Questionnements

Etant en situation de handicap disons, d'ordre psychologique, je ne vais pas développer ici le pourquoi du comment, trop long et complexe à évoquer et expliquer. Il me manque à moi même des pièce à mon puzzle, un parcours difficile, pressions psychologique par des enseignants de lycée à l'époque, qui m'ont affecté, négligences aux difficultés rencontré par les élèves se trouvant être orientés dans un système scolaire établi de ces époques(Fin années 50, début soixante jusqu'aux années 70-75, plutôt voies de garages, élèves dans ce domaine dit classes de transition soit dit aussi, de rattrapage, du pipeau plutôt ! élèves donc insultés sans ménagement, avec des expressions exprimant les pensées et sentiments pour les profs et chefs d'établissement scolaire, lycée par exemple, vis à vis des élèves considérés comme cas sociaux, des bons à rien, de sales, je cites, petites crevures ! sélectionnés fonction de critères aberrants, situation sociale et professionnelle des parents, établissant par cela, le grade dans l'entreprise, dans l'armée, ce qui s'en suit de leur moyens financiers , cela approximativement, de leur possession matérielles, niveaux d'études et ou de formations certifiantes, diplômes et, j'en passe..... Donc, en situation de handicap disais je, mais également placé par juge de tutelle, sous mesure de suivi de mon administration, gestion de papelards ou papiers et de mon budget..., étant en curatelle renforcée, donc une mesure plus souple que la tutelle mais quand même contraignante car certaines limitations de libertés d'actions libres, surtout concernant l'argent. Cela dit, fut un temps où je fumais, à raison d' un paquet par jours de cigarettes. 8 euros 50 le paquet de tabac. Je combat ce vice et fléau depuis un moment déjà et arrive dans mon cinquième mois d'arrêt totale du tabac. Soit une belle économie je pense. Faute de quoi, ma gestionnaire ou curatrice, nommée par le juge de tutelles de la ville où je demeure, à décidée à ce que mon argent de semaine soit réduit considérablement, jusqu'à la somme de 40 euros. Me trouvant plus qu'à 30 malheureux euros, pour la semaine entière, 30 euros qui me sont versé le vendredi, un jour d'ailleurs, il m'ont été versé à compte goûtes, soit, 20 euros en début de semaine, 10 en fin de semaine, c'est vous dire ! Déjà 30 euros, que peut on acheter qui puisse convenir ? 10 euros, n'en parlons pas ! Presque rien ou si peu.  Pas fini, si j'ai à vouloir faire demande d'un surplus d'argent pour achats supplémentaires, je dois justifier des raisons de cette demande, ça tic, fait la grimace, hésite, si carrément pas refusé, exclus. Incroyable, non ? Comme si mon argent était celui de ma curatrice, des banquiers,.... comme si cet argent qu'est le mien devait sortir de leurs poches. Hallucinant ! N'est il point ? Une personne à qui j' évoquais cette problématique que je rencontre avec le service administratif de tutelles, des banquiers, se trouvait grandement étonné, ne comprenait pas cette contradiction, 70 euros, quand je fumais, 30 depuis mon arrêt de cigarettes, surplus d'argent quand je fumais qui m'était accordé, plus compliqué à m'accorder depuis mon arrêt tabagique. Vous comprenez la logique ?  Logique d'ailleurs dés plus illogique que possible au final ! Voila ce que l'on nomme d'hommes et de femmes dit responsable, pleinement adultes, bien formé, diplômés, expérimentés et quoi encore ? Débilité profonde plutôt ! Qui plus handicapé que l'autre en fait ? Bonne lecture. Excusez pour les fautes, oublies de lettres ou mots, incohérences dans mes expressions , mais en  exposant mon récit,très fatigué, ce qui fait que j'ai tendance à m'endormir, presque debout.

Vous leur avez demandé les motifs de ce comportement ?

"Ainsi, à ton avis, ce qui est utile est une valeur, et ce qui est nuisible une non-valeur.

Tu as l'air de dire, Socrate, que l'argent même n'est pas une valeur, si l'on ne sait pas s'en servir.

Ainsi une flûte pour un homme qui sait bien jouer de la flûte est une valeur, tandis que pour celui qui ne sait pas, elle ne lui sert pas plus que de vils cailloux, à moins qu'il ne la vende." Xénophon