Lecture partagée - La cité perdue du dieu singe

tous les chercheurs de trésors savent ,désormais ,ou aller !!

vive le pillage !!!!

bon alors on part quand !!

On part bientôt  

Attends faut qu'on sache exactement où aller ! On va pas se trimballer n'importe où, faut déterminer une zone précise à explorer, et puis il nous faut des spécialistes, faut les recruter, faut du matériel tout ça tout ça..

Je note :  Tegucigalpa  capital du Honduras. Demain je l'aurais oublié  

Les archéologues se mirent tant et si bien en colère que même le professeur Joyce refusa à Preston d’examiner les cartes et de lui donner son avis.

« C’est au moins la cinquième fois que quelqu’un prétend avoir trouvé la Cité Blanche ! […] Il n’y a pas de Cité Blanche ! C’est un mythe, un mythe moderne, créé en grande partie par des aventuriers. Ce ne sont pas des archéologues, ce qu’ils veulent c’est du spectacle !

Preston lui précisa qu’il était bien entendu question d’une prospection terrestre à présent, et que l’équipe était à la recherche d’un archéologue capable, Joyce finit par accepter de mauvaise grâce de regarder les clichés : « J’y jetterai un œil, mais je ne promets pas de vous recontacter. »

Madame Joyce avait du caractère et cependant, les premières images reçues par e-mail, elle rappela Preston dans la seconde.

D’après ses estimations, le site comportait trois ensembles principaux de grandes structures et il datait de la fin de l’époque classique ou post-classique, entre 500 et 1000 après J.-C.

La conversation fut toutefois interrompue ainsi : « Ca me met hors de moi de voir l’archéologie présentée comme une sorte de chasse au trésor ! »

Pour l’expédition pédestre l’équipe était à la recherche d’un archéologue. Il fallait un professionnel capable d’étudier les images du lidar et d’identifier plus précisément ce qu’elles représentaient. Et il leur fallait quelqu’un qui soit également un spécialiste de la méso-amérique.

Ils trouvèrent leur homme en la personne de Chris Fisher, professeur d’anthropologie à l’université du Colorado.

 Fisher annonça que les deux ruines découvertes n’étaient certainement pas mayas. Elles appartenaient à une ancienne culture à part entière qui avait régné sur la Mosquitia plusieurs siècles auparavant. Les deux sites étaient d’anciennes cités, dans le sens archéologique du terme, cela ne correspondait pas forcément à l’appellation courante de ce mot.

Et alors ?... Et alors ?... Et alors ?...    Fisher est arrivé-é-é ! Sans s'pressé-é-er !...

bien joli tout ça , mais si l'on part à la saison des pluies , j'imagine le pire !!

la brasse papillon au milieu des jaguars , caimans ,serpents ,etc !!!!!!!!!!

il y a 47 minutes, boeingue a dit :

bien joli tout ça , mais si l'on part à la saison des pluies , j'imagine le pire !!

la brasse papillon au milieu des jaguars , caimans ,serpents ,etc !!!!!!!!!!

M'en fous ! l'Amérique du sud et l'Amérique centrale, c'est mon fantasme absolu !

« Une cité, expliqua-t-il, est une organisation sociale complexe, polyvalente. Elle se compose d’une société hiérarchisée dont les couches de population sont distinctement séparées dans l’espace, et entretient des liens étroits avec son arrière-pays. Les cités remplissent des fonctions spécifiques, y compris cérémonielles, et sont associées à une agriculture intensive. Elles impliquent aussi le plus souvent un aménagement monumental de l’environnement. »

Fisher voyait dans T3 une grande cité, comparable au cœur de Copan, la cité maya dans l’ouest du Honduras. La cité inconnue de T3 couvrait environ 5 km carrés, une ampleur extraordinaire. Fisher avait identifié 19 agglomérations reliées les unes aux autres sur plusieurs kilomètres le long de la rivière, lesquelles, selon lui, faisaient partie d’une chefferie qui dominait autrefois la vallée.

Fisher confia que ces deux cités étaient visiblement plus grandes que tout ce qui avait été identifié dans la Mosquitia. Mais finalement cela ne voulait pas dire grand-chose puisqu’aucun site n’avait jamais été cartographié dans son intégralité.

