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Ostentatoire


Zeroaxion

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Nouveau, 23ans Posté(e)
Zeroaxion Nouveau 3 messages
Baby Forumeur‚ 23ans‚
Posté(e)

Je ne suis ni très cultivé, ni très malin mais pourriez vous me présenter vos réponses à mes quelques interrogations?

 

Premièrement, qu'est ce qu'une mauvaise réponse à une question philosophique?

Ensuite, peut-on être heureux?

De plus, sans affects ferions nous des choix?

Enfin, qu'est ce que je perds à réfléchir (rien n'existe pas)?

 

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Membre, 95ans Posté(e)
Nieuw Membre 1 413 messages
Baby Forumeur‚ 95ans‚
Posté(e)
il y a 36 minutes, Zeroaxion a dit :

Je ne suis ni très cultivé, ni très malin mais pourriez vous me présenter vos réponses à mes quelques interrogations?

 

Premièrement, qu'est ce qu'une mauvaise réponse à une question philosophique?

Ensuite, peut-on être heureux?

De plus, sans affects ferions nous des choix?

Enfin, qu'est ce que je perds à réfléchir (rien n'existe pas)?

 

Slt, A réfléchir tu as qu'à gagner.

Tu as les réponses à toutes tes questions aujourd'hui.

Sans affect ?? on est ce qu'on est

Être heureux ou pas, c'est un peu être ou ne pas être

Pourquoi ostentatoire ?

Du latin ostendere (« présenter, montrer, exhiber ») dont est issu ostensible.

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Membre, 67ans Posté(e)
pic et repic Membre 14 402 messages
Maitre des forums‚ 67ans‚
Posté(e)

bonjour,

sans prétendre être plus cultivé que vous, voici des réponses :

il n'y a pas de mauvaises réponses ...il n'y a que des divergences d'opinions.

alors heureux (euse ) ? ...oui, mais ce qui te rends heureux, peut aussi rendre malheureux l'autre

notre affect influence nos choix , mais les dirigent ils ?....en un sens , oui.

réfléchir, c'est déjà désobéir....non je plaisante, réfléchir, c'est déjà trouver la réponse.....je pense ( je réfléchis) donc je suis.

bonne journée.....réponse à une question non posée.

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Nouveau, 23ans Posté(e)
Zeroaxion Nouveau 3 messages
Baby Forumeur‚ 23ans‚
Posté(e)
Le 15/11/2019 à 09:17, pic et repic a dit :

bonjour,

sans prétendre être plus cultivé que vous, voici des réponses :

il n'y a pas de mauvaises réponses ...il n'y a que des divergences d'opinions.

alors heureux (euse ) ? ...oui, mais ce qui te rends heureux, peut aussi rendre malheureux l'autre

notre affect influence nos choix , mais les dirigent ils ?....en un sens , oui.

réfléchir, c'est déjà désobéir....non je plaisante, réfléchir, c'est déjà trouver la réponse.....je pense ( je réfléchis) donc je suis.

bonne journée.....réponse à une question non posée.

Vous pourriez le prétendre :) ,

A ma plus grande honte je n'ai jamais nourris ma culture en dehors des sentiers de la terminale.

J'ai posé la première question de peur que philosopher ne serve qu'à nourrir notre propre subjectivité.

En ce qu'il en est d'être heureux dans le sens transcendantal, je crois que c'est impossible dans le contexte rationnel-affectif de l'être humain. L'affectif est trop aléatoire pour être fixé, le rationnel est trop imparfait pour ne pas être continuellement chamboulé. Nous pouvons accéder par la pensée à un paradigme salvateur uniquement en fixant des variables comme constante ce qui éroderait à la longue la stabilité du rationnel. Je pense qu'être heureux nécessite de se libérer de l'humain. Il faut donc se résigner à ne l'être que partiellement et à dépasser ce qui nous rend malheureux.

J'imagine le réflexif comme un ensemble de matière granuleuse reliés par l'affect entre elles et en elles. Je n'entrevois aucun moyen de séparer les 2. Cette question m'intéresse particulièrement car elle interroge ma propre capacité de résolution et de visualisation, ou plutôt d'imagination.

Cette dernière question est un aboutissement aux pensées précédentes qui se peuvent être pessimiste à mon sens:

Notre pensée ne peux qu'enrichir notre propre subjectivisme sans montée en généralité et avec quelque part la seule prétention de se rapprocher d'un idéal type commun qui serait synonyme de fréquence ou de tendance du vivant et de l'inerte. La grande question du bonheur s'interroge sur les moyens d'atteindre un état qui n'est, au vu du raisonnement précédent, ni durable ni universel. Ni même complètement saisissable à notre propre échelle pour notre propre unité.

J'en ai bien peur, réfléchir passé l'intérêt exponentiel des premiers temps et du développement des savoirs humains n'a un intérêt que peu légitime pour l'individualité.

Je me suis sans doute un peu trop avancé sur un peu trop de sujet pour en arriver à cette conclusion. Je l'avoue.

 

Ostentatoire parce que finalement, j'exhibe mes propres réponses incertaines.

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Membre, 67ans Posté(e)
pic et repic Membre 14 402 messages
Maitre des forums‚ 67ans‚
Posté(e)
Il y a 13 heures, Zeroaxion a dit :

Vous pourriez le prétendre 

bonjour,

certainement pas ....vu votre réponse !

je suis nettement plus mathématique que philo ...( j'ai eu ma meilleur note de l'année à mon bac, 12/20, pour un devoir qui ne méritait pas plus de 2 ou 3/20 suivant le barème de mon prof en terminale !)

j'ai lu, une fois, puis une deuxième fois...et je n'ai toujours pas tout enregistré, tout compris, tout assimilé....j'y reviendrai sans doute encore une fois, juste pour voir comment l'on peut bien écrire.

bonne journée.

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Nouveau, 23ans Posté(e)
Zeroaxion Nouveau 3 messages
Baby Forumeur‚ 23ans‚
Posté(e)

Si je ne suis pas compréhensible c'est sûrement juste que je m'exprime mal. Excusez moi.

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