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Les chenilles


January

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Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
il y a 14 minutes, January a dit :

Des lépidopterroristes maintenant !

:smile2:

O*! ça me rappelle un film qui m'a 'achement marquée : "Phénomènes" :snif:

 

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Animatrice, Fille infréquentable, 82ans Posté(e)
Kira Animatrice 27 648 messages
82ans‚ Fille infréquentable,
Posté(e)
Il y a 15 heures, ping a dit :

Il parait qu'elles n'aiment pas le bouleau. Peut-être en mettant des offres d'emploi devant chez toi ça les fera fuir? :p

:smile2: 

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Membre, 54ans Posté(e)
Foraveur Membre 6 426 messages
Baby Forumeur‚ 54ans‚
Posté(e)

Il y en a dans mon jardin aussi....

 

IMG-20150622-WA0000.jpg

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 60 092 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Synchlora, la chenille Homar

c5.jpeg

Venimeuse. 

Homar m'a tué :D

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 60 092 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Mais c'est pas moi, chenille était pas, chenille ai rien vu, j'étais pas là.

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Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
il y a une heure, January a dit :

Mais c'est pas moi, chenille était pas, chenille ai rien vu, j'étais pas là.

C'est un doute qui me chenille au corps ! 

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 60 092 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Megalopyge Opercularis

c1.jpeg

C'est la chenille du cousin machin :D

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 60 092 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Bon, votre attention s'il vous plaît. 

Les chenilles grandissent à une vitesse impressionnante et se nourrissent de façon compulsive. La chenille est boulimique :sleep: C’est d’ailleurs de là que vient leur surnom « machines à manger ». Ainsi, une larve de Manduca sexta,

1280px-Manduca_sexta_Tobacco_Hornworm.JP

 

également appelée sphinx du tabac,

Description de cette image, également commentée ci-après

 

atteindra un poids 10 000 fois plus élevé en une vingtaine de jours seulement ! Enfin, sachez que les chenilles, en dépit de leur petite taille, sont des athlètes aux muscles sur-développés : 4000 muscles réunis sur l’ensemble de leur corps alors que l’homme n’en compte que 629 au total.

Balèze la chenille.

 

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Il s'en passait de belles sous la capote de la chenille... 11091512335557258744842.jpg

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 60 092 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Ouais, ça c'est vrai ! :smile2:

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Animatrice, Fille infréquentable, 82ans Posté(e)
Kira Animatrice 27 648 messages
82ans‚ Fille infréquentable,
Posté(e)

:smile2:

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 60 092 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

La capote de la chenille :sleep:

Résultat de recherche d'images pour "mue de chenille"

 

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Si un jour tu es coincé dans une procession de chenilles et que tu t'impatientes, arrange toi pour être derrière la chenille qui s'appelle Sheila.

Sheila chenille qui redemarre...:crazy:

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Il était une fois un petit garçon, qui recevait toujours pour goûter une brioche et du chocolat, et qui s’en allait aussitôt les manger dans le jardin. 

Dès qu’il s’installait sur le banc, à côté du potager où s’alignaient les carottes, les salades et les choux, une petite chenille verte glissait vers lui et venait manger les miettes de brioche, que l’enfant répandait pour elle, tant il aimait la regarder grignoter et faire onduler son long corps soyeux. 

Quand d’aventure elle ne paraissait pas, doucement il chantonnait:

Chenille, Petite Chenille,
La table est servie,
Brioche et chocolat,
N’attendent plus que toi! 

Et la petite chenille sortait alors du chou, dans lequel elle habitait, et rejoignait le petit garçon, pour partager son goûter. 

Or, un après-midi qu’il était à l’école, sa maman alla chercher un chou dans le potager, et elle prit justement celui dans lequel la petite chenille avait sa maison. Avec un grand couteau, elle commença à détacher les feuilles, une à une, et se mit à les laver sous l’eau tiède. 

La petite chenille, terrifiée, se cramponna de toutes ses forces à la sienne, mais un tel torrent d’eau se déversa soudain sur elle, qu’elle lâcha prise et tomba au fond de l’évier, où elle tourbillonna, avant d’être engloutie dans la canalisation. 

Le petit garçon, quand il revint de l’école, emporta comme d’habitude son goûter au jardin, et se mit à chantonner:

Chenille, Petite Chenille,
La table est servie,
Brioche et chocolat,
N’attendent plus que toi! 

