La mythologie revisitée

A cette époque le roi de Chypre était Pygmalion. Horrifié par le comportement des propo.. des jeunes filles, il se jura que jamais il ne prendrait d’épouse, que les femmes ne savaient pas se tenir, toutes pourrites jusqu’à la moelle du trognon toutes autant qu’elles sont, vicieuses, débauchées, beuaark !

Pygmalion donc, trouva son réconfort dans l’art (Freud dirait qu’il sublime). Il se débrouillait bien en sculpture, et dans un bloc d’ivoire, tailla une jeune femme divine de splendeur, tellement parfaite qu’on aurait pu la prendre pour une vraie femme. Et voilà notre Pygmalion, militant contre l’immoralité des femmes, qui devient… fétichiste ! Il tombe amoureux de la statue, raide fou d’elle. Il lui offre des bijoux, des fringues, lui compose des poèmes, l’embrasse, la couche même dans son lit !

Evidemment ça pose des problèmes pratiques hein.. La sublime jeune femme reste de marbre (ha ha) et Pygmalion désespère sans fin…

Nous sommes à Chypre. Et régulièrement de grandes fêtes sont données en l’honneur d’Aphrodite. Ca tombe bien, il y en a justement une, et Pygmalion s’y rend pour demander une faveur à la déesse. Il récite des prières, offre de l’encens, et bafouille son vœu : « Ô Aphrodite, la plus délicieuse de toutes les déesses, exauce ma prière. Je voudrais me marier. Mais je … euh.. Je voudrais que ma femme ressemble à ma statue.. »

Aphrodite n’est pas stupide (quoi que..) elle a bien compris. Lorsque Pygmalion rentre chez lui et s’allonge dans son lit à côté de sa statue, il se retourne comme d’habitude et se met à la peloter (P ! de pervers quand même hein). C’est alors qu’il sent de la chair et une douce chaleur sous ses doigts. La jeune femme s’éveille, Pygmalion en est tout chamboulé. C’est romantiiiiiique !  Nan mais bon, ils vont quand même faire ce qu’ils ont à faire hein (c’est moins romantique). Et neuf mois plus tard, Pygmalion est l’heureux papa d’une petite Paphos (qui donnera son nom à une ville de Chypre).

Il y a 11 heures, January a dit :

A cette époque le roi de Chypre était Pygmalion. Horrifié par le comportement des propo.. des jeunes filles, il se jura que jamais il ne prendrait d’épouse, que les femmes ne savaient pas se tenir, toutes pourrites jusqu’à la moelle du trognon toutes autant qu’elles sont, vicieuses, débauchées, beuaark !

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Pygmalion donc, trouva son réconfort dans l’art (Freud dirait qu’il sublime). Il se débrouillait bien en sculpture, et dans un bloc d’ivoire, tailla une jeune femme divine de splendeur, tellement parfaite qu’on aurait pu la prendre pour une vraie femme. Et voilà notre Pygmalion, militant contre l’immoralité des femmes, qui devient… fétichiste ! Il tombe amoureux de la statue, raide fou d’elle. Il lui offre des bijoux, des fringues, lui compose des poèmes, l’embrasse, la couche même dans son lit !

Evidemment ça pose des problèmes pratiques hein.. La sublime jeune femme reste de marbre (ha ha) et Pygmalion désespère sans fin…

Nous sommes à Chypre. Et régulièrement de grandes fêtes sont données en l’honneur d’Aphrodite. Ca tombe bien, il y en a justement une, et Pygmalion s’y rend pour demander une faveur à la déesse. Il récite des prières, offre de l’encens, et bafouille son vœu : « Ô Aphrodite, la plus délicieuse de toutes les déesses, exauce ma prière. Je voudrais me marier. Mais je … euh.. Je voudrais que ma femme ressemble à ma statue.. »

Aphrodite n’est pas stupide (quoi que..) elle a bien compris. Lorsque Pygmalion rentre chez lui et s’allonge dans son lit à côté de sa statue, il se retourne comme d’habitude et se met à la peloter (P ! de pervers quand même hein). C’est alors qu’il sent de la chair et une douce chaleur sous ses doigts. La jeune femme s’éveille, Pygmalion en est tout chamboulé. C’est romantiiiiiique !  Nan mais bon, ils vont quand même faire ce qu’ils ont à faire hein (c’est moins romantique). Et neuf mois plus tard, Pygmalion est l’heureux papa d’une petite Paphos (qui donnera son nom à une ville de Chypre).

Ils devaient être balézes les éléphants à cette époque. Ou alors elle devait être très très mince sa statue...

Paphos va donner naissance à Cyniras, un pov’ gars qui va en voir de toutes les couleurs dans la vie. Cyniras, installé en Lydie, était un super bricoleur plein d’astuces qu’à côté Valérie Damidot c’est du pipi d’chat. Cyniras donc, un manuel, qui avait le statut de roi, comme quoi l’ascenseur social ça existe.

