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cheminent au long des vagues pourpres sous des cieux où couve le mystère.


Ai ton nu dieu

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Membre, 51ans Posté(e)
Ai ton nu dieu Membre 158 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
Posté(e)

Mères des rêves. 

Scri Aurobindo

Déesse suprême, Mère du Rêve, quand tu te tiens à tes portes d'ivoire,
quels sont donc ceux qui en bas vont vers les hommes dans tes visions qui s'attroupent, groupe sur groupe, en descendant la pente de la voie des ombres?
Rêve après rêve, ils s'illuminent en éclair ayant encore autour d'eux la flamme des étoiles;
des fantômes à ton côté flottent dans une obscurité où dansent les feux follets,
scintillent et clignent les étoiles et le météore errant étincelle;
il y a des voix qui crient à leurs proches qui répliquent; voix douces, au cœur elles frappent et ravissent l'âme à l'écoute.

Que sont alors ces contrées et ces plages dorées et ces mers plus radieuses que ne peut imaginer la terre ?
Quels sont ceux qui cheminent au long des vagues pourpres courant vers la grève bordée de falaises de ton rivage de jaspe sous des cieux où couve le mystère.

Cheminer au long des vagues pourpres: est ce qu'on peut remplacer cheminer par se déplacer

couver le mystère que signifie cette expression dans cet extrait de poème.

J'ai cherché dans le dictionnaire Larousse mais les sens ne collent pas du tout avec ce poème.

Merci pour votre aide.

 

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 133 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Oui, se déplacer ou avancer sans hâte. Se qui couve n'est pas visible. La poule qui couve cache ses œufs. La grippe qui couve n'est pas encore déclarée.

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