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En Essonne, les policiers des BAC doivent se regrouper

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Le premier ministre Edouard Philippe présentera courant juin un nouveau plan de lutte contre le terrorisme (...).

Ce plan, piloté par Matignon et le ministère de l'Intérieur, va réunir "un ensemble de mesures et de dispositions pour renforcer la lutte contre le terrorisme", a-t-on précisé. "Il s'agit plus de dispositions de modalités que de moyens supplémentaires".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/06/04/97001-20180604FILWWW00137-nouveau-plan-de-lutte-contre-le-terrorisme-en-juin.php

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http://policehommage.blogspot.com/1991/10/catherine-choukroun-prefecture-de.html

.../..."Sur les faits, le trio alcoolisé et sous l'emprise de drogue cherchait à se procurer de l'héroïne. L'idée de tirer sur le véhicule de police serait venue par défi, après être passés une première fois devant le point de contrôle radar.".../...
 

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Le 23 février dernier, Karim Cheurfi avait été arrêté par la police judiciaire de Meaux, soupçonné de vouloir tuer des policiers. Mais il avait été relâché le lendemain à l'issue de sa garde à vue, faute d'éléments, selon des sources proches de l'enquête. Depuis mars, il était visé par une enquête antiterroriste confiée à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) mais n'était pas « fiché S », selon une de ces sources.

...

Attentat contre des policiers à Paris

Un policier a été tué et deux autres ont été grièvement blessés jeudi 20 avril lors d'une fusillade sur l'avenue des Champs-Elysées au centre de Paris.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/06/04/01016-20180604ARTFIG00235-les-maires-exigent-la-perennisation-des-cameras-pietons-pour-la-police-municipale.php

Baisse des outrages à agent

Un outil précieux «face à des individus qui ne sont pas toujours des enfants de chœur».

Cédric Michel, président du Syndicat de Défense des Policiers Municipaux.

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Ce que réfute l'Intérieur, interrogé par téléphone. Tout enregistrement fait à partir de demain et jusqu'à ce que la pérennisation soit votée par les législateurs est illégal. Le policier qui activerait sa caméra pendant cette période s'engage à des poursuites judiciaires.:D

Va comprendre, Charles!...

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"Il faut expliquer très tôt en quoi le juge, le gendarme,

le policier sont indispensables au fonctionnement de

la société et protecteurs de la liberté de chacun."

Lionel Jospin,  Premier ministre, discours, 
Villepinte, 25 octobre 1997

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RACISME :  Attitude d'hostilité de principe et de rejet envers une catégorie de personnes :titenath:

:geek: Bonne nuit le Post....

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Membre, 56ans Posté(e)
cubes2 Membre 1 146 messages
Forumeur survitaminé‚ 56ans‚
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il y a 27 minutes, Anne Atôle a dit :

 

RACISME :  Attitude d'hostilité de principe et de rejet envers une catégorie de personnes :titenath:

:geek: Bonne nuit le Post....

Ah, ch'est bon cha !!! 

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A Menton, l’accueil « indigne » des migrants par la police aux frontières

Le contrôleur général des lieux de privation de liberté a réalisé une visite inopinée au sein des locaux de la PAF. Son rapport est sévère.

C’est le premier point de passage vers la France. A Menton (Alpes-Maritimes), commune frontalière avec l’Italie, le sort que réservent les autorités aux personnes migrantes se joue au quotidien. C’est pour cette raison qu’à l’automne 2017, le contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) a réalisé une visite inopinée d’une semaine au sein des locaux de la police aux frontières (PAF).

L’autorité indépendante dresse à l’issue un constat particulièrement sévère. Dans un rapport qui doit être rendu public mardi 5 juin, le CGLPL estime que « la prise en charge quotidienne des personnes étrangères s’effectue dans des conditions indignes et irrespectueuses de leurs droits ».

Depuis le rétablissement des contrôles aux frontières intérieures, en novembre 2015, un nombre considérable de personnes s’est vu refuser l’entrée en France dans ce secteur, essentiellement des hommes seuls et des mineurs non accompagnés. Soit autour de 40 000 personnes en 2016. En 2017, le nombre de personnes interpellées était encore de plus d’une centaine par jour en moyenne. Cela représente peu ou prou près de la moitié des non-admissions sur le territoire.

