La Physique Œdipienne

J'ai pensé à cette vision de l'atome et ça m'a suffisamment amusé pour que je vous la soumette...

En fait j'apporte sous un angle imprévu de l'eau au moulin des idéalistes. La réalité ne serait que ce qu'on la pense être... Elle n'existerait donc pas en soi...

Et notre théorie de l'atome pourrait n'être que la projection de NOTRE conflit... Œdipien !

--Le petit électron, méchant, négatif, c'est moi, le fils.

Et il tourne autour du noyau parental bien soudé (comme la mouche du coche) :

--Le gros neutron, la mère, neutre (qui n'a pas de désir propre et n'est que l'objet du désir)...

--Et le gros proton, le père : mon ennemi juré : le contraire de moi (gros-grand, fort et positif, lui)...

On est peu de chose !

On est même allé jusqu'à inventer l'antimatière !

--Avec un "électron positif", le "positron" mon parfait frère ennemi ! Nécessairement préféré de mon père proton.

--Un "proton négatif" l' "antiproton" sorte de père idéal, (comme moi) Dieu ou plutôt Diable ?...

--la mère restant neutre, et toujours le même objet du désir... d'essence neutro...nique....

J'ai un peu hésité à mettre ce sujet dans "science", on risquait de me taper !

Dans l'asile alors ? Mais c'est philosophique, ça l'idéalisme !

En effet je me suis déjà demandé ce qui motivait le choix de tel ou tel vocabulaire. Considérant, comme toi, que ce n’était pas neutre ( c’est le cas de le dire) de choisir tel ou tel mot. Par exemple qu’est ce c’est ce choix du mot positif en électricité. Et négatif ? Étrange me suis je toujours dit.

Cependant, si je te suis, alors en effet nous passons notre temps à humaniser le monde et à le transformer de manière qu’il ne soit plus qu’une réplique de nos imaginaires ( peut être œdipiens). L’idéalisme triomphant.  La limite de tout ça c’est que le monde finirait peut être bien par disparaître. 

Je persiste  à dire que tu es un nihiliste non seulement passif mais aussi actif. Nous avons tous besoin du nihilisme pour réfléchir sur nos certitudes.

il y a 21 minutes, Annalevine a dit :

En effet je me suis déjà demandé ce qui motivait le choix de tel ou tel vocabulaire. Considérant, comme toi, que ce n’était pas neutre ( c’est le cas de le dire) de choisir tel ou tel mot. Par exemple qu’est ce c’est ce choix du mot positif en électricité. Et négatif ? Étrange me suis je toujours dit.

Cependant, si je te suis, alors en effet nous passons notre temps à humaniser le monde et à le transformer de manière qu’il ne soit plus qu’une réplique de nos imaginaires ( peut être œdipiens). L’idéalisme triomphant.  La limite de tout ça c’est que le monde finirait peut être bien par disparaître. 

Je persiste  à dire que tu es un nihiliste non seulement passif mais aussi actif. Nous avons tous besoin du nihilisme pour réfléchir sur nos certitudes.

Je crois que je suis tellement englué dans la matière et le réel dans mon travail où il est totalement impossible de mentir ou de tricher que ça me donne plus de liberté et de désir de tout refouler en bloc. Si je me fais comprendre. Toute pensée en devient un jeu gratuit. Sans conséquence réelle.

Dans mon allégorie oedipienne de l'atome, on aurait pu me demander : mais alors comment expliquer si le proton positif est mon ennemi que je ne le fuie pas mais au contraire sois attiré par lui ?

La question reste ouverte, merci de me l'être posée,  je concocte une réponse !..

Il y a 1 heure, Blaquière a dit :

J'ai pensé à cette vision de l'atome et ça m'a suffisamment amusé pour que je vous la soumette...

En fait j'apporte sous un angle imprévu de l'eau au moulin des idéalistes. La réalité ne serait que ce qu'on la pense être... Elle n'existerait donc pas en soi...

Et notre théorie de l'atome pourrait n'être que la projection de NOTRE conflit... Œdipien !