Sa femme, Cenchréis lui avait donné quatre filles, dont Myrrha, que sa mère adulait pour sa beauté : « Franchement ma fille est vraiment très belle, bien plus belle qu’Aphrodite qui ne vaut pas un pet d’lapin à côté d’elle. » Cenchréis pas très maline donc, qui a perdu une belle occasion de se taire. Aphrodite à l’ouïe fine entend son propos et évidemment elle va manquer de mansuétude pour le coup. Elle décide de se venger sur toute la famille.

Là-dessus les trois autres filles de Cenchréis clament haut et fort qu’elles valent bien mieux qu’Héra elle-même ! Alors là ça rigole pas, paf ! Transformées en bloc de marbre les trois frangines, non mais !

Du coup il ne reste que Myrrha sur laquelle Aphrodite peut se venger. Elle la condamne à devenir folle amoureuse…de son père.

Myrrha de ce jour ne fit que suivre des yeux son père partout avec un regard de merlan frit en louant ses innombrables qualités. Elle finit quand même par se poser des questions sur sa santé mentale. Après avoir étudié la psychogénéalogie elle se rendit compte définitivement qu’elle n’était qu’une perverse cinglée, à l’image de son grand-père Pygmalion. Elle décida de se pendre. Au moment où elle nouait un drap autour de son cou, sa nourrice parut, trancha le drap et interdit à la p’tiote de recommencer un truc pareil "Non mais ça va pas non ??".

Myrrha est en pleurs, la gentille nounou la questionne mais la jeune fille ne veut pas parler. Alors la nounou menace d’aller raconter l’épisode à son père. Là, Myrrha renifle jusqu’au grenier et hoquette : « Nooon ! J’avoue tout ! Je voudrais la place de ma mère… » Oh funérailles ! pense la nounou… Le dilemme : soit la p’tiote va succomber à ses penchants suicidaires, soit elle va commettre l’inceste, horreur, malheur. Par une très bizarre conception de la morale, la nounou va choisir la deuxième solution et va décider d’aider Myrrha à commettre son forfait…

La nourrice attend que Cyniras, le père de Myrrha (des fois que vous soyez perdus) soit un peu bourré, et va lui susurrer à l’oreille : « Sais-tu mon roi qu’une jeune beauté te kiffe à mort ? » Le roi est intéressé, évidemment (cte famille de fous) « Elle est jolie au moins ?

- Oh oui vot’altesse, elle est belle comme un cœur et la cuisse ferme, comme vot’ fille Myrrha, aussi resplendissante. D’ailleurs elle a le même âge. Et pis d’ailleurs elle lui ressemble. »

Le roi devait se taper un Lolita Complex pour vouloir se faire une jeune de l’âge de sa fille mais bref, c’est entendu, pendant les fêtes de Déméter (où les épouses font vœu d’abstinence pendant neuf jours), le roi fera chambre à part et c’est là que la servante lui amènera la jeune fille.

Le jour dit (euh… la nuit en fait), minuit sonne. Myrrha s’avance dans le noir jusqu’à la chambre de son père. Bien cachée dans le noir, elle consommera l’inceste avec son père pendant huit nuits. Le roi est comblé mais à un moment, il devient curieux. Et la neuvième nuit, afin de voir enfin le visage de son amante, il se fait amener une torche, avise la jeune fille endormie dans son lit, et là..

« Biiiiip de Biiip de Biiiip !!!  Qu’est ce que ?! Raaaa ! » Il dégaine son épée direct (pour moi il était à poil mais bon…) et il veut trucider sa fille sur le champ. Myrrha réussit à s’enfuir, elle sort du palais à moitié à poil et commence à errer (oui on erre beaucoup dans la mythologie).

Myrrha erre, donc. Et son ventre s’arrondit. Epuisée, elle arrive un jour sur la terre de Saba. Elle s’allonge, veut mourir. C’est alors que les dieux interviennent, prennent pitié (enfin… bon) et la transforment en arbre à Myrrhe (bah, oui, vous z’aviez pas compris l’coup ?)

Cinyras lui, se suicide selon une des versions, mais comme c’est pas drôle, on va dire qu’il fonde une ville du nom de Smyrne (oui selon les versions, Myrrha devient Smyrna), en souvenir de sa fille. Complètement écoeuré après toute cette histoire, il quitte la Lydie (qui est la Turquie d’aujourd’hui au cas où j’vous l’aurais pas dit) pour retourner à Chypre, où il monte sur le trône à la suite de Pygmalion. Il va élever un temple en l’honneur d’Aphrodite et faire prospérer l’île comme jamais. Du coup, Aphrodite lui permet une longévité exceptionnelle, 160 ans il paraît…

Il ne vous a pas échappé que Myrrha était enceinte hein ? Je vous signale que la métamorphose en arbre n’est pas une méthode d’avortement, non non. Le bébé grandit et l’écorce de l’arbre se gonfle… C’est alors que passe dans l’coin un sanglier débile qui galope droit devant lui (probablement mandaté par Ilithyie déesse des accouchements). Donc, il galope et PAF ! Chhhhiiirriiiss ! OUIIIN !!

