Mascarade tragique et guerre chimique

« Des hommes se roulaient à terre, convulsés, toussant, vomissant, crachant le sang  ».

Ces mots du médecin du 66e régiment d’infanterie disent l’horreur provoquée par la première offensive chimique, le 22 avril 1915 à Ypres, en Belgique... 

Cent cinquante tonnes de chlore sont portées par le vent en un lourd nuage jaunâtre flottant à un mètre des tranchées. Près de la moitié des hommes intoxiqués ne survivront pas. En conséquence, dès avril 1915, priorité est donnée aux moyens de protection personnelle contre les gaz. Aux mouchoirs et chaussettes imbibés d’urine des premiers jours succèdent des compresses d’hyposulfite de soude puis des cagoules et enfin, en 1916, des masques avec des cartouches interchangeables. Divers modèles à gaz et filtres, dont les masques à oxygène L. P., sont développés pour contrer les effets des différents gaz, mais le plus difficile à gérer, du fait de son effet vésicant, est le gaz moutarde.

Suite : https://lejournal.cnrs.fr/nos-blogs/la-saga-des-inventions/mascarade-tragique-et-guerre-chimique

bonjour

j'ai connu un poilu qui avait-été intoxiqué par les gaz moutarde .des dizaines d'années après , il toussait très fort par instant .

il m'à raconté beaucoup de choses sur ce qu'il à vécu dans les tranchées .cela n'intéressait personne à part moi .

bonne journée

il y a 1 minute, le merle a dit :

il m'à raconté beaucoup de choses sur ce qu'il à vécu dans les tranchées .cela n'intéressait personne à part moi .

Tu as bien fait de t'y intéresser, maintenant il n'y en a plus des poilus pour nous raconter leurs histoires, alors n'oublie pas de transmettre toi-même  

il y a 1 minute, January a dit :

Tu as bien fait de t'y intéresser, maintenant il n'y en a plus des poilus pour nous raconter leurs histoires, alors n'oublie pas de transmettre toi-même  

j'en ai dèja raconté quelques une sur le forum il y à longtemps .

les poilus et les civils de l'époque croyaient vraiment que ce serait la dernière guerre et après une paix durable ( la der des der ) .quand il y eut la mobilisation général, ils sont partis la fleurs au fusils et croyaient qu'ils seraient rentrés chez eux à Noel .

bien sur , les femmes , les mères , avaient la larme à l'oeil car elles comprenaient que  des soldats  , leurs maris ,leurs fils ou leurs frères ne reviendraient jamais .

tout ces gens avaient encore le souvenir de la guerre de 1870 .des poilus avaient marqué sur les wagons qui les emmenaient sur le front ( pas encore vraiment formé ) 

: nous irons jusqu'à Berlin .( le poilu qui m'à raconté son histoire , je l'appellerai Marcel ) .

Marcel ajoutait même : nous irons jusqu'à Berlin leurs botter les fesses .

il était jeune et plein d'ardeur et cette aventure allait lui changer les idées , car la vie était dure et monotone .quand il toucha son pactage - vêtements militaire - , il y trouvèrent des pantalons rouges comme les soldats de la guerre de 1870 avaient .

cela les amusa mais allais faire un carnage dans les premiers combats contre les Allemands , car trop visible sur le terrain ou ils servaient de cibles parfaites .

bonne journée

Les poilus subissaient. Les fumeurs sont volontaires.

bonjour

Marcel ( le poilu qui m'à raconté sa guerre de 1914 ) .

il m'à dit aussi qu'à Noel  de l'une des années de guerre , il était dans une  tranchée qui était très près des tranchées Allemandes .tout était calme .les soldats pensaient à leurs familles qui leurs manquaient beaucoup en ce jour de Noel .

des soldats de l'un des deux camps adverses  , avait accroché à la bayonnette au bout de son fusil  un cadeau ? cigarettes , tabac ou autres ? qu' il tendis vers l'autre tranchée .

l'autre tranchée des soldats adverse fit de même et ...au bout d'un instant , un soldat sortis de sa tranchée avec un ballon . il n'avait pas d'armes .

un autre soldat de la tranchée adverse sortie à son tour et , l'impensable arriva ?

les deux soldats ennemi se mirent à jouer au ballon ?

aprés quelques instant , des soldats des deux tranchées adverse sortir et jouèrent aussi .

certains amenèrent de la bière et d'autres du tabac et , ce fut la fête .

incroyable  , ces soldats ennemis qui s'entretuais au paravent , étaient redevenus des hommes et même des enfants oubliant la guerre et la haine .

mais , des officiers Français surgirent révolvers au point et ordonnèrent de regagner les tranchées sous peine d'être abattue ou présenté devant un tribunal militaire pour trahison.

quand il me raconta cela , il avait les larmes aux yeux .

bonne journée

suite : la guerre de 1914 de Marcel .

bonjour

Marcel avait -été aussi gazé par les gaz moutarde .

dans la tranché ou il était , parfois , c'était l'enfer . les obus de tout calibre tombaient comme la grêle pendant une heure ou plus ou moins .parfois , il tombaient si pré de la tranchée que la terre et les cailloux soulevés par l'explosion de l'impacte , retombaient dans la tranchée .

les poilus se baissaient et se tassaient comme ils le pouvaient pour se protéger car il y avais des pierres qui retombaient avec la terre .

certaines tranchées étaient parfois entièrement recouvertes par des tonnes de terre et les soldats qui si trouvaient étaient enterrés vivant .

après le tir d'artillerie Allemand terminé ou presque , le danger augmentait car il était parfois suivis par un asseaux des troupes Allemandes .

un jour , le vent venant de la direction des tranchées Allemandes , avait une étrange odeur ? les poilus  commencèrent à tousser et à vomir , l'air était devenu irrespirable .

Marcel se mit un mouchoir sur la bouche et sur le nez mais , c'était une protection dérisoire et heureusement pour lui ,le vent tourna ce qui le sauva ainsi que certains de ses compagnons de tranchée .

les Allemands attendaient que le vent souffla dans la direction des tranchées Françaises , pour envoyer leurs gaze moutarde .

bonne journée

bonjour

la guerre de 1914 de Marcel suite .

il y avait des moment ou les soldats attendaient avec impatience la relève .un nouveau groupes de soldats qui viendraient les remplacer dans la tranchée .

mais aussi , le courrier et la soupe .un bouteillon de vin , du pain  du tabac et autres .

le courrier permettait , pendant quelques minutes , d'oublier la guerre et de lire la vie des êtres chers restés au pays ( leurs femmes et enfant ) et les vieillards ou les réformés .

pour ceux qui étaient fermiers ou travaillaient dans les fermes , l'état des moissons suivant la saison .

certains courriers arrivaient trop tard , le poilus avait -été tué par un obus ou un tire de mitrailleuse . d'autres blessés , avaient été évacués et personne ne savait ou ?

le pire était la pluie , la boue et les rats .il y avais aussi les officiers ou sous officiers qui se croyaient au temps de la chevalerie et voulaient monter à l'assaut des tranchées ennemis en lançant un coup de sifflet .

beaucoup de soldats qui n'étaient pas des lâches redoutaient ce carnage inutile , car les mitrailleuses Allemandes ne permettaient de faire plus que quelques dizaines de mètres sans que les trois car des soldats soit fauché , blessé ou mort pour rien .

ce qui faisait que si vous vous faisiez un amis dans la tranchée , il était parfois tué ou blessé et évacué et c'était très douloureux psychologiquement .

bonne journée