Missions accomplies « à la chaîne »

« Les fonctionnaires de police accomplissent leurs missions à la chaîne », constate Adeline Hazan, la contrôleuse générale. Elle dénonce une « pression politique » : « L’objectif de réacheminement des migrants interpellés à la frontière franco-italienne par la police aux frontières s’apparente à une obligation de résultat : garantir l’étanchéité de la frontière dans le déni des règles de droit », écrit-elle.

Concrètement, les personnes sont le plus souvent contrôlées à bord des trains qui relient l’Italie à la France. Lorsqu’elles sont en situation irrégulière, elles sont conduites au poste de la PAF de Menton où, pour la plupart, elles font l’objet d’une procédure de non-admission sur le territoire français pour être renvoyées vers l’Italie dans la foulée. Le CGLPL a constaté au cours de cette procédure, qui dure à peine quelques minutes, que les policiers ne lisent ni n’expliquent aux personnes les décisions les concernant, l’échange se limitant à la prise d’informations relatives à leur âge, leur identité et leur nationalité.

« Il n’est jamais recouru à un interprétariat professionnel », observe le CGLPL. Les fichiers de non-admission sont parfois en partie préremplis, et le droit à faire avertir un proche, un consulat ou un avocat n’est pas notifié. A l’issue de ces démarches « lacunaires », les personnes sont « invitées à rejoindre l’Italie à pied, munies de leur décision de refus d’entrée », dit le CGLPL. Bien que vulnérables, les mineurs isolés ne bénéficient pas de « précautions particulières », si ce n’est qu’ils repartent plus souvent en train qu’à pied.

Locaux jonchés de détritus, sans matelas ni repas

Lors de sa mission, le CGLPL a en outre été alerté sur des situations totalement irrégulières comme lorsque des migrants sont littéralement refoulés, « invités à reprendre le train en sens inverse sans qu’aucune procédure ne soit mise en œuvre ».

Enfin, lorsque les personnes ne sont pas renvoyées aussitôt en Italie, en particulier la nuit, leurs conditions d’accueil dans les locaux de la PAF sont qualifiées d’« indignes ». Elles peuvent ainsi passer des heures dans des locaux sales, jonchés de détritus, sans matelas, couverture, ni repas. Les sanitaires sont dans un état « immonde » et aucun matériel d’hygiène ne leur est fourni.

Si Adeline Hazan s’inquiète du sort réservé aux personnes migrantes, elle déplore également les risques qui pèsent sur les policiers placés dans une situation de « tension psychologique ». Symptomatique à son sens de cette situation, le CGLPL a signalé un acte de violence pendant sa mission. Tandis que des CRS avaient interpellé trois jeunes Algériens et plaisantaient sur la prétendue minorité de l’un d’eux, le CGLPL rapporte que « le chef de poste s’est alors tourné vers le jeune en l’interpellant : tu es mineur, toi ? et l’a aussitôt giflé ».

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/06/05/a-menton-l-accueil-indigne-des-migrants-par-la-police-aux-frontieres_5309644_1653578.html

 

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Saint-Denis peine à retenir ses policiers municipaux

Slimane Rabahallah, l’adjoint à la tranquillité publique, a rendu sa délégation ce week-end. Il dénonce une « ambiance pesante » et des « conditions de travail insupportables » au sein du service.

« Management discrétionnaire », « iniquité de traitement », « conditions de travail insupportables ». Jeudi dernier à Saint-Denis, en conseil municipal, Slimane Rabahallah monte au créneau. Alors que l’assemblée est invitée à voter des heures supplémentaires pour la police municipale cet été, l’adjoint (PSG - Ecologistes) à la tranquillité publique dénonce « l’ambiance pesante » en interne : « Les agents n’en peuvent plus. Ils fuient le service. Rien n’est fait pour les fidéliser. »

A Saint-Denis, sur 55 postes de policiers municipaux, 37 seulement sont occupés. « Et on m’a annoncé le départ de trois autres personnes », fait savoir Slimane Rabahallah, alors que la ville a récemment décidé de porter à 62 son nombre d’agents. L’adjoint pointe la charge de travail et la rémunération, moins attrayante qu’ailleurs. Lors d’une réunion avec le maire (PC) Laurent Russier, ce week-end, il a choisi de rendre sa délégation… que va récupérer Laurent Russier. « Je n’ai plus les moyens de travailler sereinement », confie celui qui conserve malgré tout son statut d’adjoint.

