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En Essonne, les policiers des BAC doivent se regrouper

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Il y a 7 heures, Anne Atôle a dit :

V. Pécresse ce matin sur LCI

La faute à qui  : " A l ' extrême gauche"

les bons : "Les flics et le peuple"

la solution : "La mixité"...

Voilà, débrouillez vous avec ça...

la 5 en direct...

"Marseille, peur sur la ville"....

C" était sur "C News"... pardon:D..

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.../..."Nous sommes attachés, et ça c'est très républicain, c'est même révolutionnaire, à cette égalité entre l'homme et la femme. Donc nous ne comprenons pas qu'il y ait cette différence, cette distance, cette séparation. C'est ça un peu le voile..../...

E.M.

 

 

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:hello:

 

 

Couv_170691.jpg

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Faute de traducteur, un migrant relâché après avoir roué de coups un agent de police

Les faits se sont déroulés samedi soir à Calais près d'un centre commercial, une vingtaine de migrants ont pris à partie des policiers en train d’interpeller d'autres migrants montés dans un poids-lourd. C’est à ce moment qu’une policière a été roué de coups au visage et aux jambes.

Le syndicat SGP FO dénonce une faille dans le système judiciaire après la libération d'un migrant qui a tabassé une agent de police lors d'une intervention, C'était samedi en début de soirée à proximité du centre commercial Calais Mi-voix. L'auteur des coups a été relâché faute de traduction possible.

Une libération jugée inacceptable par Gilles Debove, du syndicat SGP FO, qui dénonce « l'immunité » des migrants :

L'agent de police, qui est une femme, a reçu six jours d'ITT.

https://www.radio6.fr/article-34469-faute-de-traducteur-migrant-relache-apres-avoir-roue-de-coups-agent-de-police-.html

Podcast dans l'article

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pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
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Un agent de police qui se fait rouer de coups n'est pas un agent de police. Il faut être con pour partir en mission dans des endroits douteux sans avoir un flingue sur soi.

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Pinaise ! :o:D

:zen:

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Lyon: Sous l'emprise de l'alcool, il insulte les gendarmes pendant sept heures

Le lendemain, il a retrouvé son calme. Une fois que les effets de l’alcool se sont dissipés. Ce qui ne l’a pas empêché d’être jugé et d’être condamné. Un habitant d’Anse, dans le Beaujolais, près de Lyon, a écopé vendredi d’une peine de prison d’un an, dont 4 mois avec sursis pour avoir copieusement insulté des gendarmes pendant près de sept heures.

Ils avaient été appelés pour raisonner un homme ivre, qui se promenait torse nu et importunait les passants. Mais une fois n’a pas suffi. L’individu, loin de se calmer, a recommencé. Ce qui a obligé les gendarmes à intervenir une seconde fois et a emmené l’homme en cellule de dégrisement.

Ce dernier les a alors insultés… pendant 7 heures, sans discontinuer, allant même jusqu’à leur cracher dessus. De 18h à 1h précisément selon Le Progrès. Une mise à l’épreuve et de deux ans et une interdiction de fréquenter les débits de boissons a également été prononcée contre cet homme, qui était sorti de détention au mois de février.

https://www.20minutes.fr/faits_divers/2278491-20180527-lyon-sous-emprise-alcool-insulte-gendarmes-pendant-sept-heures?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&xtref=facebook.com#link_time=1527435894

 

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il y a 18 minutes, pila a dit :

Un agent de police qui se fait rouer de coups n'est pas un agent de police. Il faut être con pour partir en mission dans des endroits douteux sans avoir un flingue sur soi.

 

Si on va par là, il faut aussi être très con pour être marié et avoir des enfants quand on est flic.....

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Un policier et sa compagne ont-ils été passés à tabac, samedi soir, à cause de la profession de ce dernier ? C’est tout l’objet d’une enquête ouverte par le parquet d’Evry et confiée à la Sûreté départementale de l’Essonne, a appris 20 Minutes de sources concordantes. Selon les premiers éléments, les victimes – qui ont porté plainte – auraient été suivies alors qu’elles rentraient chez elles, leur véhicule immobilisé et les adultes agressés devant leurs enfants. « A ce stade des investigations, aucune piste n’est écartée mais l’hypothèse d’une embuscade liée à la profession de ce père de famille est étudiée de près », précise l’une de ses sources.

