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l'euthanasie


olivertwist25

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Membre, Posté(e)
shyiro Membre 15 609 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a une heure, Plouj a dit :

Ça a déjà été dit, non ?

Des directives anticipées, pour quoi faire ?
Toute personne majeure peut rédiger ses « directives anticipées » concernant sa fin de vie.
C’est une possibilité qui vous est donnée. Il s’agit pour vous d’exprimer vos volontés par écrit
sur les décisions médicales à prendre lorsque vous serez en fin de vie, sur les traitements ou
actes médicaux qui seront ou ne seront pas engagés, limités ou arrêtés.
La fin de vie peut arriver après un accident ou à l’issue d’une maladie grave. Dans ces
circonstances, vous serez peut-être dans l’incapacité de vous exprimer. Si vous avez rédigé
des directives anticipées, votre médecin et vos proches sauront quelles sont vos volontés,
même si vous ne pouvez plus vous exprimer.
Bien sûr, envisager à l’avance cette situation est difficile, voire angoissant. Mais il est important
d’y réfléchir.
Rédiger des directives anticipées n’est pas une obligation.
u u Deux modèles sont proposés, selon que vous êtes actuellement bien portant ou atteint
d’une grave maladie :
Il n’est pas obligatoire de remplir tous les items du modèle et de désigner une personne
de confiance. Il est possible de joindre d’autres pages si le document n’offre pas assez
d’espace.
- un modèle A pour les personnes en fin de vie ou ayant une maladie grave
- un modèle B pour les personnes en bonne santé ou n’ayant pas de maladie grave.

L’utilisation d’un de ces modèles n’est pas obligatoire. Mais elle vous est recommandée
afin de vous aider à exprimer clairement vos volontés.

 

Il faut savoir que, malheureusement, ça ne fonctionne pas à tous les coups. Selon l'équipe médicale, le lieu, il faut vraiment insister, menacer pour que ce soit respecté ! (je parle de vécu)

pas d'une maniere precise ... j'ai l'impression que ce genre de directive anticipée sera accepté seulement en cas de tres grosse maladie comme cancer en phase terminal ... mais demander d'avance à ne pas se faire réanimer même en cas d'avc par exemple : est-ce que ça sera accepté ? 

 

 

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 111 077 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 6 minutes, shyiro a dit :

mais demander d'avance à ne pas se faire réanimer même en cas d'avc par exemple : est-ce que ça sera accepté ? 

Un AVC peut ne pas laisser de traces irréversibles !

Je lis juste, dans le texte : La fin de vie peut arriver après un accident ou à l’issue d’une maladie grave.

C'est assez vague, à discuter !

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Membre, Posté(e)
shyiro Membre 15 609 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 16 minutes, Plouj a dit :

- Un AVC peut ne pas laisser de traces irréversibles !

- Je lis juste, dans le texte : La fin de vie peut arriver après un accident ou à l’issue d’une maladie grave.

C'est assez vague, à discuter !

- mais ça peut aussi engendrer un handicap intellectuel ou motrice 

- voilà ... d'où ma question ... est-ce qu'un avc par exemple, peut etre considéré comme une "maladie grave" ... en tout cas c suffisamment grave pour en mourir naturellement si pas de soin, ou pour en sortir avec un handicap intellectuel ou motrice apres un soin ... 

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 111 077 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 4 minutes, shyiro a dit :

- mais ça peut aussi engendrer un handicap intellectuel ou motrice 

- voilà ... d'où ma question ... est-ce qu'un avc par exemple, peut etre considéré comme une "maladie grave" ... en tout cas c suffisamment grave pour en mourir naturellement si pas de soin, ou pour en sortir avec un handicap intellectuel ou motrice apres un soin ... 

La gravité de certains AVC et le risque de séquelles majeures peuvent en effet amener l’équipe soignante à discuter du bénéfice de mettre en place ou poursuivre certains traitements. Lorsque le pronostic apparaît particulièrement défavorable, l’équipe soignante peut envisager de limiter et d’arrêter des thérapeutiques. Elle recherchera alors à connaître la volonté du patient : qu’a-t-il dit lorsqu’il était conscient si une telle situation se produisait ? A-t-il rédigé des directives anticipées ? A-t-il désigné une personne de confiance ? Que pensent sa famille et ses proches ?

L’ensemble de l’équipe médicale se réunit ensuite lors d’une procédure collégiale pour déterminer quel est, compte tenu de la situation, le choix à faire pour la suite de la prise en charge du patient. Si elle considère que la poursuite des traitements constitue une obstination déraisonnable, elle peut décider d’arrêter les traitements. Afin de soulager la souffrance du patient dans ses derniers instants de vie, elle l’accompagnera avec des soins palliatifs, ou instaurera une sédation profonde et continue jusqu’au décès, si les conditions sont réunies.

https://www.parlons-fin-de-vie.fr/les-situations-de-fin-de-vie/avc/

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