Poemes de forumeurs

J'fus oublieux

De tant d' voeux

Pieux

pour mon vieux

pieu,

Pour mon épieu :

Qu'il soit MAJESTUEUX !

Talentueux

Et fastueux

Voire astucieux...

Non vénéneux

Mais Gracieux !!!

Volumineux !

Et... a-mou-reux !

Bon j'arrête ! Tout ça devient bien facétieux...

'(Autocritique)

C'est une histoire vraiment dingue :

Il est comme la glue !

On met cinq sous dans le bastringue

Et il s'arrête plus !

Il claironne qu'il est bilingue,

Que c'est sa plus-value

En vérité il est lourdingue :

Juste un irrésolu !

Une espèce de Ribouldingue

Il n'est que farfelu

Pour le stopper faut qu'on le flingue !

Tout sera résolu !

Je suis un peu absent en ce moment, en période de cours c'est toujours un peu chaud !

Au moins je sais que j'ai eu 18 au bac blanc écrit, reste l'oral j'attends !

Les vacances sont dans une semaine, je vous dis donc à dans une semaine, et on VERS-ra. AH AH AH

Du courage cher ami

Après l'effort le réconfort

Les etudes sont de l'homme l'avenir

Le forum sera toujours là pour t'acceuillir sans te faire du tord

Tes études

Gertrude !

Sans lassitude !

(Chuis rude !)

Hébétude...

J'exsude

Et c'est mon habitude

Ma certitude

Ou ma décrépitude

Mais prude

J'extrude

Mon ingratitude

Et mes vicissitudes

En toute promptitude

C'est le prélude

De ma quiétude

Et ma béatitude

Là est ma bravitude

Comme disait Ségolude...

Ô Notre Dame

Proie des flammes!

Triste programme !

Quel drame !

Quel quidam

Infâme

remue la lame ?

Sans amalgame :

Un bigame

Madame ?

Ou quelque polygame ?!!

(Dont la femme

Est la came ?)

Oui c'est un psychodrame

De mille kilogrammes !

Plus lourd qu'hippopotame

Qui écrase mon âme

Et j'en blâme

La trame.

Au secours, je réclame...

Jean Claude Van Damme !

Pauvre dame oui ! 

Je suis de retour, mais où est donc sera angel ?

Un poème en prose que j'ai fait, à voir si vous faîtes atchoum :

Belle de nuit

J'allais quérir, aux jardins de Morphée, la vérité illusoire. Comprendre qui était Je me paru fondamental, mais y avait-il un sens à cela, au cœur de tant de fleurs qu'aucune pensée n'oserait butiner ? Peut-être devrai-je m'épanouir ainsi, sans vue, sans vue...
Il y avait en ces lieux un marcheur sombre comme le blanc, à quelques mille lieues du lac aux fantômes de la Lune, et son cortège d'illuminations fantasmagoriques. Il était seul, très seul, sur ses coussins colorés. Une Géante aux colliers de soupirs, qui se vit tel un Monarque sur ces embryons endormis dans leurs voiles, s'approcha de l'homme. Il était jeune, comme ces bourgeons, et les yeux bruns et la peau rouge. La Géante, intriguée par ce corps innocent, étendu dans les arômes, lui demanda quelle était l'issue de sa quête. Le voyageur, fatigué de son entreprise, libéra ses yeux et lui tint ces prompts mots : « Je cherche, en vain, la Vérité, dans ce jardin d'idées. Mais j'ai du temps. Il en faudra des galaxies, il en faudra pour venir à bout de ma tête. Je ne crois pas avoir peur de la mort ; ni même de l'oubli, croyez-moi. Ce dont j'ai peur, en vérité, c'est de ne pas naître. ». Or la Géante ne l'avait pas écouté. Elle avait éteint son œil, emportée par l'aube printanière - celle qui fait frémir les jeunes âmes -.
Au coin d'un bosquet fleuri, je les écoutais. Et j'allais, fils des météores, bercé par les limbes du bois. J'allais indistinctement, au royaume des aveugles. J'allais, aspiré par les chemins perdus : j'étais.

Je reste connecté 

Il y a 12 heures, yoyo95 a dit :

Pauvre dame oui ! 

Je suis de retour, mais où est donc sera angel ?