Sans plus tarder, on commença à mettre sur pied l’expédition pédestre. Fisher se prononça en faveur de T3, mais Elkins essayait de pénétrer T1 depuis plus de vingt ans et il n’était pas prêt à abandonner maintenant.

Les deux années suivantes furent donc passées à planifier l’exploration de T1, mais en envisageant une rapide étude de T3. Le nouveau président du Honduras (Juan Orlando Hernandez) fut très enthousiaste et fit même de l’expédition la priorité de son nouveau gouvernement. Les autorisations furent faciles à obtenir.

C’est bon vous êtes prêts ? Alors on retourne à la réunion qu’on avait au départ. Soyez attentifs, cette région comme déjà dit est l’une des plus dangereuses et l’une des plus isolées sur terre.

Commencer à mettre sur pied une expédition pédestre.... ça paraît logique non !!!  

J"aime bien savoir où je suis :

Détail de la Mosquitia image satellite :

Premier volet, l’acheminement des hommes et du matériel, le site d’atterrissage. On finit par se mettre d’accord après des échanges tendus avec l’armée qui voulait déposer l’équipe à 20 km des ruines, impossible. Non mais vous nous voyez nous taper 20 bornes là d'dans ?!!

C'est bon, on a trouvé un autre site, au pied des ruines.  (bah voilà, quand on cherche un peu, non mais..)

Deuxième volet, la sécurité, assurée par les forces spéciales TESON (spécialisées dans les interventions dans la jungle et les opérations nocturnes), pour la plupart des peuples pech, tawahka, garifuna et mosquito de l’est du Honduras.

« Les soldats sont autonomes, ils campent de leur côté. Ils sont de la vieille école et vivent comme des Indiens. »

Leur mission consistera à nous protéger d’éventuels narcotrafiquants, criminels ou autres menaces susceptibles de se cacher dans la forêt, même si l’isolement de la vallée réduit ce risque. Mieux encore, ces soldats participeront à Operacion Bosque (opération forêt), dont le but était de les entraîner aux méthodes de protection de la forêt vierge et de ses trésors archéologiques. Les objectifs du nouveau président.

Stopper la déforestation, lepillage des trésors archéologiques du pays, faire baisser le taux de criminalité, réduire le trafic de drogue et par-dessus tout, développer le tourisme en vue de redresser l’économie nationale, voilà quels étaient exactement les objectifs du nouveau président.

Troisième volet : les bestioles. Partir avec sept doses d’anti venin n’est pas suffisant de l’avis du commandement militaire. Deux doses pour les serpents corail et cinq pour les crotalidés ? Non, il faut au moins vingt doses, parce-qu’une seule morsure peut en nécessiter plusieurs.

Les serpents sont omniprésents et on ne peut pas les éviter. Les plus petits qui se reposent sur les branches basses vous tombent dessus si vous les dérangez.

Comme il est impossible de s’en procurer plus en raison d’une pénurie, nous partons avec seulement sept doses d’anti venin.  

Toujours partants ? 

Non  

Allez c'est bon fais pas ta chochotte hein, on a les guêtres en kevlar, les combis intégrales, un mélange de pesticide et d'insecticide partout sur nous, ça va le faire. Et puis on laissera @Blaquière marcher devant...

Ok je viens si en plus de Blaquière, Boeingue va devant aussi et si Petit pois est derrière moi pour me faire une dose d'anti venin en cas de besoin 

et je ne suis pas chochotte  

.............J'vous attends au dispensaire, no souci ! 

à l’instant, Petit pois a dit :

.............J'vous attends au dispensaire, no souci ! 

Ben voyons ! Un dispensaire ! En pleine jungle hondurienne ! 

Y a pas d'dispensaire alors enfile tes guêtres, on y va, non mais. 

il y a 30 minutes, January a dit :

Ben voyons ! Un dispensaire ! En pleine jungle hondurienne ! 

Y a pas d'dispensaire alors enfile tes guêtres, on y va, non mais. 

Heuuu ? Ha ? Bon....pfffffffffff........j'vais chercher ma trousse et je vous suis...si, si !