Guet-apens

La soirée avait pourtant commencé sous de bons auspices. Le couple et ses trois enfants avaient passé la soirée à Igny, dans l’Essonne, pour fêter l’anniversaire d’un ami. Dans l’assemblée, nombre d’invités appartiennent aux forces de l’ordre, tout comme l’hôte. La fête se déroule sans encombre, la famille quitte les lieux à une heure du matin passée.

Mais alors qu’ils arrivent à hauteur de Palaiseau, un véhicule prend à revers un rond-point et immobilise leur voiture. Les parents sont sortis manu militari de l’habitacle par plusieurs individus et violentés sous les yeux de leurs enfants, restés à l’arrière. Selon leurs témoignages, les agresseurs auraient alors mentionné la qualité de policier du père de famille. Comment ont-ils appris le métier de ce dernier ? Visaient-ils cet homme en particulier ou sa profession ? « C’est tout l’objet de l’enquête, assure une source proche de l’enquête. La femme assure qu’elle aurait entendu, en quittant Igny, des gens dire "Ils sont policiers" sans y prêter vraiment attention. »

Suivi jusqu’à l’aire d’autoroute

Après de longues minutes, le couple parvient à échapper à ses agresseurs et remonte dans la voiture. Ils roulent plusieurs kilomètres, pensent les avoir semés, puis s’arrêtent sur une aire d’autoroute de l’A10 à proximité de Limours. « Ils souhaitaient, semble-t-il, reprendre leurs esprits et calmer les enfants, choqués, mais ils ne se sont pas rendu compte qu’ils avaient été suivis », poursuit une autre source. A peine ont-ils posé le pied par terre que leurs agresseurs rappliquent. De nouveau, les coups pleuvent. Le policier a écopé de 30 jours d’ITT et sa compagne de 3 jours. Des arrêts toutefois pas définitifs puisqu’ils ont été délivrés par un médecin généraliste et non par celui d’une unité médico-judiciaire (UMJ).

Les agresseurs sont parvenus à prendre la fuite et à ce stade des investigations aucune interpellation n’a eu lieu. Dans un contexte où policiers et militaires sont particulièrement exposés, les témoignages de cette famille sont pris très au sérieux par les autorités.

https://www.20minutes.fr/faits_divers/2173455-20171121-essonne-policier-compagne-roues-coups-devant-enfants

 

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Rodéos urbains à Fameck : « À 100km/h sur une zone 30, des fous ! »

Depuis quelque temps, quads et motocross sèment le trouble dans le quartier sensible de Fameck. Les habitants, excédés par ces rodéos urbains, crient leur colère. Le maire réclame des moyens supplémentaires.

Avenue de Metz à Fameck. Les grilles du lycée Saint-Exupéry, tout proche, déversent leur flot d’étudiants à l’approche de midi. Non loin, la terrasse du snack se remplit. Va-et-vient habituel sur le parking de la pharmacie. Depuis quelque temps pourtant, les riverains sont confrontés à un autre train-train dans ce quartier. Nettement moins paisible celui-là : dès la fin de l’après-midi, le ballet des quads et des motocross remplace celui des lycéens.

« Tout peut basculer d’un moment à l’autre »

Le phénomène est principalement localisé dans le quartier classé Zone urbaine sensible, soit notamment « avenue de Metz, rue Mermoz, rue de Picardie », relaye la police municipale. Les conducteurs de ces véhicules non-homologués pour la route, sans plaque d’immatriculation, ont fait de ces longues artères en ligne droite et des trottoirs leur nouveau terrain de jeu. Au grand dam d’un certain nombre de riverains, excédés. Par le bruit d’abord : « Un fléau ! », dénoncent-ils.

Cette cohabitation douteuse pose surtout la question de la sécurité. Et génère un climat délétère dans la ville. « On a l’impression que tout peut basculer d’un moment à l’autre. Est-ce qu’on doit remplacer nous-mêmes les autorités compétentes ? », tempêtent des internautes qui refont le film sur les réseaux sociaux.