Un poème en prose que j'ai fait, à voir si vous faîtes atchoum :

Belle de nuit

J'allais quérir, aux jardins de Morphée, la vérité illusoire. Comprendre qui était Je me paru fondamental, mais y avait-il un sens à cela, au cœur de tant de fleurs qu'aucune pensée n'oserait butiner ? Peut-être devrai-je m'épanouir ainsi, sans vue, sans vue...
Il y avait en ces lieux un marcheur sombre comme le blanc, à quelques mille lieues du lac aux fantômes de la Lune, et son cortège d'illuminations fantasmagoriques. Il était seul, très seul, sur ses coussins colorés. Une Géante aux colliers de soupirs, qui se vit tel un Monarque sur ces embryons endormis dans leurs voiles, s'approcha de l'homme. Il était jeune, comme ces bourgeons, et les yeux bruns et la peau rouge. La Géante, intriguée par ce corps innocent, étendu dans les arômes, lui demanda quelle était l'issue de sa quête. Le voyageur, fatigué de son entreprise, libéra ses yeux et lui tint ces prompts mots : « Je cherche, en vain, la Vérité, dans ce jardin d'idées. Mais j'ai du temps. Il en faudra des galaxies, il en faudra pour venir à bout de ma tête. Je ne crois pas avoir peur de la mort ; ni même de l'oubli, croyez-moi. Ce dont j'ai peur, en vérité, c'est de ne pas naître. ». Or la Géante ne l'avait pas écouté. Elle avait éteint son œil, emportée par l'aube printanière - celle qui fait frémir les jeunes âmes -.
Au coin d'un bosquet fleuri, je les écoutais. Et j'allais, fils des météores, bercé par les limbes du bois. J'allais indistinctement, au royaume des aveugles. J'allais, aspiré par les chemins perdus : j'étais.

 

Je reste connecté 

J'ai rien compris de précis, j'ai senti plein d'idées, mais j'aime ! Je vais relire !

A la seconde lecture ça s'éclaircit (un peu !) et c'est encore mieux !

Y'a que les "prompt mots" que j'arrive pas à prononcer ! (mais je suis du midi, il faut m'excuser !) En plus je pense que tu l'as fait exprès !

Il y a 12 heures, yoyo95 a dit :

 

Je suis de retour, mais où est donc sera angel ?

 

Mais Sera Angel Est une femme libre !

Elle va, elle vient... n un mot, elle vibre !

Elle se rit de nous... Elle nous apostrophe,

 Elle nous guillemise au rythme de ses strophes !

Nous rampions à ses pieds !

 La louions en sépia !

Cruelle dignité qui nous fuit, nous oublie !

Puissante adoration qui las, nous affaiblit !

Rêvions-nous d'un amour qui haut nous élevât ?

J'en reviens au début : Elle vient, elle va !...

Il y a 9 heures, Blaquière a dit :

Mais Sera Angel Est une femme libre !

Elle va, elle vient... n un mot, elle vibre !

Elle se rit de nous... Elle nous apostrophe,

 Elle nous guillemise au rythme de ses strophes !

Nous rampions à ses pieds !

 La louions en sépia !

Cruelle dignité qui nous fuit, nous oublie !

Puissante adoration qui las, nous affaiblit !

Rêvions-nous d'un amour qui haut nous élevât ?

J'en reviens au début : Elle vient, elle va !...

 

 

 

 

Sacré femme !

Il faudrait donc peut-être lui envoyer quelques vers libres ! 

Il y a 21 heures, yoyo95 a dit :

Sacré femme !

Il faudrait donc peut-être lui envoyer quelques vers libres ! 

Merci mais...

Je ne suis pas pressée de voir les vers

En attendant je préfère les boire et les faire

Je te remercie néanmoins pour l attention

Venant de toi je sais que c était bonne intention

Je te félicite pour tes exploits scolaires

Tu assures yoyo sans en avoir l air

C est un peu grâce à moi

Qui pour toi croise les doigts

Tu vas nous décrocher à défaut des étoiles

Une mention qui j espère entrera dans les annales

Le 23/04/2019 à 23:20, Blaquière a dit :

Mais Sera Angel Est une femme libre !

Elle va, elle vient... n un mot, elle vibre !

Elle se rit de nous... Elle nous apostrophe,

 Elle nous guillemise au rythme de ses strophes !

Nous rampions à ses pieds !

 La louions en sépia !

Cruelle dignité qui nous fuit, nous oublie !

Puissante adoration qui las, nous affaiblit !

Rêvions-nous d'un amour qui haut nous élevât ?

J'en reviens au début : Elle vient, elle va !...

 

 

 

 

Ah mon cher Blaquière, vous m'avez touchée , mais pas coulée non !

Je suis comme le roseau , je plie, mais jamais ne romps

vous saviez donc que j'allais revenir , après une petite mise au vert

et quelques vacances bien méritées après ce long hiver

c'était une fois encore bien vu,

des va et vient ont été vécus

mais on ne va pas se plaindre ..

tout au plus geindre

mais ce ne sera que de plaisir

dont il ne faut jamais s'abstenir..

ah pour voyager , j'ai voyagé

j'ai plusieurs heures de vol , accumulées

mais jamais, à aucun moment, ne vous ai oublié

vos mots ne pourront jamais me lasser 

et me voilà enfin, saine et sauve, rentrée

et avec vous, en pleine forme, pour à nouveau.. rimer

C'était au calendrier : j'ai pensé aux vacances

Et vous ai supposée, partie loin de la France !

