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Entre sommeil et rêve.


PASCOU

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 111 172 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a une heure, PASCOU a dit :

j 'ai perdu le fil. 

C'est que ce devait être mal accroché...

Tu en es quitte pour une nouvelle histoire !

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 15 minutes, Plouj a dit :

C'est que ce devait être mal accroché...

Tu en es quitte pour une nouvelle histoire !

Non, je vais,retrouver le fil.. :)

 

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 111 172 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)

C'est le fil à Monique ? (oui je sais ça fait un peu orchestre) :sleep:

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 16 minutes, PASCOU a dit :

Non, je vais,retrouver le fil.. :)

 

Bon, ben moi j'ai fini ton histoire !:titenath:

 D'accord, j'ai un peu bâclé !

Mais j'attends ta suite !

Imagine que ce soit la même ? direct je me défenestre !

(Je suis au rez-de-chaussée !)

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 38 minutes, Blaquière a dit :

Bon, ben moi j'ai fini ton histoire !:titenath:

 D'accord, j'ai un peu bâclé !

Mais j'attends ta suite !

Imagine que ce soit la même ? direct je me défenestre !

(Je suis au rez-de-chaussée !)

Je viens de planter des salades que l' on ma donné,  je suis dans la réflexion.. :)

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Blaquière a dit :

Bon, ben moi j'ai fini ton histoire !:titenath:

 D'accord, j'ai un peu bâclé !

Mais j'attends ta suite !

Imagine que ce soit la même ? direct je me défenestre !

(Je suis au rez-de-chaussée !)

En fait ce n'est  pas la suite que je voulais, mais pas grave, mais surtout par rapport à  ce que j' ai ecrit au début  ce que tu vois.

J' avais écrit  pour décrire un dessin, et nous avions en.fait des dessins très  proches.

Je ne sais pas si ça  existe toujoirs ce truc.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Entre sommeil et réveil,

je déteste ce moment où les images tournent en boucle, finissent, recommencent sans cesse.

Une portière qui claque ,de la musique, mon chien qui grogne, qui garde, puis je pense au livreur de journaux , la portière claque , la musique, mon chien grogne, le livreur de journaux ;

Mon chien qui grogne, mais jamais le livreur, la portière claque , la musique , des voix, mais le livreur ne met jamais la radio, je tends le bras dans mon réveil engourdi , mon téléphone tombe, je ramasse, je regarde l'heure, trois heures passées, là je sais que ce n'est pas le livreur, il passe vers 5h, mon chien grogne, je me lève j'ouvre la fenêtre qui donne sur la cour, il pleut, le vent est froid, la nuit sombre de novembre.

Je retourne pour finir ma nuit, mais mon chien gronde je sais que c'est lui qui a raison alors je me lève de toute façon je ne peux plus dormir.

Je descends l'escalier, il est couché à la porte, il fait ça quand il sent un renard où un autre animal qui rode autour de la ferme.

Il me regarde alors j'ouvre la porte, le froid s'engouffre et il part comme une balle.

Il aboie un peu puis le silence retombe, la pluie a cessé et la lune paraît au milieu des arbres dénudés.

Il glapit , je pense qu'il a trouvé son copain le chat, tout ça pour ça.

Je m'habille, je mets un ciré des bottes je prends la lampe, je vais rentré le chat et le chien finir ma nuit, on est dimanche le livreur ne passera pas.

Il est vers le chemin, pas loin de la petite départementale peu fréquentée, en dehors des gens du village, personne ne vient jusqu'ici, c'est un coin perdu.

Je remonte le chemin creux pour rejoindre mon chien qui visiblement a trouvé son copain,

Voilà j'arrive au bord de la départementale, dans le faisceau de ma lampe je le vois , assis il remue la queue aboie en me voyant , je découvre au sol une forme allongée, j'accélère le pas courre les derniers mètres.

Une jeune femme est allongée, visiblement blessée à la tête, morte peut être.

