Illustration araignée.
 
 

Si leurs morsures peuvent parfois avoir des conséquences graves, les araignées pourraient aussi contribuer à nous soigner. Des chercheurs australiens viennent de découvrir que le venin d’un de ces arachnides pouvait aussi protéger le cerveau après un accident vasculaire cérébral (AVC).

Une première qui fait l’objet d’une étude publiée ce lundi dans les Comptes rendus de l’académie américaine des sciences (PNAS). A l’origine de cette protection, une petite protéine provenant du venin, baptisée « Hi1a » et capable de bloquer le mécanisme responsable des dommages chez les patients.

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