Mais il eut beau reprendre et reprendre la chanson, la chenille resta invisible. Fouillant des yeux le jardin, il se mit à chercher le chou dans lequel habitait son amie, mais il ne trouva rien. Le chou avait disparu, il n’en restait que quelques feuilles jaunies, et aucune trace de la chenille… 

Soudain, le petit garçon se rappela la bonne odeur qui l’avait accueilli lorsqu’il était rentré de l’école : cette odeur chaude et enveloppante, ce fumet délicieux, oui, cela sentait le chou! Sa maman avait préparé le chou, mais qu’était devenue la chenille? 

Angoissé, le petit garçon rentra aussitôt à la maison, et se mit à chercher partout, dans le moindre recoin. Mais elle n’était nulle part, et plus il y pensait, plus il se disait qu’elle devait être morte, et aveuglé par les larmes, le cœur broyé comme dans un étau, il se sentit seul, terriblement seul, et il s’assit pour pleurer. 

Sa maman eut beau essayer de le consoler, rien n’y fit. «Se mettre dans un tel état pour une chenille», lui répétait-elle, «n’est-ce pas insensé?  Tu en trouveras une autre, le jardin en est plein», et elle l’embrassa tendrement, persuadée que le lendemain, il aurait oublié. 

Mais les jours passèrent, et le petit garçon pensait toujours à la chenille. Quand elle venait manger avec lui, il grandissait en force et en santé, alors que maintenant, il perdait ses belles couleurs et maigrissait de plus en plus. Un matin, il ne put se lever de son lit, tant il était faible, et le docteur, que sa maman avait appelé, déclara qu’il était très malade, et le petit garçon comprit qu’il allait mourir, et que rien ne pourrait le sauver. 

La nuit suivante, comme il ne trouvait pas le sommeil, il se mit à observer les étoiles qui scintillaient au firmament, et soudain, il lui sembla que l’une d’entre elles bougeait et grossissait, comme si elle venait vers lui. Repoussant ses couvertures, il s’assit dans son lit pour mieux voir, et il s’aperçut qu’une boule lumineuse était entrée par la fenêtre entrouverte. Avec un bruit de clochettes, la boule s’ouvrit et une toute petite femme en sortit, tenant à la main une baguette. 

La fée, car c’en était bien une, s’approcha du petit garçon et lui dit: «Ton amie la chenille n’est pas morte. Elle est blottie dans son cocon, qu’elle a filé comme elle a pu, après avoir été chassée avec les eaux sales dans le talus derrière la maison . Si ta maman le trouve et en prend soin, tu retrouveras ton amie et tu guériras». Elle toucha  alors le cœur du petit garçon de sa baguette, et disparut comme elle était venue, ne laissant derrière elle qu’une traînée de lumière. 

Comme si ses forces lui étaient revenues d’un seul coup, le petit garçon pu se lever, et courir jusqu’à la chambre de sa mère: «Maman», lui dit-il, «il faut que tu ailles chercher la chenille. Elle a construit son cocon sur le talus derrière la maison. Si tu en prends soin, je retrouverai mon amie et je guérirai, la fée me l’a promis!» 

Sa maman, croyant qu’il délirait, et craignant qu’il n’attrape froid ainsi pieds nus sur le sol, le reconduisit dans sa chambre, et à peine le petit garçon fut-il couché, qu’il tomba profondément endormi. 

Dès lors, il ne se réveilla plus. Ses paupières restaient closes, sa respiration légère allait et venait, et un sourire flottait sur ses lèvres, comme s’il faisait un rêve délicieux. 

La mère ne parla à personne de ce qui s’était passé cette nuit-là. Bien qu’elle n’ait pas cru un mot de ce que son petit garçon lui avait dit, elle était si désespérée qu’elle s’en alla tout de même inspecter le talus, derrière la maison. Et à sa grande surprise, elle y trouva un cocon, mal attaché à une brindille, et que le vent aurait tôt fait d’emporter. Emue à la pensée de ce petit être sans défense, dont la vie était suspendue à un fil, si ténu qu’un souffle pouvait le briser, elle détacha la brindille avec précaution et l’emporta avec son précieux fardeau dans la chambre de son fils, où elle l’accrocha solidement à l’une des tentures. 

Les journées et les nuits se succédaient, toutes semblables, et puis un jour, la mère perçut dans le cocon un léger mouvement, et petit à petit, une patte, deux pattes se dégagèrent puis le papillon lui-même apparut, tout recroquevillé, et déploya ses ailes fripées, mais déjà éclatantes de beauté. 