Je cherche mon téléphone et curieusement il est là où il est toujours quand j'en ai vraiment besoin, ailleurs.

Je me penche pour voir son état ,si je peux la transporter jusqu'à la maison, elle est un peu débraillée, j'ai presque le visage au niveau du sien ,et là dans un souffle porté avec légèreté par un abus d'alcool elle me dit d'une voix cassée, ça va, pas besoin d'appeler les flics !

Mon chien lui fait la fête, moi je l'aide à se relever, lui passe mon ciré, puis je l'aide à marcher vers la maison, il lui manque une chaussure et c'est cahin-caha que l'on regagne la maison.

Elle râle un peu, mais à cause des orties du chemin.

Je pousse la porte et avant de refermer celle ci, je la dépose sur une chaise devant la cheminée.

Le bruit de l'allumette sur la boite rompt un peu le silence , enflamme le journal et les morceaux de cageot, je retourne fermer la porte.

En revenant , je mets du bois,et lui demande si elle n'a pas trop froid, elle me répond qu'elle ne dirait pas non à un petit remontant.

Je trouve qu'elle a assez bu et lui dit.

Là elle me fait remarquer je ne suis pas son père, génial, j'ai quarante cinq ans et franchement elle ne doit pas me suivre de très loin, bon d'accord peut être vingt ans.Mais quand même.

Puis elle se déshabille, finalement je suis content de ne pas être son père, la voilà nue, ses fringues mouillées sur mon parquet, merde !

Je n'y crois pas et elle me sort : 

     -  T'as pas de salle de bain dans ta niche ?

Purée, je rêve ou quoi, je vais l'envoyer se doucher sous la pluie.

 Montrant la porte à coté de la cheminée,je lui lance:

     - Au bout du couloir à droite, ça ne devrait pas être trop long, j'ai pas vu de bistrot dans ce coin !

      - Han ! Han marmonne t elle en reniflant,puis se déhanchant sur la pointe des pieds et le carrelage froid elle se dirige vers le bout du couloir.

Pour les serviettes et les fringues, dans l'armoire du couloir.

Je rassemble ses habits mouillés pour mettre au lave linge, parmi, de la dentelle sur une sorte de boxer bleu avec un T gravé sur le coté, très joli, féminin.

T, comme t'es chiante oui, c'est quoi cet oiseau nuit qui tombe de nulle part .

Pas de sac, pas de téléphone, pourtant un téléphone, ça recommence à tourner en boucle, téléphone sac, je remue un peu le bois dans la cheminée, le jour sera là dans une heure, j'entends l'eau couler de la douche et voilà qu'elle chante, et en italien.

Je m'assoie, la chaise est mouillée, je reste sans bouger puis je me lève pour préparer le café, là ça cogne à la porte.

J'ouvre, mon père manquait plus que lui :

        - Dis-moi fiston, tu es debout de bonheur ce matin, puis entendant la douche, d'un sourire entendu, tu te couches avec des poules et tu te lèves avec le coq et il part d'un rire.

        - Papa ! Mais tu es venu pour quoi ?

        - Le journal pardi.

         - Papa, c'est dimanche.

         - Zut je me demande si je ne perds pas la boule, au fait j'ai vu une voiture sur la départementale, une grosse voiture, elle s'est arrêtée au bout du chemin, un homme est descendu, il cherchait quelque chose, peut être un coin pour pisser !

         - Un touriste sûrement.

         - Bon je te raccompagne, je passerai te voir.

         - Ok , on fait comme ça.

Je referme la porte, le jour se lève presque cette fois, je n'entends plus chanter et pour cause, je me retourne, et devant la cheminée, en tenue kaki, ma casquette de combat sur la tête, mon hôte diurne qui me salue d'un:

        -  A vos ordres général.

        - Mon.

        - Quoi ?

         - Mon général, on dit mon général

         - Ah !tu ne t'es pas ennuyé pendant que je me douchais ?

