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Sujet de dissertation


philosophieFR

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Nouveau, 25ans Posté(e)
Philosophiee Nouveau 3 messages
Baby Forumeur‚ 25ans‚
Posté(e)

Si je suis ça comme plan

I. Animaux n'ont pas de conscience de soi/morale -pas libre (soumis à leur instincts et loi de la nature) / Quand l'H est inconscient - ne mesure pas ses conséquences (définition contraire de "être libre")

II. Si l'H satisfait tous ses désirs, il devient soumis à eux - donc L'h est conscient dans ce cas mais pas pour autant libre

III. La conscience morale ( rapport entre libre et conscient)

 

Je trouve que la partie II n'est pas vraiment une suite logique, qu'en pensez-vous ?

 

Après dans ma partie je pourrais parler du fait de suivre toutes les lois extérieurs (Hétéronomie)

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Membre, Posté(e)
g.champion Membre 700 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

 

il y a 8 minutes, Philosophiee a dit :

II. Si l'H satisfait tous ses désirs, il devient soumis à eux - donc L'h est conscient dans ce cas mais pas pour autant libre

satisfaire ses désirs, cette phrase implique un sujet qui veut  et donc la liberté. 

satisfaire ses désirs n'implique pas logiquement être soumis à eux.

satisfaire ses désirs n'implique pas la conscience : le cas du rêve. 

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 7 000 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Le 31/12/2019 à 19:14, philosophieFR a dit :

Bonsoir, j'ai une dissertation à faire. Pouvez-vous me proposer un plan s'il vous plaît, je ne parviens pas à en trouver.

Voilà l'énoncé: La volonté consiste-t-elle à concilier nos désirs et la réalité ?

Bonjour,

L’appétit (le désir) s’inscrit dans l’immanence de la volonté.

L’appétit est ainsi censé proscrire son parricide envers la volonté.

C’est systématique, et les exceptions (addiction, suicide, automutilation, …) en confirment la règle.

La volonté s’inscrit, à son tour, dans l’immanence du bien (propre).

Elle proscrit donc, à son tour, son parricide envers le bien (propre).

 

L’humanité est triple : le sujet humain, l’être humain et la chose humaine coexistent et se conjuguent dans leur subordination au bien.

 

La volonté n’est pas toute seule, elle évolue avec son complément d’objet naturel : la réalité, ou plutôt le réalisme.

Tous deux sont subordonnés au bien.

Le réalisme est ainsi animé par une vertu inhérente, le pragmatisme, qui s’extrapole en sagesse.

Il va donc sans dire que la seule volonté ne peut pas prétendre à l’exclusivité, faute de compromettre sa conjugaison ontologique, et notamment son principe de réalité.

La volonté mature est donc invitée à se compromettre : à se subordonner à son complément d’objet, à inhiber sa transgression, en réponse à un rapport d’arguments défavorable.

Cordialement, Fraction

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