« L’autre jour, confie une commerçante, je livrais avenue Jeanne-d’Arc. Des motos m’ont doublée, elles roulaient à bien 100km/h. Des fous ! Sur une zone à 30 km/h ! » Même manège inquiétant à proximité des établissements scolaires : « J’étais allée chercher ma fille à la sortie de l’école, témoigne encore la Fameckoise. On a assisté à une course de voitures de sport… »

Certains parlent d’actes de provocation, d’autres décrivent des scènes surréalistes : « Deux quads tournant autour de gamines assises dans l’herbe », « des courses-poursuites en mode Fast and Furious , la grande mode du moment » devant des forces de l’ordre impuissantes. « On veut éviter les suraccidents, justifie la police municipale, laquelle confie être régulièrement prise à partie. À deux, plus une stagiaire, on ne peut décemment pas intervenir. Ces jeunes agissent en groupe avec, en plus, un sentiment d’impunité. »

Le maire, Michel Liebgott, a lancé une bouteille à la mer. Il s’est fendu d’un courrier au préfet afin d’exiger des moyens supplémentaires. Ici, en Zone de sécurité prioritaire depuis 2012, le constat est amer : « La brigade de gendarmerie de Fameck ne dispose plus du renfort des gendarmes mobiles, ni des réservistes faute de moyens financiers. » En mars, la ville avait déjà connu une série de faits de délinquance importants. Faisant resurgir le spectre d’un passé plus sombre. D’où la requête de l’élu : « Des effectifs de gendarmes constants et une présence régulière de gendarmes mobiles. »

Quand il y a deux ou trois gendarmes dans une camionnette avec six motos à côté et trente mecs qui les regardent attentivement en rigolant, que voulez-vous qu’ils fassent ?  Un Fameckois, dépité.

https://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-thionville-hayange/2018/05/25/a-100km-h-sur-une-zone-30-des-fous

 

Ici, en Zone de sécurité prioritaire depuis 2012, le constat est amer : « La brigade de gendarmerie de Fameck ne dispose plus du renfort des gendarmes mobiles, ni des réservistes faute de moyens financiers. »

:unknw:

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Les officiers du SDLP, chargés de la protection de personnalités, ont vu leur charge de travail augmenter radicalement depuis les attentats de 2015, et d'autant plus que les abus se multiplient.

Ils sont chargés de protéger les membres du gouvernement mais aussi des dizaines d'autres personnalités dites sensibles. Le service de la protection de la police nationale (SDLP) traverse une véritable crise. Alors qu'une enquête a été ouverte sur les dépassements d'horaires des officiers à charge de la protection de Brice Hortefeux, un service dont il dispose à vie en raison de son passage à Matignon, c'est l'actuel ministre de l'Intérieur Gérard Collomb qui est désormais contraint de se justifier sur la protection de sa famille qui viendra passer les fêtes à Paris. Dans ce contexte, les syndicats de policiers dénoncent une série d'abus et une surcharge de travail croissante.

"Ni cuisiniers, ni secrétaire, ni mécanicien". "La voiture de démarre pas, il faudrait changer la batterie". C'est la consigne reçue par un policier du service par la personnalité dont il avait la charge. Cet exemple est loin d'être isolé puisque certains se retrouvent contraints de promener le chien, quand ils ne jouent pas les chauffeurs pour l'entourage de la personnalité. Le malaise est réel, et les syndicats en appellent au ministre ."Le policier mis à disposition de la personnalité va faire un travail de protection. Ils ne sont ni cuisiniers, ni secrétaires, ni mécaniciens", rappelle auprès d'Europe 1 Philippe Capon secrétaire général de l'Unsa police. "Ce sont des officiers de sécurité. Certaines personnalités l'oublient et j'ai un certain nombre de collègues qui souffrent de ça".

Des protections injustifiées. Et d'autant plus que le nombre et la nature des personnalités ne cesse d'augmenter depuis les attentats de 2015, très largement en dehors du cercle gouvernemental. Cette surcharge de travail devient ingérable. Un officier a ainsi cumulé l'équivalent de trois ans d'heures supplémentaires. La question de revoir les personnes protégées est sérieusement envisagée par la place Beauvau, où l'on évalue à 10% le nombre de protections injustifiées. Au moins trois d'entre elles ont été levées depuis le mois de septembre.

http://www.europe1.fr/societe/les-policiers-du-service-de-la-protection-ni-cuisiniers-ni-secretaire-ni-mecanicien-3526937

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Brigade cynophile du Val-de-Marne (94).
3 véhicules: 2 en réparation depuis plusieurs semaines, un autre flambant neuf mais pas équipé pour le transport des chiens....