          - Non, j'ai chassé des mouches.

         - Et tu en as eu combien ?

         - Trois mâles deux femelles 

         - N'importe quoi, tu les reconnais comment ?

         - Trois mâles près de la bouteille, deux femelles sur mon téléphone.

         - Han ! Han !

         - En parlant de téléphone, le tien, où est il ?

         - Je ne l'avais pas!

         - Bon écoute maintenant, la machine doit être finie, tu verras à coté il y a un sèche linge, oui la niche à aussi en plus de la salle de bain un sèche linge.Tu sèches tes affaires, tu me laisses ma tenue de combat j'y tiens et je te raccompagne, j'ai du boulot.

 

 

 

 

 

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, PASCOU a dit :

Je viens de planter des salades que l' on ma donné,  je suis dans la réflexion.. :)

 

Ey moi je viens de tourner quelques marmites,; histoire de dire que je faisais quelques chose !

Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

En fait ce n'est  pas la suite que je voulais, mais pas grave, mais surtout par rapport à  ce que j' ai ecrit au début  ce que tu vois.

J' avais écrit  pour décrire un dessin, et nous avions en.fait des dessins très  proches.

Je ne sais pas si ça  existe toujoirs ce truc.

Y'a intérêt que ça existe, je l'ai copié sur un fichier ! je vais voir où c'est il suffit de chercher en janvier ou février de l'année dernière et tu le trouve...

attends je vais lire ce que tu as mis....

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

On en apprend tous les jours : PASCOU, un baroudeur ! Tenue de combat et tout le toutim : Mon frère !

Tu fais le malin, mais on va voir comment tu t'en sors de celle-là !

 

"...Pour les serviettes et les fringues, dans l'armoire au fond.

Je rassemble ses habits mouillés pour mettre au lave linge, parmi, de la dentelle sur une sorte de boxer bleu, un T brodé sur le coté, très joli, très féminin.

Si mon pote Blaquière était là il en resterait pantois...."

 

Ca fait maintenant plus d’un quart d’heure que la jeune femme nue a disparu au fond du couloir sur la pointe des pieds… (D’une démarche gracieuse et… mouvementée...)

PASCOU s’impatiente : mais que fait-elle ?

Il attend encore un quart d’heure en trépignant, puis s’avance dans le couloir….

La porte de la salle de bain est toujours fermée…

Il y tape :

--- Alors, c’est fini cette douche ?  J’ai mis vos affaires à tourner dans le lave linge.»

Aucune réponse.

Il tambourine à la porte. « Tout va bien ? »

Il tend l’oreille…

 

Et il perçoit très faiblement une sorte de feulement….

— Ffffffffff… Fffffffff….

De quoi peut-il s’agir ? Mais qu’est-ce que c’est que c’est que ça ? Quel est donc ce bruit pour le moins étrange…

Il attend encore dix minutes...

— Ohé ? Tout va bien ?

— Fffffff !

Là, vous le connaissez, PASCOU ? Il est chez lui, merde ! Il ne peut pas s’en laisser conter !

Ni une ni deux : Il prend son élan et…. Vlan !

Il enfonce la porte !

Crac ! La serrure a été arrachée et la porte à claqué contre le mur.

Mais… La salle de bain est… vide ! (Qu’il croit...)

La douche coule toujours… le rideau est ouvert personne ne s’y cache donc…

Il s’avance … et marche sur une espèce de tissu sur le sol… Une serviette ?

Il se baisse et regarde de plus près...

Il s’agit… Il s’agit… Il s’agit…

d’une… d’une… peau !

C’est toute la peau de la jeune femme ! Un peu dégoutté il la soulève en la tenant du bout des doigts… elle pend, flasque et légèrement huileuse. A l’une des extrémités, pend ce qu’on pourrait appeler le visage, mais tout raplapla, mou, cabossé, sans véritable forme. Comme ces masques en latex qu’on voit dans les films… Et l'emplacement des yeux est vide...