Pour ceux qui n’auraient pas compris le cochon débile fonce dans l’arbre : choc des deux corps (paf), l'un en mouvement, l'autre immobile dans le référentiel terrestre. L'écorce de l'arbre éclate (Chhhiiriiiiss) et en sort un nouveau né (ouiiin).

Hey ce bébé c’est pas n’importe qui hein… Vous savez qui c’est ? Si vous savez pas tant pis pour vous. Naaan j’rigole, j’vais vous diiire.

Bon, le nouveau-né est donc là, à couiner au pied de l’arbre, quand Aphrodite passe dans l’coin (les concours de circonstances ah lala dans la mythologie c’est fou hein ??). Aphrodite réfléchit, ok elle a maudit la mère, mais le mouflet est tellement beau, vraiment parfait, elle se dit qu’elle pourrait le récupérer… Seulement la déesse c’est pas trop son truc les gamins, elle préfère draguer tout ce qui bouge et avec son planning elle a pas l’temps de s’occuper du p’tiot. Alors elle cherche une nounou. Il lui faut quelqu’un de confiance, qui éduque le marmot correctement, pas une de ces mères laxistes qui fabriquent des enfants rois qui se roulent parterre dans les magasins tout ça tout ça.

Aphrodite choisit Perséphone. Mouais, avec la déesse des enfers euh.. on doit pas rigoler tous les jours, et avec Hadès encore moins.. Perséphone accueille donc le bébé, et il est décidé qu’Aphrodite récupérera le gamin quand il sera grand.

Il grandit et devint un magnifique éphèbe blond, du genre à tomber parterre… Bah c’est…Adonis, quand même.

Adonis est donc grand, beau et fort et blond, il aime chasser (c’est une manie !) et batifoler avec ses copines les nymphes, ou encore garder les moutons. C’est alors qu’Aphrodite revient réclamer son dû à Perséphone. Seulement voilà, la nounou ne l’entend pas de cette oreille : « Il est à moi, espèce de biiip ! C’est moi qui l’ai élevé c’gamin. »

Et voilà tout ce beau monde qui se retrouve devant le juge aux affaires familiales, j’ai nommé Zeus. Zeus invoque à nouveau la garde alternée (décidément c’est d’famille !).

Adonis sera confié à Aphrodite pendant quatre mois, au printemps en gros, et l'hiver il ira  chez Perséphone, le reste de l'année il va où il veut. Affaire réglée.

Je rappelle que le jeune homme était trèèès beau et évidemment Aphrodite en était follement éprise. Du coup Adonis reste chez Aphrodite pendant le reste de l’année (l’été, l’automne, bref) et ils font de jolis colliers de perles (n'importe quoi !).

Mais on l’a dit : Adonis aimait chasser. Aphrodite lui avait pourtant dit et répéter qu’on ne fait pas de mal aux petits z'animaux qui nous z’ont rien fait. Rien à faire, Adonis folâtrait dans sa tunique transparente qui laissait montrer ses tablettes, par ci par là un bout de fesse bien musclée, des pectoraux d’enfer (il a pas été élevé par n’importe qui), des cuisses et des mollets de cycliste..Quoi ?? Rooo j’me tape un fantasme j’ai bien l’droit non ?? Là devant Aphrodite qui n’en peut plus l’accompagne quand même à la chasse (histoire de l’avoir à l’œil) et ils folâtrent donc tous les deux sous les frondaisons bucoliques avant de…. De.. sur des lits de mousse moelleuse et odorante.

Aphrodite avait son bel éphèbe à l’œil alors qu’elle avait d’autres amants (la biip!). Et parmi eux, Arès, le dieu de la guerre, qui n’appréciait pas mais alors pas du tout qu’un vil mortel vienne lui soulever sa gonzesse. Et un jour qu’Adonis trucidait deux-trois bestioles tout seul dans les bois, Arès lui envoya Razorback (c’est d’famille aussi ça !) qui embrocha le bellâtre. Adonis s’écroule, mourant. Aphrodite rapplique et pleure sur son amant qui pisse le sang. De chaque goutte de sang tombée au sol naît une fleur (c’est beau hein ?).

A la fin Aphrodite transforme Adonis en anémone, institue des fêtes en l’honneur de son amour, fêtes où les gens font pousser des fleurs qui meurent très vite.

Le méchant Arès sera puni mais on verra ça plus tard.