 

Dans les rangs du conseil municipal, jeudi, sa saillie a fait l’effet d’une bombe. Au point que le conseiller municipal Philippe Caro suggère la mise en place d’une commission « pour examiner l’état du service de tranquillité publique ». « La police municipale est de moins en moins présente dans la ville, avec pour seule priorité la verbalisation du stationnement », dénonce pour sa part le PS local.

Dix-huit postes actuellement vacants

Laurent Russier confirme le sous-effectif actuel, en nuançant : « Il y a 18 postes vacants. Sept autres ont été budgétés lors du dernier conseil municipal qui ne sont évidemment pas encore pourvus ». Le maire rappelle la « très forte tension sur le métier de policier municipal ». Il explique avoir « réclamé au ministre (NDLR : de l’Intérieur) que soient ouvertes plus de places au concours ». Le maire souhaite également que puisse être proposée à sa police municipale, non-armée, la possibilité de se former au maniement des armes, ceci pour ne pas freiner les carrières. Dernier axe de travail : la rémunération et les primes. Les heures supplémentaires font partie des leviers à activer, estime-t-il.

Depuis le 1er juin, un délégué général à la tranquillité publique a été nommé à Saint-Denis pour permettre de « fidéliser et recruter » des agents, annonce le maire, selon lequel « on ne peut pas dire que le bilan en termes de sécurité n’est pas bon, même si malheureusement les faits de délinquance ne baissent pas en proportion des efforts faits par la ville ».

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/saint-denis-peine-a-retenir-ses-policiers-municipaux-04-06-2018-7752804.php

 

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
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Génial, la police est dépassée, pas assez de moyens, pas assez d'effectifs, etc ... Et que font les français ? Ils pleurnichent, c'est tout

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Posté(e)

.../...La dénonciation du comportement d’un supérieur hiérarchique entraînera une plainte en dénonciation calomnieuse auprès du Procureur qui n’est autre que le chef de la Police, hiérarchie suprême, celui qui décide de poursuivre ou non en présence d’une infraction; Il délèguera l’enquête à l’IGPN, police des polices (les « boeufs-carottes »), dont la double fonction, judiciaire et administrative (comprendre pénale et disciplinaire) enquêtera souvent à charge, sur instruction de cette même hiérarchie, afin de constituer un dossier contre l’agent maudit à qui soudain tous les maux sont reprochés. De victime l’agent devient bourreau et se découvre un passé édifiant monté de toutes pièces. Le moindre éternuement devient une faute présumée, une violation de la déontologie. Ainsi, à compter de son signalement, l’agent sera souvent poursuivi à la fois sur le plan pénal et disciplinaire. Et sa plainte? Pas le temps de l’instruire, oubliée, dans un tiroir… en même temps, il a mérité ce qui lui arrive, pourquoi avoir dénoncé son supérieur hiérarchique? Quelle idée….../...

 

https://cma-legal.com/du-devoir-dobeissance-a-lobligation-de-soumission-la-police-nationale/

"Les foules n'ont jamais eu soif de vérités. Devant les évidences qui leur déplaisent, elles se détournent, préférant déifier l'erreur, si l'erreur les séduit. Qui sait les illusionner est aisément leur maître ; qui tente de les désillusionner est toujours leur victime."

Gustave Le Bon.

Bonne nuit ici...

 

:hello:

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Il y a 12 heures, Tala* a dit :

Il est tentant de vouloir cantonner les policiers à simplement exprimer leurs besoins à « ceux qui savent » (les DSI), mais les policiers doivent aussi pouvoir faire, expérimenter, créer.

À aucun moment lors de ces examens d’accès aux grades supérieurs, mes compétences en informatique n’ont été prises en compte. Pour l’administration ma spécialité semblait n’avoir aucune valeur alors que j’avais l’impression d’apporter quelque chose en plus.

En 2009 se pose un nouveau questionnement pour passer le concours d’officier de police… J’opte finalement pour le concours d’ingénieur des SIC, que j’obtiens en 2010. Au bout du compte, j’ai dû démissionner de la Police nationale pour être titularisé en tant qu’ingénieur.

:hi:

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il y a 18 minutes, The_Dalek a dit :

Génial, la police est dépassée, pas assez de moyens, pas assez d'effectifs, etc ... Et que font les français ? Ils pleurnichent, c'est tout

ou lui crache dessus... c' est plus "défoulant'... ça ne sert plus qu '' à ça la police?....

 

pas encore... mais presque.... 

 

 

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:8):

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