 

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Hauts-de-Seine : ça coince dans le recrutement des polices municipales

Les candidats ne sont actuellement pas assez nombreux pour répondre aux besoins des villes, qui étoffent beaucoup leurs effectifs depuis les attentats de 2015.

C’est une préoccupation pour nombre d’élus dans les Hauts-de-Seine : parvenir à recruter des policiers municipaux. Parmi les trente communes du département dotées d’une police municipale, rares sont celles qui fonctionnent au complet. « Dans un service d’une soixantaine de personnes, il manque souvent une dizaine d’agents, relève Fabien Golfier, représentant de la police municipale à la Fédération autonome de la fonction publique territoriale (FA-FAPT). La demande est forte. Un agent qui envoie un CV peut être sûr qu’il sera étudié. » Mieux, les candidats ont le choix de la ville dans laquelle ils veulent exercer.

L’armement, un critère important. Chaville, commune tranquille où l’armement n’est pas envisagé, ne semble pas séduire les candidats. « Oui, nous avons un problème de recrutement, déplore Jean-Jacques Guillet, le maire (LR). Notre effectif est normalement de six, mais il manque deux agents. Le problème, c’est qu’on ne peut pas faire deux équipes. » A Villeneuve-la-Garenne, où les problèmes de sécurité sont plus marqués, ce sont les deux tiers de l’effectif qu’il manque. Prévue pour fonctionner avec douze agents, la PM n’en compte que quatre. Le futur armement des équipes « va incontestablement nous aider au recrutement », estime Pascal Mottais, adjoint (SE) chargé de la tranquillité publique. Dans ce secteur en tension, la rémunération est aussi un levier. « Selon les communes, elle peut augmenter de 40 % avec les primes et les heures supplémentaires », souligne Fabien Golfier.

Concurrence. Confrontées à la même pénurie d’agents, les communes importantes sont néanmoins plus attractives. Neuilly vient tout juste de boucler le recrutement de dix agents pour créer une brigade de nuit. « C’est un peu plus difficile mais nous atteignons nos objectifs, observe le maire (DVD), Jean-Christophe Fromantin. Les moyens alloués à la police, le fait d’avoir des véhicules neufs, de bons équipements, l’armement, la vidéosurveillance… tout cela joue en notre faveur, c’est évident. » Même analyse à Clamart où Jean-Didier Berger a créé la police municipale dès son élection en 2014 : « Dans les villes où la seule mission consiste à mettre des PV de stationnement, c’est plus difficile… Quand il y a vrai projet de sécurité et des moyens, la ville est plus attractive. »

Des militaires à la rescousse. A Courbevoie, où il manque aussi des agents, l’adjoint chargé de la sécurité, Serge Desesmaison (LR) s’est tourné vers les militaires en fin de contrat. Quatre de ces hommes, dont un ancien de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris, viennent de rejoindre les rangs de la police municipale. « Il existe une passerelle dérogatoire au concours national de recrutement des fonctionnaires », explique l’élu. Une dérogation qui ne dispense pas de la formation de six mois imposée à tout policier municipal.

Mais avec l’essor de ces trois dernières années, le rythme des formations ne suit pas, d’après Fabien Golfier. Qui suggère d’ouvrir le concours de gardien-policier municipal tous les ans, et pas seulement tous les deux ans.

http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/hauts-de-seine-ca-coince-dans-le-recrutement-des-polices-municipales-27-05-2018-7738848.php

 

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François Molins explique pourquoi 40 terroristes devraient être libérés d'ici 2019 pic.twitter.com/kTROSIkiYU

— BFMTV (@BFMTV) May 28, 2018
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Le procureur de la République de Paris François Molins a déclaré ce lundi soir sur BFM TV qu'environ "une vingtaine de détenus" pour terrorisme sortiraient de prison au terme de leur peine en 2018. Un nombre identique de détenus pour terrorisme sont libérables en 2019, a ajouté le magistrat.