La mère l’observait, émerveillée, quand le papillon s’envola brusquement et vint se poser délicatement sur les lèvres du petit garçon endormi. Et juste à cet instant, comme par enchantement, il ouvrit les yeux, et reconnut son amie la chenille, devenue maintenant un magnifique papillon. Ils étaient à nouveau réunis! 

Et le petit garçon se jeta dans les bras de sa maman, dont l’amour les avait sauvés tous les deux de la mort, et leur avait rendu leur joie de vivre.

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 60 092 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

C'est mignon :) 

En fait les chenilles sont souvent extrêmement différente des papillons. Cette chenille de l'histoire est probablement celle de la pieride. 

La chenille de la pieride : 

pieridejeuneschenilles.jpg

pieride-du-chou-chenille.jpg

Et le papillon : 

Description de cette image, également commentée ci-après

Commun, extrêmement répandu. 

 

Chenille de la celastrina : 

Celastrina argiolus

Papillon :

Celastrina_argiolus_amiens.jpg

 

Rien à voir...

 

Chenille du Sphynx "Grand Pourceau" : 

Deilephila elpenor

Papillon : 

Deilephila_elpenor_by_triton_2.jpg

Rien à voir non plus.

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Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
il y a 21 minutes, ping a dit :

Il était une fois un petit garçon, qui recevait toujours pour goûter une brioche et du chocolat, et qui s’en allait aussitôt les manger dans le jardin. 

Dès qu’il s’installait sur le banc, à côté du potager où s’alignaient les carottes, les salades et les choux, une petite chenille verte glissait vers lui et venait manger les miettes de brioche, que l’enfant répandait pour elle, tant il aimait la regarder grignoter et faire onduler son long corps soyeux. 

Quand d’aventure elle ne paraissait pas, doucement il chantonnait:

Chenille, Petite Chenille,
La table est servie,
Brioche et chocolat,
N’attendent plus que toi! 

Et la petite chenille sortait alors du chou, dans lequel elle habitait, et rejoignait le petit garçon, pour partager son goûter. 

Or, un après-midi qu’il était à l’école, sa maman alla chercher un chou dans le potager, et elle prit justement celui dans lequel la petite chenille avait sa maison. Avec un grand couteau, elle commença à détacher les feuilles, une à une, et se mit à les laver sous l’eau tiède. 

La petite chenille, terrifiée, se cramponna de toutes ses forces à la sienne, mais un tel torrent d’eau se déversa soudain sur elle, qu’elle lâcha prise et tomba au fond de l’évier, où elle tourbillonna, avant d’être engloutie dans la canalisation. 

Le petit garçon, quand il revint de l’école, emporta comme d’habitude son goûter au jardin, et se mit à chantonner:

Chenille, Petite Chenille,
La table est servie,
Brioche et chocolat,
N’attendent plus que toi! 

Mais il eut beau reprendre et reprendre la chanson, la chenille resta invisible. Fouillant des yeux le jardin, il se mit à chercher le chou dans lequel habitait son amie, mais il ne trouva rien. Le chou avait disparu, il n’en restait que quelques feuilles jaunies, et aucune trace de la chenille… 

Soudain, le petit garçon se rappela la bonne odeur qui l’avait accueilli lorsqu’il était rentré de l’école : cette odeur chaude et enveloppante, ce fumet délicieux, oui, cela sentait le chou! Sa maman avait préparé le chou, mais qu’était devenue la chenille? 

Angoissé, le petit garçon rentra aussitôt à la maison, et se mit à chercher partout, dans le moindre recoin. Mais elle n’était nulle part, et plus il y pensait, plus il se disait qu’elle devait être morte, et aveuglé par les larmes, le cœur broyé comme dans un étau, il se sentit seul, terriblement seul, et il s’assit pour pleurer. 

Sa maman eut beau essayer de le consoler, rien n’y fit. «Se mettre dans un tel état pour une chenille», lui répétait-elle, «n’est-ce pas insensé?  Tu en trouveras une autre, le jardin en est plein», et elle l’embrassa tendrement, persuadée que le lendemain, il aurait oublié. 

Mais les jours passèrent, et le petit garçon pensait toujours à la chenille. Quand elle venait manger avec lui, il grandissait en force et en santé, alors que maintenant, il perdait ses belles couleurs et maigrissait de plus en plus. Un matin, il ne put se lever de son lit, tant il était faible, et le docteur, que sa maman avait appelé, déclara qu’il était très malade, et le petit garçon comprit qu’il allait mourir, et que rien ne pourrait le sauver. 