--Le petit électron, méchant, négatif, c'est moi, le fils.

Et il tourne autour du noyau parental bien soudé (comme la mouche du coche) :

--Le gros neutron, la mère, neutre (qui n'a pas de désir propre et n'est que l'objet du désir)...

--Et le gros proton, le père : mon ennemi juré : le contraire de moi (gros-grand, fort et positif, lui)...

On est peu de chose !

On est même allé jusqu'à inventer l'antimatière !

--Avec un "électron positif", le "positron" mon parfait frère ennemi ! Nécessairement préféré de mon père proton.

--Un "proton négatif" l' "antiproton" sorte de père idéal, (comme moi) Dieu ou plutôt Diable ?...

--la mère restant neutre, et toujours le même objet du désir... d'essence neutro...nique....

 

J'ai un peu hésité à mettre ce sujet dans "science", on risquait de me taper !

Dans l'asile alors ? Mais c'est philosophique, ça l'idéalisme !

bonjour 

il y à aussi la physique du qu'en dira-t-on et la physique cantique ( étudiée par les religieux ) ne pas confondre avec la physique quantique 

t'on sujet dans l'asile est judicieux car il y à aussi des savants fous .

dans la physique quantique , il parait qu'un électron peut-aller à 1000 kms seconde et à 2000 kms seconde en même temps . il faut surement avoir bu beaucoup trop et pas de l'eau minéral pour gober cela ? et pourtant , c'est vrai ?

on dit souvent que le monde est fou ...et pour cause ? 

bonne journée

Il y a 5 heures, Annalevine a dit :

En effet je me suis déjà demandé ce qui motivait le choix de tel ou tel vocabulaire. Considérant, comme toi, que ce n’était pas neutre ( c’est le cas de le dire) de choisir tel ou tel mot. Par exemple qu’est ce c’est ce choix du mot positif en électricité. Et négatif ? Étrange me suis je toujours dit.

Cependant, si je te suis, alors en effet nous passons notre temps à humaniser le monde et à le transformer de manière qu’il ne soit plus qu’une réplique de nos imaginaires ( peut être œdipiens). L’idéalisme triomphant.  La limite de tout ça c’est que le monde finirait peut être bien par disparaître. 

Je persiste  à dire que tu es un nihiliste non seulement passif mais aussi actif. Nous avons tous besoin du nihilisme pour réfléchir sur nos certitudes.

J'aurais plutôt tendance à penser qu'on ne voit et ne comprend  le monde qu'au travers du prisme déformant de...  nos désirs (?) voire de nos "instincts", de nos "penchants". Et que nos capacités intellectuelles forment en grand partie ce prisme à notre insu. (On les voudrait universelles)

Ce n'est pas le monde qui est objectivement transformé (à part dans nos "artefacts" ou nos activités, et là c'est carrément comique!), mais notre vision, notre perception du monde.

(Tant pis si je te déçois à être moins nihiliste que prévu !)

Un atome ? Je crois que, étymologiquement, c'est grec. Du coup, vu qu'à partir d' Einstein, "on" a cassé l'atome pour en faire... plein d'autres choses. Il était temps qu'on revienne aux fondamentaux avec le boson. 

Je ne pense pas qu"on soit peu de choses. Juste nous remplissons de notre mieux avant, ce qu'en théorie des cordes, enfin.... Si demain, on ne se voit plus, que nos atomes se saluent !

Il y a 13 heures, narcejo a dit :

Un atome ? Je crois que, étymologiquement, c'est grec. Du coup, vu qu'à partir d' Einstein, "on" a cassé l'atome pour en faire... plein d'autres choses. Il était temps qu'on revienne aux fondamentaux avec le boson. 

Je ne pense pas qu"on soit peu de choses. Juste nous remplissons de notre mieux avant, ce qu'en théorie des cordes, enfin.... Si demain, on ne se voit plus, que nos atomes se saluent !

Le boson

abrasif

de la bouse

au bison

s'est brisé

dans les braises...

Quelle buse !

C'est biaisé

Dès la base...