Séra'angel vole

Et caracole

Par mont et vaux !

Nous les nigauds

Gardons nos fioles

Dans les rigoles

Du caniveau !

Un ange passe :

J'ouvre mes chasses

Et j'en perds mes mots !

Beaux "oiseaux de passage"

A quand l'atterrissage ?

Qu'on entonne un duo

Un trio?

Un quinto ?

(Quel cul haut !)

Mars L :

Marcelle t'es comme une fée pour moi.
Comme celles des temps d'autrefois.

Marcelle y'a un truc qui va pas, c'est ton nom.
Ton nom maint'nant raisonne en moi.
Comme une histoire d'autrefois.

Un compte de Philippe Soupault que j'lisais mot à mot.

Agenouillé là tout contre toi j'ai pris ta main là tout contre moi.
j'ai eu une larme là et puis plus rien.
juste ta p'tite voix qui disait je ne t’oublierai pas.

Marcelle t'es comme une fée pour moi.
Comme celles du temps d'autrefois.

Marcelle ce truc que j'oublie pas c'est ton nom.
Ton nom maint'nant raisonne en moi.
Comme cette fable d'autrefois.

Marcelle ce qui raisonne en moi c'est ton nom.

Marcelle,c'est ton nom.
 

C'est pas de moi. Mais bon... on peut faire comme si.

A+

il y a 45 minutes, Spontzy a dit :

Mars L :

Marcelle t'es comme une fée pour moi.
Comme celles des temps d'autrefois.

Marcelle y'a un truc qui va pas, c'est ton nom.
Ton nom maint'nant raisonne en moi.
Comme une histoire d'autrefois.

Un compte de Philippe Soupault que j'lisais mot à mot.

Agenouillé là tout contre toi j'ai pris ta main là tout contre moi.
j'ai eu une larme là et puis plus rien.
juste ta p'tite voix qui disait je ne t’oublierai pas.

Marcelle t'es comme une fée pour moi.
Comme celles du temps d'autrefois.

Marcelle ce truc que j'oublie pas c'est ton nom.
Ton nom maint'nant raisonne en moi.
Comme cette fable d'autrefois.

Marcelle ce qui raisonne en moi c'est ton nom.

Marcelle,c'est ton nom.
 

 

 

C'est pas de moi. Mais bon... on peut faire comme si.

A+

Marcelle, ça me fait tellement penser au conducteur sans C'est Pas Sorcier ! 

Il y a 4 heures, sera-angel a dit :

Merci mais...

Je ne suis pas pressée de voir les vers

En attendant je préfère les boire et les faire

Je te remercie néanmoins pour l attention

Venant de toi je sais que c était bonne intention

Je te félicite pour tes exploits scolaires

Tu assures yoyo sans en avoir l air

C est un peu grâce à moi

Qui pour toi croise les doigts

Tu vas nous décrocher à défaut des étoiles

Une mention qui j espère entrera dans les annales

 

Si je tombes sur un sujet poésie au bac ça serait magique !

L'année prochaine je tenterai le concours poésie en liberté c'est gratuit donc j'ai rien à y perdre (faut dire que des gens dans ma classe m'ont supplié de le faire car je suis devenu un peu une curiosité avec ce que les profs de langues qualifient de talent et mes 6/20 en maths, car oui malheur je suis en S, désespoir, erreur de parcours ? Ahah, nan mais j'en rigole mais c'est pas drôle)

Petit poème cadeau, il est simpliste mais mimi je pense ?

L'amoureux des Fleurs

Manteau scintillant d'ivresse,
Et bec ; flûte pour les belles,
Où coule un vieux nectar d'elles.
- D'une Fleur c'est la promesse !

Bleu colibri il caresse
Les beaux voiles d'une ombelle,
(Plus frêle que les oiselles).
- Il goûte sa joliesse !

Empli d'une douce justesse,
Il effleure la Déesse.
- L'élixir divin l'appelle !

Puis éveillant les dentelles,
Il voit toute une aquarelle...
- N'oublie pas la politesse !

À très vite l'ange 

Donner vie à des mots,

C'est coucher sa pensée

Sur un bout de papier.

Au scalpel, aux ciseaux, au couteau...

Des symboles apparaissent 

Qui relient un air d'éternité 

Vers ceux qui par allegresse

Les lisent au sein de l'assemblée 

Prendre sens c'est appeler sa culture

C'est faire appel a notre alphabet

A la grammaire à nos structures 

Et a nos maîtres qui nous ont enseigné

Toucher notre histoire

Etymologiser nos racines

Latines grecques ou saxones comme ce soir

De banquet avec nos copines arc-en-cielisées

C'est toucher son animal 

Qui se lève, gémit, porte ses sons

Et touche sa meute par son mal

Ou transmet sa raison par le bon.