Pour l’instant, partons en Thessalie. Vous savez pas non plus où c’est ?? Rooo, faut tout vous dire alors ! La Thessalie c’est la région nord de la Grèce, juste en dessous de la Macédoine et de la Thrace. Là bas règne Eolos, ses sujets sont les Eoliens (on s’en serait pas douté !). Allez, on y va.

Et les Éoliennes sont utiles de nos jours, même si ça gâche le paysage 

Eolos est marié avec Enarété, ils ont plein d’enfants. Pfff… Vous voulez vraiment les noms ? Bon d’accord…  Alors, dans le désordre, les mâles : Créthée, Sisyphe, Athamas, Salmonée, Déioné, Magnétès, Macarée et Périérès. Les femelles : Canacé, Alcyoné, Pisidicé, Calicé et Périmède.

En gros, disons que Alcyoné s'est mariée avec un certain Céyx, Salmonée a la grosse tête, Canacé est une perverse, Sisyphe, devient roi de Corinthe, Magnétés donne son nom à la Magnésie, région de Thessalie (encore un mégalo), Périmède fricote avec le fleuve Achélooos et lui donne deux fils, Hippodamas et Oreste. Pisidicé fait pareil avec Myrmidon et naissent Antiphos et Actor.

C’est bon pour la généalogie, on peut y aller pour les aventures de cette famille. Et on commence avec l’aîné des fils, Salmoneus. Salmoneus qui comment dire…avait de très grosses chevilles. Au début il est roi de Thessalie, mais il se barre en Elide, plus au sud, où il fonde une ville qui s’appelle Salmonia. Il se marie avec Alcidicé et nait une fille, Tyro (on en reparlera plus tard). Alcidicé meurt et Salmoneus se remarie avec Sidéro (c’est délirant ces noms hein ?).

Salmoneus est puissant, autoritaire et mégalo. Il règne sur son peuple à grand coup de pieds au culte de la personnalité. On ne sait pas ce qui lui passe par la tête un beau jour, mais il se met à clamer qu’il est le plus beau, le plus fort, et plus puissant que Zeus (oh p..). Le roi en carton du trou paumé débloque tellement qu’il finit par clamer que Zeus, c’est lui (va avoir des problèmes machin..).

Salmoneus veut prouver à son peuple qu’il est bien Zeus. Il se construit un char pas possible, pompons, tambourins, flèches et chaudrons de bronze. Torches enflammées en main il se trimballe dans les rues de la cité en criant : « Regardez môaaa ! Je lance l’éclair ! » (le dingo..)

Et il balance les torches en l’air, quitte à faire cramer quelques habitants, laissant les autres médusés et qui commencent à flipper grave… Ils ont bien vu qu’ils avaient affaire à un branquignole pas dieu pour deux ronds, et craignent la vengeance de Zeus. Ils ont bien raison…

Encore un illuminé! 

Salmoneus continue de parader en faisant gronder les chaudrons de son char et criant qu’il déclenche le tonnerre. Ah oui il en tient une couche machin, mais c’est pas finiii ! Comme il est Zeus et l’a prouvé, il exige que les sacrifices lui soient fait, à luiiii ! Et il force les prêtres à ignorer Zeus pour l’honorer, lui.

Alors jusque là Zeus n’avait pas réagi, jouer avec un char et des torches, ok. Mais lui piquer ses offrandes ?! Ah non merde alors là c’est trop. Il arme son bras de la foudre et la balance sur Salmoneus, et tant qu’à faire, la ville entière et tous ses habitants (mais z’avaient rien fait ceux-là… C’est trop injuste…).

La reine Sidéro et la princesse Tyro réussissent à se carapater vite fait chez Créthée…

Et Jupiter alors !

il y a 5 minutes, holdman a dit :

Et Jupiter alors !

C’est romain et on est en Grèce là! 

Si t'as le dos bloqué insulte Zeus,tu verras ça fout droit.

Proverbe thessalien.

Tyro est donc élevée par son oncle Créthée. Dans certaines versions c’est sa femme mais bon, j’ai trouvé ça beurk. Sidéro est la belle-mère de Tyro, et en belle-mère qui se respecte, elle fait une vie d’enfer à sa belle-fille.

Sidéro : TYROOO ! Apporte moi tout de suite un thé pomme-canelle avec des biscuits au caramel et du pop corn ! Tout d’suite !

Tyro : Oui madame.

Sidéro : Et après t’iras nettoyer la salle de bal avec une brosse à dents.

Tyro : C’est que… c’est vraiment sale..

Sidéro : DE QUOI ?? Tu oses te plaindre ? Puisque c’est comme ça tu n’auras qu’un cure-dent. Et mon thé ? CA VIENT ?? »

Enfin voilà c’était comme ça toute la journée, Tyro en fait est la Cendrillon de la mythologie.