"Avant 2016, on ne criminalisait pas (certains dossiers liés au terrorisme), parce qu'on n'avait peut-être pas tout à fait pris conscience du danger de Daech", précise François Molins, pour expliquer pour quelles raisons un certain nombre de mis en cause ont été jugés par un tribunal correctionnel "classique" et non par la cour d'assises spéciale pour les crimes terroristes.

François Molins explique pourquoi 40 terroristes devraient être libérés d'ici 2019 pic.twitter.com/kTROSIkiYU

— BFMTV (@BFMTV) 28 mai 2018

Mais cela a changé : "depuis les attentats, on considère que tous ceux qui ont rejoint la zone irako-syrienne pour rejoindre Daech se rendent coupables d'une "association de malfaiteurs terroristes" criminelle, ce qui les rend passibles de la cour d'assises. Avant ce n'était pas le cas, c'est pour ça qu'ils étaient jugés en correctionnelle. C'est vrai aussi que la gravité des peines qui ont été prononcées est aujourd'hui certainement plus forte, les peines sont un peu plus sévères - environ un an et demi, deux ans de plus qu'il y a trois ou quatre ans."

Libération d’individus condamnés pour terrorisme : «une vingtaine en 2018 et une vingtaine en 2019 (...) il y a un enjeu majeur (...) pour anticiper» dit #FrançoisMolins @ruthelkrief sur @BFMTV

— 19H Ruth Elkrief (@19HRuthElkrief) 28 mai 2018

"On court un risque majeur qui est celui de voir sortir de prison à l’issue de leur peine des gens qui ne seront pas du tout repentis, qui risque même d’être encore plus endurcis compte tenu de leur séjour en prison", a relevé le magistrat.

"Il faudra qu’on se parle beaucoup plus pour s’assurer qu’ils sont surveillés comme il faut, donc cela nécessite un travail de fond (entre) l’administration pénitentiaire, les services de renseignement, les préfectures, les acteurs judiciaires et le parquet", a ajouté François Molins, qui va quitter ses fonctions en novembre.

Actuellement, plus de 1 200 personnes écrouées pour des faits de droit commun sont radicalisées tandis que plus de 500 sont en prison pour terrorisme.

François Molins est également revenu sur la menace terroriste qui plane toujours sur la France : "aujourd'hui, (elle) vient de l'intérieur du pays, on a un vivier de frustrés du djihadisme irako-syrien."

https://www.ledauphine.com/france-monde/2018/05/28/une-vingtaine-de-detenus-pour-terrorisme-vont-sortir-de-prison-en-2018

 

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25b6.png▶️ "Un simple apport d'effectifs à Marseille serait insuffisant pour lutter contre le trafic de drogue"
25b6.png▶️ "Les 60 renforts annoncés sont prévus depuis des mois avec la mise en place de la PSQ, c'est largement insuffisant, il faudrait environ 300 policiers de plus pour être efficace"
25b6.png▶️ "Le trafic de drogue est un fléau national, la police ne pourra pas lutter seule"

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" Outre sa dotation budgétaire, la Mildeca dispose d'une seconde ressource financière : le produit d'un fonds de concours alimenté par la vente des biens saisis et confisqués par les tribunaux dans le cadre d'affaires de trafic de stupéfiants. "

 

 

Sauf qu'on peut lire plus bas:

 

"En application d'une décision interministérielle du 15 février 2007, les crédits du fonds de concours sont répartis, selon une clé inchangée depuis lors, entre les ministères participant à la lutte contre le trafic de stupéfiants et la Mildeca à hauteur de :

- 35 % pour la police (direction générale de la police nationale) ;

- 25 % pour la gendarmerie (direction générale de la gendarmerie nationale) ;

- 20 % pour la justice (directions de l'administration pénitentiaire, de la protection judiciaire de la jeunesse, des affaires civiles et des grâces, des services judiciaires, école nationale de la magistrature, école nationale de l'administration pénitentiaire, secrétariat général) ;

- 10 % pour les douanes (direction générale des douanes et des droits indirects).

La Mildeca conserve les 10 % restants, qu'elle consacre au financement d'actions de prévention et qui sont complétés, en fin d'exercice, par les autorisations d'engagement non engagées par leurs bénéficiaires. Ainsi, en 2017, la police nationale a perçu 5,6 millions d'euros, la gendarmerie 4 millions d'euros, le ministère de la justice 3,2 millions d'euros et les douanes 1,6 million d'euros.