Je couche mon cro magnon

Je couche ma langue

Je couche mon histoire 

Donner vie à des mots

C'est faire appel à l'onde propagée

De l'air que je respire et qui transmet

Au marteau de l'oreille

Comme l'écho des signes que j'appareille

C'est faire appel a Platon

Et a son monde idéal des idées

Pour le temps d'une courte imagination 

L'habiter du monde de mes pensées

De l'Alpha a l'omega via Zenalpha

De l'ohm originel du cosmos 

Vers l'homme d'un presque nirvhana

Je suis une partouze céleste 

Dont la découpe sera désormais figée.

Quand je regarde par ma fenêtre ce ciel azur

Cette demi lune tôt ce matin comme accrochée

Me vient cette image d'une mer céleste inachevée

Où se perdent nuages, anges et astres en doux murmure

Quel paradoxe que nos grands dieux aient décidé

De teindre en bleu cette fenêtre tapissée

Et nous faire croire au doux prémisse de l'immensité 

Qui n'est que ce mirage que nos sens ont dressé

Et si nos vies si palpables et si réelles

N'etaient que des artefacts illusoirement dressées

Pour parfois nous faire croire comme elles sont belles

Puis soudainement nous rappeler notre petite réalité 

Nous sommes un univers dans un univers

Une merveilleux sommet de complexité sur une pyramide 

Dressée sur une illusion de chaude lumière 

Une humanité bernée fragile, une bulle esprit  schizoïde

Il y a 13 heures, zenalpha a dit :

Donner vie à des mots,

C'est coucher sa pensée

Sur un bout de papier.

Au scalpel, aux ciseaux, au couteau...

Des symboles apparaissent 

Qui relient un air d'éternité 

Vers ceux qui par allegresse

Les lisent au sein de l'assemblée 

Prendre sens c'est appeler sa culture

C'est faire appel a notre alphabet

A la grammaire à nos structures 

Et a nos maîtres qui nous ont enseigné

Toucher notre histoire

Etymologiser nos racines

Latines grecques ou saxones comme ce soir

De banquet avec nos copines arc-en-cielisées

C'est toucher son animal 

Qui se lève, gémit, porte ses sons

Et touche sa meute par son mal

Ou transmet sa raison par le bon.

Je couche mon cro magnon

Je couche ma langue

Je couche mon histoire 

Donner vie à des mots

C'est faire appel à l'onde propagée

De l'air que je respire et qui transmet

Au marteau de l'oreille

Comme l'écho des signes que j'appareille

C'est faire appel a Platon

Et a son monde idéal des idées

Pour le temps d'une courte imagination 

L'habiter du monde de mes pensées

De l'Alpha a l'omega via Zenalpha

De l'ohm originel du cosmos 

Vers l'homme d'un presque nirvhana

Je suis une partouze céleste 

Dont la découpe sera désormais figée.

Ton allégorie m'a fait l'effet d'un anticerne

et du fond de ma caverne

tu as réveillé mon animal dans ses racines

nulle envie et encore moins besoin, d'aspirine

couche toi là cro-magnon, je serai ta Marie

et avec tes beaux mots raconte moi, encore ta vie

Habite moi , je t'en conjure , de tes pensées

Soupons, râlons et d'ohmg je finirai arcencialisée  

il y a une heure, zenalpha a dit :

Quand je regarde par ma fenêtre ce ciel azur

Cette demi lune tôt ce matin comme accrochée

Me vient cette image d'une mer céleste inachevée

Où se perdent nuages, anges et astres en doux murmure

Quel paradoxe que nos grands dieux aient décidé

De teindre en bleu cette fenêtre tapissée

Et nous faire croire au doux prémisse de l'immensité 

Qui n'est que ce mirage que nos sens ont dressé

Et si nos vies si palpables et si réelles

N'etaient que des artefacts illusoirement dressées

Pour parfois nous faire croire comme elles sont belles

Puis soudainement nous rappeler notre petite réalité 

Nous sommes un univers dans un univers

Une merveilleux sommet de complexité sur une pyramide 

Dressée sur une illusion de chaude lumière 

Une humanité bernée fragile, une bulle esprit  schizoïde

Je veux bien être dressée sur une illusion de chaude lumière

mais quand a être bernée , parlez pour vous cher confrère

j'ai bien la tête sur les épaules, et tout ce qu'il faut là où il faut

pour ne pas céder au premier charlot

schizoïde, schizoïde , est ce que j'ai une gueule de schizoïde ?

Je m'en vais me plaindre au Califat abbasside