Servitude,

Je me bats, comme un mal logis, un mal lotis, et bien pire...juste de la pire espèce, qui espère, le moins que du rien, et ce n'est pas rien, juste rien du tout, pour le tout, je prends tout et le reste.

Le propre de l'homme, c'est de sentir le meilleur, la saveur de l'honnêteté, et de mettre un terme, au désordre et au tumulte de la vie, mais ce n'est que subalterne au désordre qui n'honore que la bassesse, et par le mot de la  sagesse voici que de l'idée la grande se dessine l'envie de vivre comme l'étoile de son éclat vibrant comme un étendard porter au firmament de ses espoir pour sa gloire et sur cela que repose l'espoir vibrer de l'espoir non pas de l'espoir ne serait que du faire valoir, raser la sagesse sans préambule, que de l'embarrras et de l'oublie, qui s'abandannant au sens pratique de l'oubli, car sans critique, je fuis ma responsabilité, celle d'être un homme tout simplement.

Le renoncement est le repos du guerrier

Ne plus s'appartenir et se libérer

De la peur, de l'espoir et du désir

Laisser l'Autre nous asservir

Lui confier nos tourments et nos vies

Le laisser maître de nos envies.

Vouloir plus, mieux, devenir sage demandent des efforts, du courage, du travail, la résolution de conflits intérieurs, le bien/le mal, les lois/les désirs, la liberté/la responsabilité des actes.... Au final pourquoi tenir à tout cela, pourquoi ne pas juste renoncer, baisser les armes et laisser les autres décider pour nous. Alors plus de conflits intérieurs, plus de désirs, plus de souffrance, juste obéir à un autre qui sait mieux que nous. Cela est reposant de cesser le combat.

La gloire est attribuée par la doxa, par l'opinion publique qui est changeante. C'est un plaisir instable qui nous soumet aux autres. Le général (consul) Romain qui rentrait à Rome après une victoire recevait une ovation. Une ovation, vient de ovin, mouton : on tuait un mouton. C'est beau la gloire. Autant stupide que la fierté.

il y a 2 minutes, Talon 1 a dit :

La gloire est attribuée par la doxa, par l'opinion publique qui est changeante. C'est un plaisir instable qui nous soumet aux autres. Le général (consul) Romain qui rentrait à Rome après une victoire recevait une ovation. Une ovation, vient de ovin, mouton : on tuait un mouton. C'est beau la gloire. Autant stupide que la fierté.

La gloire que tu vois, à travers toi,  dans ton miroir, celle de la vie, et les trompettes de la renommée me parvenaient dans mon

for intérieur. 

il y a 6 minutes, lemusicien a dit :

La gloire que tu vois, à travers toi,  dans ton miroir, celle de la vie, et les trompettes de la renommée me parvenaient dans mon

for intérieur. 

 

"Les hommes se regardent de trop près pour se voir tels qu'ils sont. Comme ils n'aperçoivent leurs vertus et leurs vices qu'au travers de leur amour-propre, qui embellit tout, ils sont toujours d'eux-mêmes des témoins infidèles et des juges corrompus." Montesquieu

il y a 4 minutes, Talon 1 a dit :

"Les hommes se regardent de trop près pour se voir tels qu'ils sont. Comme ils n'aperçoivent leurs vertus et leurs vices qu'au travers de leur amour-propre, qui embellit tout, ils sont toujours d'eux-mêmes des témoins infidèles et des juges corrompus." Montesquieu

 

Pas de gloire, sans l'espoir qui s'évanouie, quand le servile frappe à la porte de la maisonnée.

Le renoncement ne suffit pas, il n'est pas un repos, parce que de tout renoncement naît la frustration.

il y a 2 minutes, Don Juan a dit :

Le renoncement ne suffit pas, il n'est pas un repos, parce que de tout renoncement naît la frustration.

 

Bravo, et le serpent se mord le queue, et se dévore en entier.

il y a 2 minutes, Don Juan a dit :

Le renoncement ne suffit pas, il n'est pas un repos, parce que de tout renoncement naît la frustration.

 

Peut être ou pas, en ce sens où je comprends parfaitement cet argument, mais je doute que la frustration soit obligatoire, mais sans certitude aucune, donc dans le doute...

il y a 51 minutes, holmberg a dit :

Peut être ou pas, en ce sens où je comprends parfaitement cet argument, mais je doute que la frustration soit obligatoire, mais sans certitude aucune, donc dans le doute...