Cette ressource additionnelle est en principe exclusivement consacrée au financement de matériel destiné à la lutte contre le trafic de stupéfiants, afin de renforcer les capacités opérationnelles des services concernés. Elle peut également être employée à l'amélioration de la formation des agents et au développement de la coopération internationale. Grâce à elle, en 2017, la police nationale a ainsi pu envoyer une équipe d'enquêteurs collecter des renseignements en République dominicaine, la gendarmerie financer l'achat de moyens spécifiques d'observation et de surveillance, les douanes améliorer l'équipement de leurs agents et le ministère de la justice moderniser le système des centres d'appels des permanences des parquets.

Cette année, la Mildeca a quant à elle bénéficié de 1,6 million d'euros, qui ont par exemple participé au financement d'une étude sur le repérage des conduites addictives en prison (cf. supra) ou d'une journée nationale de prévention sur les addictions en milieu professionnel. Toutefois, l'existence de ce fonds de concours ne peut à elle seule compenser la baisse de crédits qu'a subie la Mildeca depuis maintenant dix ans. 90 % de son total est concentré sur un seul des champs de la politique interministérielle de lutte contre les conduites addictives, l'application de la loi, sans être investi dans la recherche, la prévention, le soin ou la réduction des risques. Il faut plutôt reconnaître qu'il vient apporter un indispensable soutien aux services affectés par la diminution des moyens qui touche les ministères régaliens.

Par ailleurs, le pilotage et l'alimentation du fonds de concours restent perfectibles et pourraient être optimisés, alors qu'un décalage a été constaté entre l'évolution du montant des saisies et celui des confiscations. Outre le fait que l'Agrasc n'est pas le seul organisme à alimenter le fonds de concours, qui reçoit aussi des sommes versées par les Domaines et même encore, de manière résiduelle, directement par les tribunaux, les pratiques en matière de saisie et de confiscation des biens au cours des procédures judiciaires restent très hétérogènes.

Ainsi, selon les informations communiquées par la Mildeca à votre rapporteur pour avis, 20 % des juridictions ne contribuent pas au fonds de concours. Cette application à géométrie variable de la loi sur notre territoire est inacceptable, et ce d'autant plus que les actions visant le patrimoine des personnes impliquées dans des trafics de stupéfiants ont fait la preuve de leur efficacité. De plus, ce sont les services régaliens ainsi que les actions de prévention financées par la Mildeca qui pâtissent de cette situation. L'administration de la justice ne saurait varier selon le lieu où l'infraction a été commise, et votre rapporteur pour avis estime qu'une harmonisation des politiques des tribunaux dans ce domaine est indispensable. Le ministère de la justice doit sans attendre chercher à expliquer ces incohérences et les corriger.

Enfin, le travail de sensibilisation des juges sur la bonne identification des saisies doit se poursuivre. Seules celles consécutives à des infractions à la législation sur les stupéfiants sont reversées au fonds de concours de la Mildeca, les autres alimentant le budget général de l'État. Or la croissance des saisies d'avoirs criminels, qui sont centralisées par la plateforme interministérielle des avoirs criminels (Piac), est supérieure à celle du fonds de concours, ce qui laisse penser qu'une partie des saisies réalisées dans le cadre d'affaires de trafic de stupéfiants vont au budget de l'État et non au fonds de concours. Il faut donc mieux assurer la traçabilité des biens saisis afin que ce dernier remplisse pleinement le rôle pour lequel il a été conçu, c'est-à-dire apporter un complément de ressources aux services enquêteurs et aux juridictions et leur donner une incitation supplémentaire à s'investir davantage dans la lutte contre les trafics de stupéfiants."

