Etes vous imprégnés ?

J'ai placé ce sujet a l'asile, ne sachant ou le mettre, mais c'est un sujet très sérieux.

Donc êtes vous imprégnés et imprégnables ?   Par vos parents, vos amis, vos amours, vos fréquentations, vos lectures....

Etes vous un patchwork de tout ça ?

Il me semble qu'il y a des personnes qui sont comme ça: elles se remplissent petit a petit.

Et il me semble aussi qu'il y a d'autres personnes qui n'ont pas cette vacuité, qui sont plus individualisées.

Je m'imprègne de ce qui m'entoure, et j'aime m'imprégner d'art et de sensorialité. J'aime m'imprégner de nouveauté, de tout ce qui créer chez moi un effet de curiosité, c'est ainsi que j'ai évolué et que je continuerais de le faire. S'imprégner c'est comme voyager. En tout cas, c'est comme cela que je comprends ce terme. Je préfère celui d'inspiration mais bon, ils sont proches selon moi.

Victor Hugo confondait viduité (état du veuvage) et vacuité (état du vide).

L'humain est animal social. Sans autrui, on ne forme pas de personnalité, on est proche de nos instincts et des animaux sauvages. Il existe deux caractères (innés, génétiques) principaux : le primaire et le secondaire. Le primaire réagit illico, est très influencé par l'environnement et les stimuli, ces idées évoluent brusquement, etc...Le secondaire réagit plus lentement comme s'il lui fallait du temps pour assimiler. Il change difficilement d'opinion, et s'il en change, il va la conserver longtemps. Le primaire arrive en retard à son RV (toujours quelque chose à faire). Le secondaire arrive en avance (il s'y prépare depuis longtemps).

Comment peux t-on être autre chose que la résultante de nos expériences,  de la confrontation à nos pairs, d'une certaine éducation,  milieu social etc... 

On peut tout simplement en avoir plus ou moins conscience. Et agir en conséquence s'il y a lieu.

il y a 2 minutes, Imaginaerum a dit :

Je m'imprègne de ce qui m'entoure, et j'aime m'imprégner d'art et de sensorialité. J'aime m'imprégner de nouveauté, de tout ce qui créer chez moi un effet de curiosité, c'est ainsi que j'ai évolué et que je continuerais de le faire. S'imprégner c'est comme voyager. En tout cas, c'est comme cela que je comprends ce terme. Je préfère celui d'inspiration mais bon, ils sont proches selon moi.

Je voulais parler plus précisément de la personnalité, des pensées, des jugements, des goûts....

Il me semble même qu'en amour certaines personnes cherchent avant tout la nouveauté : trouver quelqu'un qui sera capable de bouleverser tout leur système de pensée, qu'il faut ça pour qu'elles tombent amoureuses.

bonjour

nous somme conditionné depuis la naissance , à certaines chose comportemental dans le milieux et à l'époque ou nous somme né .

il y à aussi l'hérédité qui nous programme plus ou moins . l'instruction et les moeurs de l'endroit aussi .

l'apprentissage d'un métier ou autres de même . pour moi , dans ma tête , depuis tout petit , j'ai été toujours libre , mais je sais qu'un certain conditionnement de la vie m'a influencé parfois .

bonne journée

il y a 5 minutes, Talon 1 a dit :

Victor Hugo confondait viduité (état du veuvage) et vacuité (état du vide).

L'humain est animal social. Sans autrui, on ne forme pas de personnalité, on est proche de nos instincts et des animaux sauvages. Il existe deux caractères (innés, génétiques) principaux : le primaire et le secondaire. Le primaire réagit illico, est très influencé par l'environnement et les stimuli, ces idées évoluent brusquement, etc...Le secondaire réagit plus lentement comme s'il lui fallait du temps pour assimiler. Il change difficilement d'opinion, et s'il en change, il va la conserver longtemps. Le primaire arrive en retard à son RV (toujours quelque chose à faire). Le secondaire arrive en avance (il s'y prépare depuis longtemps).

Interessant ça.