 

Le renoncement peut représenter une école, pendant un temps relatif, le temps de comprendre qu'il ne débarrasse pas de la souffrance; beaucoup ne parviennent pas à comprendre que le non désir peut aboutir par des voies simples, le renoncement n'en étant pas une à mes yeux.

il y a 51 minutes, lemusicien a dit :

Bravo, et le serpent se mord le queue, et se dévore en entier.

Non le serpent ne se mord pas la queue, il s'enfuit dans les fourrés trouver la paix dans la solitude.

Vous auriez pu en déduire des questions diverses plutôt que de vous laisser mordre par une queue qui n'existe pas.

Mais ping avait dit tout ce qu'il y avait à dire plus clairement.

il y a 3 minutes, Don Juan a dit :

Le renoncement peut représenter une école, pendant un temps relatif, le temps de comprendre qu'il ne débarasse pas de la souffrance; beaucoup ne parviennent pas à comprendre que le non désir peut aboutir par des voies simples, le renoncement n'en étant pas une à mes yeux.

Autant je peux imaginer le renoncement dans le sens où il s'agirait de laisser les commandes à Autre qui désirerait à notre place ( et je suis d'accord, je pense que ça ne peut que fonctionner et soulager pendant un temps) mais le non-désir... quelles seraient ces voies simples ? 

il y a 3 minutes, Don Juan a dit :

Le renoncement peut représenter une école, pendant un temps relatif, le temps de comprendre qu'il ne débarasse pas de la souffrance; beaucoup ne parviennent pas à comprendre que le non désir peut aboutir par des voies simples, le renoncement n'en étant pas une à mes yeux.

Non le serpent ne se mord pas la queue, il s'enfuit dans les fourrés trouver la paix dans la solitude.

Vous auriez pu en déduire des questions diverses plutôt que de vous laisser mordre par une queue qui n'existe pas.

Mais ping avait dit tout ce qu'il y avait à dire plus clairement.

J'ai vu le serpent un boa dans un zoo, qui par mégarde, un de ses crochets recourbés, avait accroché sa couverture, et il du se la coltiner toute entière, 

Et son gardien, lui acheta en plus de son nouveau plaid, un laxatif.

Car il l'aimait bien sa bestiole,

Pas de servitude, de l'amour cette petite habitude.

il y a 1 minute, holmberg a dit :

Autant je peux imaginer le renoncement dans le sens où il s'agirait de laisser les commandes à Autre qui désirerait à notre place ( et je suis d'accord, je pense que ça ne peut que fonctionner et soulager pendant un temps) mais le non-désir... quelles seraient ces voies simples ? 

Ne pas chercher au dehors de soi ce que nous croyons qu'il nous manque.

Ce qu'il peut réellement nous manquer n'est nulle part ailleurs qu'en soi.

Trompé par les croyances du monde nous ne cessons de fixer notre regard sur des objets qui n'existent que pour détourner notre attention et nous nous trouvons dans la difficulté de voir ce qui est la portée de nos mains. C'est une évidence.

Le non désir de ce qui n'est pas "soi" amène à la rencontre de ce soi que l'on ne sait pas voir.

Le non-désir n'est pas une réaction qui résulterait d'un choix de renoncer pour quelque raison déterminée, le non désir est présent dans l'attention à soi comme une offrande de la conscience.

il y a 1 minute, lemusicien a dit :

Pas de servitude, de l'amour cette petite habitude.

La servitude n'existe que chez celui-là qui ne sait pas se servir lui-même. Ce qui peut s'apprendre bien heureusement !

il y a 3 minutes, Don Juan a dit :

Ne pas chercher au dehors de soi ce que nous croyons qu'il nous manque.

Ce qu'il peut réellement nous manquer n'est nulle part ailleurs qu'en soi.

Trompé par les croyances du monde nous ne cessons de fixer notre regard sur des objets qui n'existent que pour détourner notre attention et nous nous trouvons dans la difficulté de voir ce qui est la portée de nos mains. C'est une évidence.

Le non désir de ce qui n'est pas "soi" amène à la rencontre de ce soi que l'on ne sait pas voir.

Le non-désir n'est pas une réaction qui résulterait d'un choix de renoncer pour quelque raison déterminée, le non désir est présent dans l'attention à soi comme une offrande de la conscience.

