L'OMS avertit sur le risque d'une pandémie mondiale

Bonjour,

L’information nous vient de Tedros ADHANOM, directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé.

Il a pris la parole il y a quelques jours lors du Sommet mondial des gouvernements à Dubaï : selon lui, l’absence de couverture sanitaire universelle est la plus grande menace pour la santé mondiale. Le chercheur rappelle par la même occasion que 3,5 milliards de personnes dans le monde n’ont toujours pas accès aux services de santé essentiels.

Devant un auditoire soudain mal à l’aise, il a déclaré que « c’est ce qui s’est passé il y a exactement 100 ans lors de l’épidémie de grippe espagnole. Une épidémie dévastatrice pourrait commencer dans n’importe quel pays et tuer des millions de personnes parce que nous ne sommes pas encore préparés ».

En raison du coût important des soins, près de 100 millions de personnes dans le monde se retrouvent dans l’extrême pauvreté. Résultat ? Les gens n’ont pas les moyens d’aller à l’hôpital, de prendre rendez-vous chez un médecin ou encore de payer un traitement, et ne sont pas soignés à la hauteur de leurs symptômes. Pour peu que leur état empire, ils meurent sans avoir été diagnostiqués. Et ainsi, « les premiers signes d’une épidémie sont manqués ».

La surveillance est l’une des formes de protection les plus vitales que les organismes de santé publique du monde puissent offrir, mais ces derniers dépendent de l’argent des gouvernements qu’ils servent. Or les gouvernements réduisent les budgets de ces programmes, sans que l’on sache si ces projets seront un jour reconduits.

Cela peut sembler un peu obtus. Mais, et comme le souligne Tedros, « nous caractérisons trop souvent la santé comme un coût à maîtriser, et non comme un investissement à nourrir ».

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Il y a 6 heures, Loargan a dit :

Bonjour,

L’information nous vient de Tedros ADHANOM, directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé.

Il a pris la parole il y a quelques jours lors du Sommet mondial des gouvernements à Dubaï : selon lui, l’absence de couverture sanitaire universelle est la plus grande menace pour la santé mondiale. Le chercheur rappelle par la même occasion que 3,5 milliards de personnes dans le monde n’ont toujours pas accès aux services de santé essentiels.

Devant un auditoire soudain mal à l’aise, il a déclaré que « c’est ce qui s’est passé il y a exactement 100 ans lors de l’épidémie de grippe espagnole. Une épidémie dévastatrice pourrait commencer dans n’importe quel pays et tuer des millions de personnes parce que nous ne sommes pas encore préparés ».

En raison du coût important des soins, près de 100 millions de personnes dans le monde se retrouvent dans l’extrême pauvreté. Résultat ? Les gens n’ont pas les moyens d’aller à l’hôpital, de prendre rendez-vous chez un médecin ou encore de payer un traitement, et ne sont pas soignés à la hauteur de leurs symptômes. Pour peu que leur état empire, ils meurent sans avoir été diagnostiqués. Et ainsi, « les premiers signes d’une épidémie sont manqués ».

La surveillance est l’une des formes de protection les plus vitales que les organismes de santé publique du monde puissent offrir, mais ces derniers dépendent de l’argent des gouvernements qu’ils servent. Or les gouvernements réduisent les budgets de ces programmes, sans que l’on sache si ces projets seront un jour reconduits.

Cela peut sembler un peu obtus. Mais, et comme le souligne Tedros, « nous caractérisons trop souvent la santé comme un coût à maîtriser, et non comme un investissement à nourrir ».

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D 'abord Une lapalissade!! (la déclaration entière)

La surveillance commence par TOUTES les pratiques PERSONNELLES!! = responsabilité! "Connais-toi toi-même"...pour pouvoir connaitre et aider ...ce qui n'est pas "soi".

Quelques 12 internes en médecine se sont suicidés ces 12 derniers mois: de futurs médecins ( une certaine élite d'une nation...) DEJA EN SOUFFRANCE!! Effroyable!

Quelle réflexion pouvons-nous tirer de cet article ? D'un côté, un petit groupe de nantis profitant d'une récréation éternelle, d'un autre côté une population nombreuse et pauvre constituant un terrain propice à l'apparition d'une pandémie dévastatrice faute de moyens consacrés à la santé. La logique voudrait que les nantis le soient un peu moins, ce qui ne les empêcherait pas d'être heureux, aux fins d'une répartition des richesses plus équitables et permettant de veiller à la santé de tous les individus. Mais bien entendu, c'est quand la pandémie éclatera et qu'on sera tous pris de court qu'on regrettera de ne l'avoir pas fait.

Il y a 2 heures, Loargan a dit :

Quelle réflexion pouvons-nous tirer de cet article ? D'un côté, un petit groupe de nantis profitant d'une récréation éternelle, d'un autre côté une population nombreuse et pauvre constituant un terrain propice à l'apparition d'une pandémie dévastatrice faute de moyens consacrés à la santé. La logique voudrait que les nantis le soient un peu moins, ce qui ne les empêcherait pas d'être heureux, aux fins d'une répartition des richesses plus équitables et permettant de veiller à la santé de tous les individus. Mais bien entendu, c'est quand la pandémie éclatera et qu'on sera tous pris de court qu'on regrettera de ne l'avoir pas fait.

Tout à fait . c'est pourquoi , entre les 2 extrêmes, les plus réfléchis, les plus"sachants"/tes devraient déjà surveiller toutes leurs pratiques persos dans de multiples domaines.

+ si "la population pauvre constitue le terrain propice..." la pandémie annoncée n'épargnera pas forcément le petit groupe de "nantis" et sera donc, le retour de bâton...vengeur.

+ les problèmes de santé en tout genre n'épargnent pas la catégorie des "nantis": les défenses immunitaires ne sont pas proportionnelles au porte-monnaie.

Une preuve avec les allergies: les enfants élevés "à la ferme" au milieu de "germes" en tout genre présenteraient (selon études) bien moins (voire  pas du tout) d'allergies que des enfants élevés dans des milieux que les parents aseptisent à longueur de journée. 

Maladie X : L’épidémie, encore virtuelle, permet à l’OMS de se préparer au pire. Article