Ôde aux voisins

il y a 2 minutes, Léna-Postrof a dit :

C'est triste de devoir partir, à cause d'un indigent.

Je lisais le mot de madame le maire, dans l'édito de juillet/août, en première page, qui écrit qu'elle a "connu une époque où le maire n'avait pas besoin de faire un arrêté sur les bruits du voisinage pour que chacun respecte son voisin, où chacun retirait l'herbe de son propre chef sur le pas de sa porte, même si c'était du domaine du communal parce qu'au final ça ne prenait que deux minutes". Et encore "qu'auparavant les gens se parlaient afin de pouvoir désamorcer tout problème, et souvent, celui-ci, avec le dialogue, l'était rapidement".

Nous vivons dans une ère où l'individualisme, l'égoïsme passent avant toute chose, quand il n'annihile pas complètement cette valeur pourtant fondamentale qui est le respect. 

En apparence c'est triste ! Mais  la tristesse qui m'habitait à cette période était bien plus grande ; c'était notre 1er achat immobilier et de toutes façons cette maison n'était pas la maison de nos rêves, nous serions partis un jour ou l'autre.

Il existe des personnes éduquées qui tiennent compte du voisinage et avec lesquelles il est possible de négocier ; avec d'autres personnes ce n'est pas possible, et même en  engageant une procédure judiciaire, la vie devient vite difficile dans ces conditions !

Je vis dans un grand immeuble ou les résident sont comment dire...bruyant

le matin on entant les voisin d'en face et leurs 3 fils en bas age  crier,pleurer....

ensuite c'est au tour du chien des voisins du rez de chaussez qui aboie plusieurs heures après le départ de sont maître

l'après midi les voisins font des travaux....le soir on les entend  se disputer 

la nuit les voisin du haut font des soirer le week end  

Il y a 20 heures, Barbara lebol a dit :

En apparence c'est triste ! Mais  la tristesse qui m'habitait à cette période était bien plus grande ; c'était notre 1er achat immobilier et de toutes façons cette maison n'était pas la maison de nos rêves, nous serions partis un jour ou l'autre.

Il existe des personnes éduquées qui tiennent compte du voisinage et avec lesquelles il est possible de négocier ; avec d'autres personnes ce n'est pas possible, et même en  engageant une procédure judiciaire, la vie devient vite difficile dans ces conditions !

 

Cela laisse sûrement un goût amer, pour une première acquisition. La mienne, remarquez, s'est trouvée cernée par de nouvelles constructions : trop de monde, trop de bruit et trop d'étendoirs à linge visibles aussi. Une des multiples raisons pour lesquelles j'ai revendu, avec une jolie plus-value. 

Depuis quelques jours mes voisins se tiennent. C'est toutefois usant de devoir rappeler, à chaque fois. 

Il y a 20 heures, miscookiyou a dit :

Je vis dans un grand immeuble ou les résident sont comment dire...bruyant

le matin on entant les voisin d'en face et leurs 3 fils en bas age  crier,pleurer....

ensuite c'est au tour du chien des voisins du rez de chaussez qui aboie plusieurs heures après le départ de sont maître

l'après midi les voisins font des travaux....le soir on les entend  se disputer 

la nuit les voisin du haut font des soirer le week end  

 

La vie en immeuble est d'autant plus problématique, il y a trop de proximité avec les gens.

Pour les petits enfants, malheureusement, il n'est rien possible de faire. La loi nous demande de tolérer.

Les travaux sont autorisés lors de créneaux, en journée (interdits entre 12h et 13h30/14h normalement selon les communes). 

Par contre, pour le chien, une solution pourrait être trouvée (le pauvre).

Au sujet des disputes et des fiestas, vous n'avez pas à souffrir du bruit. 

il y a 2 minutes, Léna-Postrof a dit :

Cela laisse sûrement un goût amer, pour une première acquisition. La mienne, remarquez, s'est trouvée cernée par de nouvelles constructions : trop de monde, trop de bruit et trop d'étendoirs à linge visibles aussi. Une des multiples raisons pour lesquelles j'ai revendu, avec une jolie plus-value. 

Depuis quelques jours mes voisins se tiennent. C'est toutefois usant de devoir rappeler, à chaque fois. 

La vie en immeuble est d'autant plus problématique, il y a trop de proximité avec les gens.

Pour les petits enfants, malheureusement, il n'est rien possible de faire. La loi nous demande de tolérer.

Les travaux sont autorisés lors de créneaux, en journée (interdits entre 12h et 13h30/14h normalement selon les communes). 

Par contre, pour le chien, une solution pourrait être trouvée (le pauvre).

Au sujet des disputes et des fiestas, vous n'avez pas à souffrir du bruit. 

Pour le chien et les enfants c'est le matin donc au final c'est pénible mais supportable pour les fêtes et les voisins sa l'est beaucoup moins mais je ne veux pas rentrer en conflit avec eu de toute façon je ne vais pas rester longtemps dans cette appartement donc voila 

il y a 10 minutes, miscookiyou a dit :

Pour le chien et les enfants c'est le matin donc au final c'est pénible mais supportable pour les fêtes et les voisins sa l'est beaucoup moins mais je ne veux pas rentrer en conflit avec eu de toute façon je ne vais pas rester longtemps dans cette appartement donc voila 

Je vous souhaite tout de même bon courage. 

