Quand je suis avec toi...

Quand je suis avec toi

N'existe plus le monde

Et le monde c'est toi

Si tu me dis un mot

 Il s'épluche du sens

Comme une pellicule inutile à jeter

Me reste sa musique,

Un papillonnement de tes lèvres.

Une danse...

Le devant de tes cuisses est tout dur

et tout ferme et ta peau est si douce

Mes mains s'affolent !

Tout ce corps est à moi

Est le mien

Non le tien !

Je le tiens, je le vole

Je suis en effraction !

Oui j'effracte ton corps !

Le fragmente et le mords !

Tes genoux, tes mollets, ton ventre

Sous tes bras

Partout je me faufile

Sur tes fesses, tendues

Entre tes cuisses

A l'humide profond

Dévale la vallée,

La Rivière du Roi,

Ses chevaux,

C'est une singularité...

Mathématique !

C'est ici ton

Big Bang !

Comme une galaxie

J'y cours sur mon orbite...

....

-- Je suis frigorifiée !

....

-- Et moi je fais de la poésie tactile !

On peut vraiment dire qu en poésie tactile tu n es pas un gland !!!

On sent le bâton du "pèle rein"..du sourcier..l expérience de celui qui détient des pouvoirs magiques..

le tuteur qui aide à franchir les étapes de l initiation.

il y a 29 minutes, sera-angel a dit :

On peut vraiment dire qu en poésie tactile tu n es pas un gland !!!

On sent le bâton du "pèle rein"..du sourcier..l expérience de celui qui détient des pouvoirs magiques..

le tuteur qui aide à franchir les étapes de l initiation.

Merci d'être intervenue ! j'avais oublié plein de choses... hyper importantes (bof !)  ! que j'avais dans la tête au départ : l'effraction ! Je les ai rajoutées en italique !.... bise !

il y a une heure, Blaquière a dit :

hyper importantes (bof !)  ! que j'avais dans la tête au départ : l'effraction ! Je les ai rajoutées en italique !.... bise !

J'ai failli "effracter" dans mon froc en lisant votre poème Blaquière, cette correction en italique s'imposait, effectivement ! 

Quand les matheux les physiqueux parlent d singularité (mathématique)

Je trouve qu'il y a dans ce concept comme... une pulsion érotique ! Pas vous ?

Ta singularité

mathématique

est magnifique !

C'est ton altérité,

Ton authenticité

Ma bénédi-cité

Je m'y applique

Avec sincérité...

il y a 53 minutes, Blaquière a dit :

Quand les matheux les physiqueux parlent d singularité (mathématique)

Je trouve qu'il y a dans ce concept comme... une pulsion érotique ! Pas vous ?

 

Ta singularité

mathématique

est magnifique !

C'est ton altérité,

Ton authenticité

Ma bénédi-cité

Je m'y applique

Avec sincérité...

 

Quand un matheux aime un physiqueux leur amour mathématique est un amour construit selon le théorème de Thalès.

Quand ils sont horizontaux et parallèles, les transversales de la passion les transpercent et leurs segments correspondants en sont merveilleusement proportionnels.

il y a une heure, sera-angel a dit :

Quand un matheux aime un physiqueux leur amour mathématique est un amour construit selon le théorème de Thalès.

Quand ils sont horizontaux et parallèles, les transversales de la passion les transpercent et leurs segments correspondants en sont merveilleusement proportionnels.

Moins on est matheux, mieux on comprend le sens de la mathématique !

J'en ai trouvé un autre "bout" qui m'a amusé :

"Ta singularité mathématique

Je la mate sans éthique !"

Il y a 1 heure, sera-angel a dit :

Quand ils sont horizontaux et parallèles, les transversales de la passion les transpercent et leurs segments correspondants en sont merveilleusement proportionnels.

Cela m'évoque le Sagittaire avant de s'en servir, qui vise avec son arc et sa flêche en plein dans le mille !

Je reconnais humblement que ma poésie est très éloignée de la pointure, de nos célèbres poètes et poétesses du forum...

C'est d'ailleurs pour cette raison que je les admirent discrètement et sans bruit dans mon for intérieur ! 

il y a 49 minutes, Enchantant a dit :

Cela m'évoque le Sagittaire avant de s'en servir, qui vise avec son arc et sa flêche en plein dans le mille !

Je reconnais humblement que ma poésie est très éloignée de la pointure, de nos célèbres poètes et poétesses du forum...

C'est d'ailleurs pour cette raison que je les admirent discrètement et sans bruit dans mon for intérieur ! 

Sur mon cahier de chanson, j'avais fait cette illustration pour "le mouton de Panurge"

de Brassens :