instant, Quasi-Modo a dit :

C'est beaucoup plus que ça.

Je trouve incroyable que personne ici ne s'en rende compte.

Vous subissez tous votre travail ici ?

Non je kiffe mon travail bien pépère derrière un bureau ou en télé travail pendant que les ouvriers se cassent le cul sur les machines. Par contre on a bien vu pendant la crise du covid qui était important dans une société et ce ne sont pas les passionnés. 

il y a 3 minutes, Quasi-Modo a dit :

C'est surtout très aliénant de passer le tiers de son temps à exercer une activité de laquelle on éprouve aucun plaisir. Et je ne pourrais tirer aucun plaisir à travailler a la chaîne.

Le bon critère c'est la lettre de motivation et l'adéquation des valeurs. Si votre lettre de motivation n'est que du baratin ou que votre entreprise n'a que des valeurs sur le papier, mais qu'elle n'est pour vous qu'une usine à fric, je vous le dis sincèrement : fuyez à toutes jambes et ne vous retournez pas !

Il en faut des travailleurs à la chaîne pour que toi et moi puissions avoir un certain confort au quotidien : des meubles, des voitures et des bouteilles de coca 

il y a 17 minutes, hanss a dit :

Il en faut des travailleurs à la chaîne pour que toi et moi puissions avoir un certain confort au quotidien : des meubles, des voitures et des bouteilles de coca 

Mais ce serait aussi bien fait par des robots ! Au moins un artisan il peut mettre sa touche personnelle à son travail, et en cela il est comme un artiste : il n'est pas interchangeable. Et souvent il produit de A à Z.

Le travail a la chaîne c'est répétitif, abrutissant, humiliant, précaire, les gars n'ont pas leur mot à dire sur leur évolution de carrière, et ils ne font rien de personnel, comme un artisan ou un artiste, ni rien d'irremplacable.

Un métier où il n'y a aucune place pour la fantaisie ou la créativité est le pire.

Je ne vois même pas où il pourrait y avoir le moindre plaisir à effectuer inlassablement les mêmes gestes dans une tâche si particularisée qu'elle n'est qu'un rouage parmi mille autres.

En parlant de l’art thérapeute, me voici partie ce matin à 8h30 pour me rendre dans un hôpital de jour spécialisé en santé mentale . Au rez de chaussée on trouve un atelier d’art thérapie : peinture, musique... il y a des œuvres exposées. Les patients stabilisés viennent pour exprimer si ils le souhaitent  ce qu ils veulent via le moyen qu’ils veulent. Ils ont fabriqué  une machine ( qui m’a fait penser à la chaise électrique d’ailleurs ) pour lire dans le cerveau humain. Cette création m’a fait penser au labo de Frankenstein, enfin une machine d’un autre temps. Cette machine ne fonctionne évidement pas mais elle est équipée d’écrans,d’un clavier d’ordi. Chacun a fait le film de ce qui se passe dans son cerveau et les courts métrages sont diffusés sur les écrans. C’est un truc de fou. 
Une des patientes n’en pouvait plus d’entendre parler des espèces en voies de disparition ça la mettait dans un état de stress et d’inquiétudes pas possible alors elle a décidé de faire tout un travail autour des espèces en voie d’apparition . Elle m’a transportée dans un autre monde elle 

il y a 44 minutes, hanss a dit :

Dans les services missions locales ou pôle emploi, les conseillers demandent si le besoin de travailler est « alimentaire »  bé oui. 

Drôle de question.

- Non c'est pour partir en vacances..

- Alors ce n'est pas pourn certains en ont besoin pour manger...

C'est un peu ça, non ?

A la rigueur le bon critère pour moi c'est de savoir si votre travail pourrait être fait par un robot. Plus c'est le cas, plus c'est indigne selon moi.

il y a 46 minutes, Quasi-Modo a dit :

Peut être mais à un moment donné il faut réaliser que son travail on l'effectue environ 8 heures les plus actives de sa journée sinon plus.

