la violence dans les quartiers populaires

slt a tous;

J’aimerais bien votre aide pour améliorer ce sujet d'argumentation.

j'ai utilisé le plan Analytique pour parler de "La violence dans les quartiers populaires" et j'aimerais s'avoir vos critique (cote stylistique et argumentative et même linguistique) .

voici le texte:

{ Les quartiers populaires sont souvent nés du fait du développement de l’industrie. Ils symbolisent aujourd’hui la concentration des phénomènes de violence, l’exclusion et l’archétype du mal-vivre des grands ensembles. On en vient à définir ces quartiers comme le négatif de la ville ; Un espace qui réunit ceux qui ne possèdent rien ou trop peu, formant ainsi une communauté de conditions souvent différentes (rapport au travail) mais unie dans une certaine forme de fragilité (économique et sociale) avec un sentiment d’isolement spatial et social créé par la ségrégation. Alors, quels sont les facteurs qui engendrent la violence au sein des banlieues ? Et comment peut-ont l’éradiquer ? 

Il est bien connu que dans une communauté ou dans un quartier, la violence émerge pour des causes socio-économiques et psychologiques.

De prime abord, la crise économique est une des causes les plus souvent évoquées pour expliquer la croissance de l’insécurité ou la montée de la violence dans notre pays. Il est indéniable que la situation économique difficile, et la dégradation du marché de l’emploi qu’elle a occasionnée, ne sont pas pour rien dans l’ampleur prise par les violences urbaines. En fait, avec l’appauvrissement général des classes laborieuses, les quartiers populaires minés par le chômage de leurs habitants se transforment en ghettos : pas d’infrastructures pour les jeunes, pas d’éducateurs, pas d’animateurs de quartier, des écoles surchargées, des bureaux de poste fermés et des commerces qui désertent.

En outre, pour les plus démunis, l’espace est triste et il manque un tissu urbain polymorphe et structuré. Ainsi, la violence se cantonne surtout dans les banlieues négligés et abandonnés tant par les pouvoirs publics, que par les habitants. La démographie elle-même de ces quartiers sensibles devient un facteur de violence. Ceci est expliqué par la dominance de la classe des jeunes sur la pyramide d’âges ; l’une des raisons pour laquelle les villes du tiers monde sécrètent la violence. Ces problèmes démographiques sont corollaires d’une disparition de convivialité, voire d’une rupture entre les générations.

De plus, il est rare de voir participer à des actions violentes un adolescent vivant dans un milieu familial harmonieux où les conflits naturels et inévitables se règlent par la parole qui circule aisément. Là où les adultes offrent un exemple d’une vie équilibrée et tendent à apaiser à la fois les angoisses naturelles et les excès de vivacité des adolescents. À l’opposé, la violence des jeunes dans le quartier reflète volontiers, la violence qui règne dans le milieu familial. Le plus inquiétant c’est que l’absence de communication devient encore plus grave lorsqu’elle est accompagnée d’une véritable absence d’amour, et ainsi les enfants non désirés, martyrisés et négligés recourent aux actes violents comme forme d’expression.

Les répercussions de la violence dans les quartiers difficiles sont nombreuses et insalubres. L’isolement social, l’anarchie, la dépression, le désespoir, la délinquance, et le décrochage scolaire ne sont que quelques exemples qui s’ajoutent aux conséquences évoquées précédemment.     

En guise de conclusion, comme << Tout ce qui est violent n'est pas désirable>>, la lutte contre la violences urbaine commence par la lutte pour la création d'emploi, l'amélioration de l'éducation et de la formation technique, ainsi que l’assuration  de la sécurité de chaque individu . }

Bonjour, 

Je ne trouve pas mal tes idées dans l'ensemble, sinon je ne suis pas sûr d'avoir compris, c'est pour un devoir, tu veux des avis sur les fautes, savoir si les phrases sont correctes...Je n'ai pas vraiment pris le temps de tout regarder par contre, je ne suis pas d'accord pour dire que la violence des adolescents est causé par un climat familial violent même si cela peut être le cas parfois, il y a des familles qui ne sont pas du tout violentes mais des adolescents peuvent le devenir à l'extérieur, de part leurs fréquentations par exemple ou suite à des situations difficiles...

à l’instant, samira123 a dit :

Bonjour, 

Je ne trouve pas mal tes idées dans l'ensemble, sinon je ne suis pas sûr d'avoir compris, c'est pour un devoir, tu veux des avis sur les fautes, savoir si les phrases sont correctes...Je n'ai pas vraiment pris le temps de tout regarder par contre, je ne suis pas d'accord pour dire que la violence des adolescents est causé par un climat familial violent même si cela peut être le cas parfois, il y a des familles qui ne sont pas du tout violentes mais des adolescents peuvent le devenir à l'extérieur, de part leurs fréquentations par exemple ou suite à des situations difficiles...

Bonjour,

 Effectivement je veux vos avis sur les fautes, savoir si les phrases sont correctes... 

Pour ce qui concerne le dernier argument j'ai essayé de parler du coté psychologique mais il semble que c'est pas assez pertinent... est ce que vous avez de meilleurs idées en ce qui concerne le coté psychologique (ou autre) ?

Mrc d'avance.

oui ce sont les mauvaises fréquentations, 

Perso, je n'ai pas trouvé beaucoup de fautes juste que je ne connais pas le mot "assuration" et tu as mis un espace après "individu" avant le point alors qu'il ne faut pas d'espace entre le mot et le point. Tu as mis un "s" à la violence : à corriger. Les banlieues "négligées et abandonnées" et non "négligés et abandonnés".  Cela serait mieux si tu mets ton texte en "justifié" niveau présentation. Je te mets en exemple "justifié" un de tes paragraphes ci-dessous : 

De plus, il est rare de voir participer à des actions violentes un adolescent vivant dans un milieu familial harmonieux où les conflits naturels et inévitables se règlent par la parole qui circule aisément. Là où les adultes offrent un exemple d’une vie équilibrée et tendent à apaiser à la fois les angoisses naturelles et les excès de vivacité des adolescents. À l’opposé, la violence des jeunes dans le quartier reflète volontiers, la violence qui règne dans le milieu familial. Le plus inquiétant c’est que l’absence de communication devient encore plus grave lorsqu'elle est accompagnée d’une véritable absence d’amour, et ainsi les enfants non désirés, martyrisés et négligés recourent aux actes violents comme forme d’expression.

Merci infiniment, vos remarques étaient exactes!

pour "assuration" je voulais mettre le nom provenant du verbe "assurer"  

il y a 20 minutes, xo ricar a dit :

Merci infiniment, vos remarques étaient exactes!

pour "assuration" je voulais mettre le nom provenant du verbe "assurer"  

Pourquoi ne pas mettre plutôt "ainsi que la nécessité d'une nouvelle approche de la sécurité".

à l’instant, samira123 a dit :

Pourquoi ne pas mettre plutôt "ainsi que la nécessité d'une nouvelle approche de la sécurité".

Parfait!! Je vous remercie pour votre aide