Moi j'aurais considéré ton secondaire comme plus fondamental que ton primaire.

il y a 7 minutes, MmeM'amuse a dit :

Comment peux t-on être autre chose que la résultante de nos expériences,  de la confrontation à nos pairs, d'une certaine éducation,  milieu social etc... 

On peut tout simplement en avoir plus ou moins conscience. Et agir en conséquence s'il y a lieu.

Je crois que l'on peut etre autre chose.

Déja chez les bébés il y a des différences de comportement a la naissance.

je me suis beaucoup imprégnés de parasites,de gens néfastes,d'hypocrytes,d'arriviste,maintenant je m'imprègne du parfaum de l"égoisme et de mo déo

En fait il faudrait essayer de passer en revue toutes les personnes qui auraient pu nous imprégner, a commencer par son père et sa mère.

Apres avoir lu quelques réponses données ici... je trouve cela un peu dangereux. L'imprégnation, oui. Evidemment. Comme déjà dit par d'autres, mieux que je ne le ferais,  on est l'accumulation de ce quon a vécu, de ceux qu'on a croisé, de nos expériences bonnes ou mauvaises.

La ou je trouve ça dangereux c'est quand on mélange imprégnation et stigmatisation. Penser qu'on ne pourra pas s'élever au-dessus, aller au-delà de ce à quoi on était destiné...

Bref HS sûrement...

L'enfant est une éponge.. il pompe tout !

Ce n'est qu'ensuite, lorsque l'on commence à réfléchir un peu que l'on peut tenter de donner un sens à sa vie et selon ce qui a été épongé cela servira de source, de base.

Les rencontres, discussions, lectures confirmeront ou poseront questions ...

L'enfant est une éponge.. il pompe tout !

Ce n'est qu'ensuite, lorsque l'on commence à réfléchir un peu que l'on peut tenter de donner un sens à sa vie et selon ce qui a été épongé cela servira de source, de base.

Les rencontres, discussions, lectures confirmeront ou poseront questions ...

Il y a 2 heures, hell-spawn a dit :

Je voulais parler plus précisément de la personnalité, des pensées, des jugements, des goûts....

Il me semble même qu'en amour certaines personnes cherchent avant tout la nouveauté : trouver quelqu'un qui sera capable de bouleverser tout leur système de pensée, qu'il faut ça pour qu'elles tombent amoureuses.

 

Non point du tout. On aime ce qu'on a appris à aimer. Un plat inconnu ne nous donne pas appétit mais méfiance.

il y a 29 minutes, Talon 1 a dit :

Non point du tout. On aime ce qu'on a appris à aimer. Un plat inconnu ne nous donne pas appétit mais méfiance.

On est peut etre pas tous pareils.

J'ai bien l'impression qu'il y a des personnes qui sont la somme de leurs imprégnations, ni plus, ni moins, et donc souples ou rigides en fonction de la place encore disponible.

Et d'autres dont on ne pourrait pas dire qu'elles ont été imprégné par telle ou telle personne.

il y a 46 minutes, Talon 1 a dit :

 On aime ce qu'on a appris à aimer.

Non. Bien trop réducteur.

Il y a 4 heures, hell-spawn a dit :

On est peut etre pas tous pareils.

J'ai bien l'impression qu'il y a des personnes qui sont la somme de leurs imprégnations, ni plus, ni moins, et donc souples ou rigides en fonction de la place encore disponible.

Et d'autres dont on ne pourrait pas dire qu'elles ont été imprégné par telle ou telle personne.

 

Mais nous sommes imprégnés quand notre mère est en gestation. Comment se forme le goût si ce n'est par ce que mange la parturiente. Et si l'on élevait un nouveau-né dans uns cage aux barreaux verticaux, sans objet horizontal, adulte (passé 5 ans en fait), il ne verrait rien de ce qui est horizontal. Si on le suspendait sans contact charnel, sans rien voir que lui-même, adulte, il ne saurait pas avec quoi ou qui satisfaire son instinct sexuel. Passé 5 ans, les capacités cérébrales inexploitées sont perdues à jamais.

Il y a 4 heures, Dzag a dit :

Non. Bien trop réducteur.

C'est bref, donc sans intérêt.