Le 30/07/2019 à 16:36, Léna-Postrof a dit :

Elle est grande, elle est belle. 

Authentique. Vraie.

J'ai su que c'était elle au premier regard et après l'avoir tant cherchée. 

Plafonds hauts et murs talochés, une balancelle...

 

Ses lignes, les tons doux de ses couleurs, ses moindres endroits,

ses fleurs, ses oiseaux qui pépient, la plénitude...

Paradis, ô doux havre, en joie,

j'y rencontrais même un prince transformé en crapaud et une cistude. 

 

Après ces rencontres fort jolies, 

j'ai eu l'envie de déposer mes effets si vite. 

Les souvenirs y ont été organisés, mémoire du temps, là quelques photos jaunies sur le piano désaccordé de mamie. 

Les moindres endroits ont été aménagés avec soin, rideaux cousus maladroitement, des volets peints en anthracite.

 

Et puis... ils sont venus, abruptement.

Interrompant rêveries et notre douce idylle, 

Abrégeant toute envie de rester dehors et dans les murs, rapidement. 

Silence n'est plus, à portée, se sont incrustés leurs babils. 

 

D'une tondeuse ou d'un taille haie trop émoussé,

D'un tintement cristallin afin de remercier Jacques-Henri, le col en érection, pour avoir fini un quelconque jeu. 

Du tapage des clous enfoncés dans des ouvrants qui ne tenaient déjà que de broc et alors que s'endormaient les maisonnées. 

Vieille cassine, qui eut un passé plus glorieux.

 

Magalie est remerciée doctement pour avoir épousseté parfaitement dortoirs et meubles anciens.  

S'en suivent quelques chants mystiques, d'un autre âge, fenêtres grandes ouvertes,

Sus aux acariens !

Et réjouie est la voisine, de partager le bruit qui dure toujours trop longtemps, à moins que... tout de même un peu verte. 

 

Gloire au seigneur : sérieux bon Dieu, avoir échappée au couvent pour ainsi se trouver toute proche d'une communauté trop croyante ? 

De visites dites de courtoisie aux forts relents de pisse... prosélytisme et vieilles dentelles,

à Ibiza, défilé de vieux pots pourris dans l'allée partagée, pleines à en déborder de péronnelles, fort jacassantes,

Une sono installée dans le jardin, si sots ou si peu éduqués, prennent des mines effarées, quand il est rappelé qu'aux heures les plus indues, voisinage aimerait trouver le sommeil.

 

Il y a aussi cette cloche (je ne vise personne en particulier)

Annonçant les repas trop longuement de ses tintements et conférant aux lieux une atmosphère toujours plus dantesque.

L'espace d'un instant, j'ai pensé à la chaparder et la faire voyager,

donnant des nouvelles quand elle le voudrait bien, récits de ses aventures rocambolesques. 

 

Même en tentant de garder humour et santé mentale intacts, tapage diurne et nocturne, ne font que tendre.

Comment signifier à de jeunes concupiscents, comme de vieux égoïstes, ne considérant que ce dont ils ont envie, qu'ils cassent sérieusement les prunes ? 

Chroniques d'une voisine qui en a sa claque (qu'ils aillent tous se faire pendre !). 

Essoufflée de communiquer, ulcérée d'avoir à rappeler constamment les règles du bien vivre ensemble, je vous partage aujourd'hui mon infortune.

 

Plus sérieusement et le style n'est ni trop poétique, ni trop académique de surcroît : le tapage des voisins y avez-vous droit ?

Qu'avez-vous mis en place afin qu'ils se calment, mais alors genre vraiment ?

Cela m'ennuierait de faire déplacer la gendarmerie, pour ces gens et pas sûre que cela change vraiment les choses de toute façon. 

Je pense que les anciens proprietaires devaient étre au courant de cette nuisance.....voir si ça ne pas étre étre nuisance cachée.........d'autre part.....il est recommandé de demander au moins à louer un an un endroit occasiollement occupé.....si les proprio refusent...... je suis vraiment désolée pour vous.....d'autant que ceux qui se comportent comme ça n'en n'ont rien à faire des remarques des voisins.

Il y a 22 heures, coucoucou a dit :

Je pense que les anciens proprietaires devaient étre au courant de cette nuisance.....voir si ça ne pas étre étre nuisance cachée.........d'autre part.....il est recommandé de demander au moins à louer un an un endroit occasiollement occupé.....si les proprio refusent...... je suis vraiment désolée pour vous.....d'autant que ceux qui se comportent comme ça n'en n'ont rien à faire des remarques des voisins.

Je le pense aussi. Il y a pleins de choses qu'ils m'avaient cachées (montant des taxes, électricité bricolée etc...). Les aléas de l'achat dans l'ancien. 

Il faut que les propriétaires aient volonté de mettre à la location avant de vendre. Ce n'était clairement là pas le cas, ils avaient besoin d'une rentrée d'argent rapide. 

Depuis quelques jours, les voisins ont l'air de se tenir. Ils devraient bientôt retourner dans leurs contrées.