Mais « elle » où est-elle passée ?

« Fffffff ! »

A la seconde PASCOU relève la tête vers le plafond d'où vient ce bruit…

Et ce qu’il voit le TE-RRI-FIE !

Une espèce de Tarente géante rampe au plafond, accrochée avec des doigts comme des ventouses…

Se yeux sont des yeux de serpent, vert-argenté avec un iris violet, en forme de fente et l'on ne sait même pas s’ils te regardent toi ou à côté !…

 

Blaquière :

– Oh PASCOU ? Réveille-toi ! Elle va te bouffer la salamandre !

 

 

 

 

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 9 heures, Blaquière a dit :

On en apprend tous les jours : PASCOU, un baroudeur ! Tenue de combat et tout le toutim : Mon frère !

Tu fais le malin, mais on va voir comment tu t'en sors de celle-là !

 

"...Pour les serviettes et les fringues, dans l'armoire au fond.

Je rassemble ses habits mouillés pour mettre au lave linge, parmi, de la dentelle sur une sorte de boxer bleu, un T brodé sur le coté, très joli, très féminin.

Si mon pote Blaquière était là il en resterait pantois...."

 

Ca fait maintenant plus d’un quart d’heure que la jeune femme nue a disparu au fond du couloir sur la pointe des pieds… (D’une démarche gracieuse et… mouvementée...)

PASCOU s’impatiente : mais que fait-elle ?

Il attend encore un quart d’heure en trépignant, puis s’avance dans le couloir….

La porte de la salle de bain est toujours fermée…

Il y tape :

--- Alors, c’est fini cette douche ?  J’ai mis vos affaires à tourner dans le lave linge.»

Aucune réponse.

Il tambourine à la porte. « Tout va bien ? »

Il tend l’oreille…

 

Et il perçoit très faiblement une sorte de feulement….

— Ffffffffff… Fffffffff….

De quoi peut-il s’agir ? Mais qu’est-ce que c’est que c’est que ça ? Quel est donc ce bruit pour le moins étrange…

Il attend encore dix minutes...

— Ohé ? Tout va bien ?

— Fffffff !

Là, vous le connaissez, PASCOU ? Il est chez lui, merde ! Il ne peut pas s’en laisser conter !

Ni une ni deux : Il prend son élan et…. Vlan !

Il enfonce la porte !

Crac ! La serrure a été arrachée et la porte à claqué contre le mur.

Mais… La salle de bain est… vide ! (Qu’il croit...)

La douche coule toujours… le rideau est ouvert personne ne s’y cache donc…

Il s’avance … et marche sur une espèce de tissu sur le sol… Une serviette ?

Il se baisse et regarde de plus près...

Il s’agit… Il s’agit… Il s’agit…

d’une… d’une… peau !

C’est toute la peau de la jeune femme ! Un peu dégoutté il la soulève en la tenant du bout des doigts… elle pend, flasque et légèrement huileuse. A l’une des extrémités, pend ce qu’on pourrait appeler le visage, mais tout raplapla, mou, cabossé, sans véritable forme. Comme ces masques en latex qu’on voit dans les films… Et l'emplacement des yeux est vide...

Mais « elle » où est-elle passée ?

« Fffffff ! »

A la seconde PASCOU relève la tête vers le plafond d'où vient ce bruit…

Et ce qu’il voit le TE-RRI-FIE !

Une espèce de Tarente géante rampe au plafond, accrochée avec des doigts comme des ventouses…

Se yeux sont des yeux de serpent, vert-argenté avec un iris violet, en forme de fente et l'on ne sait même pas s’ils te regardent toi ou à côté !…

 

Blaquière :

– Oh PASCOU ? Réveille-toi ! Elle va te bouffer la salamandre !

 

 

 

 

 

Monsieur,moi je rêve,  je ne "cauchemarde " pas! :)

 

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