Source: Projet de loi de finances pour 2018 : Direction de l'action du Gouvernement - Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca)

:hum:

***

Un exemple de ce que cela peut permettre:

Citation

Un cadeau apprécié! La MILDECA , mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives, a remis dernièrement une voiture neuve à la brigade de prévention de la délinquance juvénile (BPDJ) du groupement de Gendarmerie départementale d’Ille-et-Vilaine.
Le 10 avril dernier, l’adjudant-chef  Yann Legrand, commandant le BPDJ 35, a perçu un véhicule Peugeot 308 break financé par la MILDECA.
Après avoir privé les trafiquants des bénéfices de leurs trafics, la MILDECA  créée en 1982, offre la possibilité de renforcer l’action des unités engagées dans la prévention.
Début 2017, la BPDJ 35 a donc transmis une demande d’aide financière spécifique à l’acquisition d’un équipement particulier, en l’occurrence un véhicule de moyenne capacité.
Cette acquisition permettra notamment à la BPDJ du GGD 35 d’assurer ses nombreuses missions de prévention auprès des jeunes du département d’Ille-et-Vilaine au sein des établissements scolaires, collèges et lycées.

https://lessor.org/la-mission-de-lutte-contre-les-drogues-offre-une-voiture-aux-gendarmes-dile-et-vilaine/

 

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:facepalm:

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bonsoir le post....

"Ce livret n’a pas pour vocation d’exposer une vision exhaustive des problèmes de la Police Nationale, ni la prétention d’indiquer comment les résoudre. Il synthétise, à l’usage de tous et notamment des personnes peu au fait des affaires de la Police, les revendications les plus fréquentes des policiers, celles qu’ils ont à cœur et qui motivent leur mouvement depuis plusieurs mois. A l’appui des propositions faites par les collectifs policiers et notamment d’une demande d’Etats-généraux de la Police, il propose quelques pistes pour une police plus en adéquation avec les missions qui sont les siennes, plus efficace, plus sécure et plus proche des citoyens."

 

https://docs.wixstatic.com/ugd/4c1156_32ad1cbbf2d7425e8df35faf92e92e7d.pdf

.../..."une grande enquête auprès des policiers. Sans appel, le résultat de cette enquête mettait en évidence, malgré un amour du métier toujours présent, un malaise au sein de la Police (94.3%) et un mauvais climat social (81.8%). 8 Elle mettait aussi en évidence un sentiment de relations dégradées avec la population (64%) et des conditions matérielles insatisfaisantes (72.9%). Peu ravis des possibilités d’avancement qui leur sont offertes (83.6%), les policiers (hors Corps de Conception et de Direction) y affichaient une motivation en nette baisse (68.5 % pour le Corps d’Encadrement et d’Application). Plus encore, les policiers du Corps d’Encadrement et d’Application, qui constituent l’ossature principale de la Police Nationale, s’y déclaraient stressés, irritables et fatigués, et considéraient comme médiocre leur qualité de vie. Très révélatrice, cette étude n’a pourtant été que peu diffusée et n’a pas, faute de moyens, amené de suites concrètes.".../...

.../....Lancée en 2006, la Loi Organique relative aux Lois de Finance instaurait une nouvelle procédure budgétaire. Elle introduisait notamment une logique de performance budgétaire. Dans ce cadre, mise en œuvre dans la Police en 2008, et remplacée en 2012 par la MAP (Modernisation de l’Action Publique), la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) a eu pour but d’adapter les services de sécurité aux besoins de la population.../...

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.../...Mais cette prépondérance du pouvoir syndical sur les carrières, le financement nébuleux des organisations syndicales, le ressenti, justifié ou non, que ces dernières favorisaient en priorité l’avancement de leurs cadres et les divers « reclassements » de dirigeants syndicaux dans des emplois administratifs bien placés ont nourri la méfiance grandissante des policiers envers leurs syndicats. Les « facilités de service » accordées aux représentants syndicaux contribuent également à entretenir la méfiance. Une note de la Cour des Comptes du 3 février 2015 déplore que les « décharges d’activité de service » et les « autorisations spéciales d’absence » soient particulièrement mal contrôlées, et relève que plus de 600 représentants syndicaux cumulent tant des deux qu’ils ne sont jamais présents dans leur service ! Le coût de ces « facilités », chiffré à plus de 54 millions d’euros par an par la Cour des Comptes, n’est pourtant pas négligeable… Depuis le début du mouvement des policiers, les organisations syndicales clament que la plupart des revendications faites par les collègues dans la rue sont celles qu’ils défendent depuis des années. C’est déjà en soi un grand aveu d’impuissance que beaucoup de policiers, à tort ou à raison, attribuent pour partie à des compromissions syndicales vis-à-vis de l’administration..../...

il y a une heure, Tala* a dit :

 

à écouter attentivement, très attentivement...

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