Aller au contenu

Georges Soros : une ingérence mondiale


Invité Barbara lebol

Messages recommandés

Annonces
Maintenant
  • Réponses 45
  • Créé
  • Dernière réponse
Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Le ‎11‎/‎07‎/‎2017 à 18:45, Foraveur a dit :

L'objectif des riches ..(quand je dis "riche" je veux pas dire 10x un smic Français hein...les vrais riches ceux dont la fortune dépasse le milliard d'euros)......est de gouverner le monde et le modeler a leur convenance...par l'argent, la technologie, la santé..etc...

Certains sont plus riches que les états.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

https://www.marianne.net/monde/l-italie-enquete-sur-des-ong-specialisees-dans-le-sauvetage-de-migrants

Par Ariel Dumont, correspondante en Italie
Depuis quelques semaines, les parquets siciliens de Catane, Palerme et Trapani enquêtent sur plusieurs ONG qui ont affrété des unités navales pour sauver les migrants traversant la Méditerranée. La question de leur financement, et d'un éventuel trafic de migrants, est posée.

Dans un rapport présenté la semaine passée au Parlement, le procureur du parquet de Catane s’interroge sur le rôle des ONG qui patrouillent en mer à quelques kilomètres des côtes libyennes depuis septembre 2016. « Nous avons enregistré une véritable prolifération des unités navales positionnées par les ONG qui se chargent désormais d’accompagner les bateaux des migrants en Italie », rapporte le juge Carmelo Zuccaro dans son dossier. Cette prolifération concerne la flotte composée de 13 navires et de 2 drones affrétés par ces ONG pour sauver les migrants. Selon les estimations des parquets siciliens, les ONG ont effectué 50% des sauvetages depuis le début de l’année, ce qui représente 20.674 personnes. En pourcentage, cela se traduit par une augmentation de 42,6% du nombre de sauvetages par rapport au premier trimestre 2016.

Financement opaque

Des intentions louables dans la pratique, estiment les parquets siciliens qui s’interrogent toutefois sur les véritables intentions de ces ONG dont les navires portent souvent les couleurs de pavillons de complaisance. Et surtout, sur la nature de leurs financements qualifiés d’opaques. Le parquet de Catane se pose notamment beaucoup de questions sur cinq organisations humanitaires allemandes ayant affrété six navires, dont deux pour le compte de SOS Méditerranée. Cette liste inclut l’ONG Moas dont le siège se trouve à Malte et qui dépense en moyenne un million d'euros par mois pour l’affrètement de deux navires et de deux drones qui portent les couleurs de Belize (Amérique centrale) et des Iles Marshall, un magnifique pavillon de complaisance. En fait, ce rapport estime en filigrane que ces organisations humanitaires pourraient être financées par des personnes souhaitant alimenter les flux migratoires. « Nous nous interrogeons sur l’évolution du phénomène des ONG et leur prolifération et sur comment ces organisations peuvent supporter des coûts généraux aussi importants sans prévoir un retour quelconque en termes financiers, c'est-à-dire la réalisation de profits » déclare le procureur Zuccaro.

Trafic de migrants

Le Parlement italien a donc décidé d’ouvrir une enquête. Elle sera menée en premier lieu par l'amiral Enrico Credendido responsable de la mission Eunavformed, l'opération mise en place en mai 2015 par l'Union européenne pour sécuriser et défendre la Méditerranée contre le trafic de migrants et dont l'état-major se trouve à Rome. Puis, le responsable de Frontex, l'agence européenne de gardes-côtes et de gardes-frontières. Enfin, le commandement général de la Capitainerie italienne de ports. L'idée est de convoquer les ONG dont les embarcations sont engagées en Méditerranée. Reste à voir si elles accepteront de collaborer avec la commission d'enquête parlementaire italienne.