Tout est à réaliser.

Les 8 heures/jour ne rapportent pas la même somme pour tout le monde, loin de là !

il y a 16 minutes, Quasi-Modo a dit :

Mais ce serait aussi bien fait par des robots ! Au moins un artisan il peut mettre sa touche personnelle à son travail, et en cela il est comme un artiste : il n'est pas interchangeable. Et souvent il produit de A à Z.

Le travail a la chaîne c'est répétitif, abrutissant, humiliant, précaire, les gars n'ont pas leur mot à dire sur leur évolution de carrière, et ils ne font rien de personnel, comme un artisan ou un artiste, ni rien d'irremplacable.

Un métier où il n'y a aucune place pour la fantaisie ou la créativité est le pire.

Je ne vois même pas où il pourrait y avoir le moindre plaisir à effectuer inlassablement les mêmes gestes dans une tâche si particularisée qu'elle n'est qu'un rouage parmi mille autres.

Le métier dont tu parles s’appelle : « technicien de production sur lignes automatisés » . Le monde ouvrier a changé. Les machines sont programmées via un ordi mais les ouvriers sont indispensables quand la machine commence  â faire des siennes ou qu’un objet fabriqué par celle ci se bloque. Le technicien doit trouver d’où vient le problème, voir si il peut le régler lui même arrêter la machine etc etc. Et sinon faire appel aux service dépannage qui est composé de tout un corps de métiers : régleurs dépanneurs et maintenance. 
Dans mon emploi je fais partie du  service maintenance, j’engage des consultants qui font les diagnostiques et donnent les infos aux ouvriers pour qu’une machine tienne le plus longtemps possible et le mode opératoire pour éviter les pannes et de temps en temps je vais voir ce qui se fait à l’étranger à ce niveau là. 

il y a 41 minutes, Quasi-Modo a dit :

C'est surtout très aliénant de passer le tiers de son temps à exercer une activité de laquelle on éprouve aucun plaisir. Et je ne pourrais tirer aucun plaisir à travailler a la chaîne.

Le bon critère c'est la lettre de motivation et l'adéquation des valeurs. Si votre lettre de motivation n'est que du baratin ou que votre entreprise n'a que des valeurs sur le papier, mais qu'elle n'est pour vous qu'une usine à fric, je vous le dis sincèrement : fuyez à toutes jambes et ne vous retournez pas !

Tout le monde n'est pas capable de ça.

Nous n'en sommes pas encore à l'ère robotique et au revenu universel donc il faut toujours des gens pour remplir les besognes ingrates et j'en trouve certains courageux.

Je discute parfois avec des bosseurs tels les nettoyeurs d'égouts (et des couleurs..), pas si mal payés (tout est relatif) et qui se sentent bien dans leur boulot.

Un d'eux me disait être récompensé par les sourires et les mercis des gens à qui il avait débouché là une tuyauterie, ici un égout bouché.

Rentrer chez soi avec la satisfaction d'un devoir accompli est aussi un plaisir.

il y a 6 minutes, Plouj a dit :

Tout le monde n'est pas capable de ça.

Nous n'en sommes pas encore à l'ère robotique et au revenu universel donc il faut toujours des gens pour remplir les besognes ingrates et j'en trouve certains courageux.

Je discute parfois avec des bosseurs tels les nettoyeurs d'égouts (et des couleurs..), pas si mal payés (tout est relatif) et qui se sentent bien dans leur boulot.

Un d'eux me disait être récompensé par les sourires et les mercis des gens à qui il avait débouché là une tuyauterie, ici un égout bouché.

Rentrer chez soi avec la satisfaction d'un devoir accompli est aussi un plaisir.

Oui j’ai eu à faire à l’équipe suez ( anciennement Savac), ils sont satisfaits dans l’ensemble ils bossent en groupe mangent ensembles et se marrent bien.