On veut toutes un vernis qui se pose mieux, qui sèche plus vite, qui brille plus, tient plus longtemps… Tout ça avec de belles couleurs vives qui ne virent pas. C’est possible mais il faut des résines, des solvants, des plastifiants, des agents filmogènes, des colorants, des conservateurs. Bref, une petite usine pétrochimique au bout des doigts. Autant de composants conformes à la réglementation européenne mais de plus en plus controversés. Pour répondre aux inquiétudes et à la demande croissante (notamment des femmes enceintes, allergiques…), certaines marques ont commencé à chercher des alternatives et à «nettoyer» leurs formules. L’offre des vernis écolos, exempts d’ingrédients suspects, explose et ils n’ont - presque - plus rien à envier aux produits classiques. Plus sains, plus performants mais jusqu’où ?

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