Je comprends votre point de vue, mais il ne s'agit pas d'une voie simple, à mon sens, elle est même très complexe. Et je pense que peu de personnes peuvent y parvenir.

à l’instant, holmberg a dit :

Je comprends votre point de vue, mais il ne s'agit pas d'une voie simple, à mon sens, elle est même très complexe. Et je pense que peu de personnes peuvent y parvenir.

Certes, voila une raison de plus de la signaler.

il y a 14 minutes, Don Juan a dit :

Ne pas chercher au dehors de soi ce que nous croyons qu'il nous manque.

Ce qu'il peut réellement nous manquer n'est nulle part ailleurs qu'en soi.

Trompé par les croyances du monde nous ne cessons de fixer notre regard sur des objets qui n'existent que pour détourner notre attention et nous nous trouvons dans la difficulté de voir ce qui est la portée de nos mains. C'est une évidence.

Le non désir de ce qui n'est pas "soi" amène à la rencontre de ce soi que l'on ne sait pas voir.

Le non-désir n'est pas une réaction qui résulterait d'un choix de renoncer pour quelque raison déterminée, le non désir est présent dans l'attention à soi comme une offrande de la conscience.

La servitude n'existe que chez celui-là qui ne sait pas se servir lui-même. Ce qui peut s'apprendre bien heureusement !

De servitude, c'est du service comme le tuteur qui aide l'arbrisseau.

l'honneur de dire à son interlocuteur,

Quand  il vous interpelle de lui répondre :

- Je suis votre serviteur, et vous serez mon débiteur.

il y a 6 minutes, lemusicien a dit :

De servitude, c'est du service comme le tuteur qui aide l'arbrisseau.

l'honneur de dire à son interlocuteur,

Quand  il vous interpelle de lui répondre :

- Je suis votre serviteur, et vous serez mon débiteur.

Nul ne peut être mon serviteur, je suis le serviteur de personne.

Le service est toujours un commerce, Je préfère l'acte gratuit.

Je n'attends pas de gratitude et n'en ressens pas non plus.

Celui qui donne se donne à lui-même avant tout, alors qu'il se remercie lui-même suffira bien.

À celui qui donne il est donné de voir qu'il se donne à lui-même et sans doute peut-il être un exemple pour celui qui souffre, et de quoi peut-on bien souffrir en premier point si ce n'est de ne pas savoir se donner à soi et par voie de conséquence voir pauvreté en toute chose.

à l’instant, Don Juan a dit :

Nul ne peut être mon serviteur, je suis le serviteur de personne.

Le service est toujours un commerce, Je préfère l'acte gratuit.

Je n'attends pas de gratitude et n'en ressens pas non plus.

Celui qui donne se donne à lui-même avant tout, alors qu'il se remercie lui-même suffira bien.

À celui qui donne il est donné de voir qu'il se donne à lui-même et sans doute peut-il être un exemple pour celui qui souffre, et de quoi peut-to bien souffrir en premier point si ce n'est de ne pas savoir se donner à soi et par voie de conséquence voir pauvreté en toute chose.

Un jour,  1 + 1 on fait 2 et puis tu es arrivé, au déboulé, ils étaient ravis et chamboulés de tous ces émois, et des amis, la famille,

tous se sont mis à t'aimer, c'est de le servitude l'amour, et comme je ne me nourrie pas que de mots je m'adonne à de basses

besognes, et la servitude m'a donnée, le droit de passer droit, pour construire mon chemin qui me sourit à en faire pâlir la lune de tant de soleil,

qui éclairait ma face écarlate,

 et j'ai vu  dans cet œil tout l'amour que je donnais.

il y a 4 minutes, lemusicien a dit :

Un jour,  1 + 1 on fait 2 et puis tu es arrivé, au déboulé, ils étaient ravis et chamboulés de tous ces émois, et des amis, la famille,

tous se sont mis à t'aimer, c'est de le servitude l'amour, et comme je ne me nourrie pas que de mots je m'adonne à de basses

besognes, et la servitude m'a donnée, le droit de passer droit, pour construire mon chemin qui me sourit à en faire pâlir la lune de tant de soleil,

qui éclairait ma face écarlate,

 et j'ai vu  dans cet œil tout l'amour que je donnais.

L'amour libère de tout état de servitude.

à l’instant, Don Juan a dit :

L'amour libère de tout état de servitude.

J'aime, à la folie, et cela m'asservie au delà du raisonnable, alors je maudis et peste, et je recommence à ramper...