Du coté de la classe politique, toutes tendances confondues, l'idée de cette enquête plait. Pour le gouvernement d'unité nationale, les résultats pourraient éventuellement permettre à Rome de demander des renforts à Bruxelles en matière de patrouilles. Donc de tenter de freiner les vagues migratoires. Des renforts d'autant plus nécessaires qu'avec l'arrivée des beaux jours, des débarquements massifs sont prévus. A droite, cette enquête est utile en termes purement politiques, des partis comme la Ligue du nord réclamant de plus en plus fort la mise en place d'un cordon de sécurité pour décourager les candidats au rêve européen. Et en rebond, de critiquer un peu plus la politique d'accueil allemande en raison des questions soulevées par les parquets siciliens sur le véritable rôle des ONG allemandes.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)

Le "Juventa", un chalutier d'une ONG allemande a fait l'objet d'une saisie préventive sur la décision du magistrat italien M. Ambrogio Cartosio. La justice possède une preuve de la connivence entre passeurs et ONG

http://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/migrants-l-italie-excedee-saisit-195627

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Oui, on voit bien que les embarcations sont précaires souvent et donc que les passeurs communiquent avec des filières, soit les ONG, soit les mafieux pour les récupérer, ils sont dans l'illégalité.

Mais ce sont des Lobbies très puissants!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

http://www.la-croix.com/Monde/Europe/Bientot-flotte-italienne-contre-trafic-migrants-Libye-2017-08-02-1200867295?utm_term=739872&from_univers=lacroix

 

Le parlement italien a approuvé, mercredi 2 août, le lancement d’une mission navale dans les eaux territoriales en Libye, répondant à l’appel à l’aide des gardes-côtes du pays pour lutter contre les passeurs.

Les gardes-côtes lybiens pourraient bénéficier du soutien des forces navales italiennes. / TAHA JAWASHI/AFP

Principale porte d’entrée des migrants vers l’Union européenne, l’Italie s’apprête à envoyer plusieurs unités navales, « un navire logistique » et un « patrouilleur », dans les eaux territoriales en Libye. Le Parlement italien a, en effet, approuvé, le mercredi 2 août, le lancement d’une mission visant à apporter un soutien technique aux garde-côtes du pays, dépassés dans la lutte contre les trafiquants d’être humains, et réduire le flux de migrants sur les côtes libyennes.

À Lire : « Ce sont les passeurs qui font les politiques migratoires de l’Union européenne »

Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, les passeurs profitent de l’instabilité sur le territoire pour faire prospérer leur activité, visant à envoyer des dizaines de milliers de migrants vers l’Italie contre d’importantes sommes d’argent.

« Un climat de confiance absolue » entre les deux pays

Le ministre aux affaires étrangères, Angelino Alfano, a indiqué que cette mission visait à répondre à la « demande de soutien et d’aide aux gardes-côtes libyens » et non de mettre en place un « blocus naval », ce qui serait considéré comme un « acte hostile ».

« La demande d’appui naval libyenne naît dans un climat de confiance absolue réciproque, non improvisé, qui vient de loin, dans le cadre duquel l’Italie a toujours agi dans le respect de la souveraineté libyenne », a notamment souligné Angelino Alfano, précisant que la zone d’action sera définie conjointement par les deux pays et que les militaires italiens pourront répondre par la force de façon « limitée » en cas d’attaque.

Un « code de bonne conduite » sur les opérations de sauvetage

Le chef du gouvernement italien Paolo Gentiloni avait dévoilé la semaine précédente ce projet à l’issue d’une rencontre à Rome avec son homologue de Tripoli, Fayez al-Sarraj. Après cette rencontre, le chef du gouvernement d’entente nationale (GNA), reconnu par la communauté internationale mais dont l’autorité est contestée en dehors de Tripoli, avait dû préciser que « la souveraineté nationale libyenne » n’était pas remise en cause par ce soutien naval.

À Lire : Sauvetage en mer, le dilemme des ONG

Le lancement de cette mission fait suite au « code de conduite » finalisée, le 31 juillet, par le gouvernement pour encadrer plus strictement les opérations de sauvetage réalisées près des côtes libyennes par les navires de secouristes internationaux. Un bateau de l’ONG allemande Jugend Rettet, soupçonné d’avoir facilité l’immigration illégale, a, par ailleurs, été « préventivement » placé sous séquestre, a annoncé la police italienne dans un communiqué, mercredi 2 août.

La Croix (avec AFP)
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×