La nuit suivante, comme il ne trouvait pas le sommeil, il se mit à observer les étoiles qui scintillaient au firmament, et soudain, il lui sembla que l’une d’entre elles bougeait et grossissait, comme si elle venait vers lui. Repoussant ses couvertures, il s’assit dans son lit pour mieux voir, et il s’aperçut qu’une boule lumineuse était entrée par la fenêtre entrouverte. Avec un bruit de clochettes, la boule s’ouvrit et une toute petite femme en sortit, tenant à la main une baguette. 

La fée, car c’en était bien une, s’approcha du petit garçon et lui dit: «Ton amie la chenille n’est pas morte. Elle est blottie dans son cocon, qu’elle a filé comme elle a pu, après avoir été chassée avec les eaux sales dans le talus derrière la maison . Si ta maman le trouve et en prend soin, tu retrouveras ton amie et tu guériras». Elle toucha  alors le cœur du petit garçon de sa baguette, et disparut comme elle était venue, ne laissant derrière elle qu’une traînée de lumière. 

Comme si ses forces lui étaient revenues d’un seul coup, le petit garçon pu se lever, et courir jusqu’à la chambre de sa mère: «Maman», lui dit-il, «il faut que tu ailles chercher la chenille. Elle a construit son cocon sur le talus derrière la maison. Si tu en prends soin, je retrouverai mon amie et je guérirai, la fée me l’a promis!» 

Sa maman, croyant qu’il délirait, et craignant qu’il n’attrape froid ainsi pieds nus sur le sol, le reconduisit dans sa chambre, et à peine le petit garçon fut-il couché, qu’il tomba profondément endormi. 

Dès lors, il ne se réveilla plus. Ses paupières restaient closes, sa respiration légère allait et venait, et un sourire flottait sur ses lèvres, comme s’il faisait un rêve délicieux. 

La mère ne parla à personne de ce qui s’était passé cette nuit-là. Bien qu’elle n’ait pas cru un mot de ce que son petit garçon lui avait dit, elle était si désespérée qu’elle s’en alla tout de même inspecter le talus, derrière la maison. Et à sa grande surprise, elle y trouva un cocon, mal attaché à une brindille, et que le vent aurait tôt fait d’emporter. Emue à la pensée de ce petit être sans défense, dont la vie était suspendue à un fil, si ténu qu’un souffle pouvait le briser, elle détacha la brindille avec précaution et l’emporta avec son précieux fardeau dans la chambre de son fils, où elle l’accrocha solidement à l’une des tentures. 

Les journées et les nuits se succédaient, toutes semblables, et puis un jour, la mère perçut dans le cocon un léger mouvement, et petit à petit, une patte, deux pattes se dégagèrent puis le papillon lui-même apparut, tout recroquevillé, et déploya ses ailes fripées, mais déjà éclatantes de beauté. 

La mère l’observait, émerveillée, quand le papillon s’envola brusquement et vint se poser délicatement sur les lèvres du petit garçon endormi. Et juste à cet instant, comme par enchantement, il ouvrit les yeux, et reconnut son amie la chenille, devenue maintenant un magnifique papillon. Ils étaient à nouveau réunis! 

Et le petit garçon se jeta dans les bras de sa maman, dont l’amour les avait sauvés tous les deux de la mort, et leur avait rendu leur joie de vivre.

Ce joli conte est digne d'être publié avec de belles illustrations   f-0-201.gif?w=550

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 60 092 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Le travail mène à la richesse.
Pauvres poètes, travaillons !
La chenille en peinant sans cesse
Devient le riche papillon.

 

Hey... Guillaume Apollinaire quand même hein ? S'était foulé c'jour là !  :D

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 60 092 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Continuons l'exploration des chenilles... 

La toute petite chenille du Flambé : 

 Chenille de Iphiclides podalirius L. - ©Philippe Mothiron

Attention ... Métamorphose !!! (oui je sais ça vous rappelle quelque chose :D)

Iphiclides podalirius L. adulte - ©Jean-François Maradan

 

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Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)
Le 18/03/2017 à 17:35, ping a dit :

Je me demande si on explique aux enfants à l'école qu'elles sont dangereuses ces bestioles. C'est surprenant de constater autour de soi que des tas de gens ne le savent pas.

Bonjour, si dans certaines écoles, on leur explique pour les chenilles processionnaires.

 

Les Chenilles Processionnaires possèdent des poils urticants microscopiques en forme d'harpon qui provoquent des réactions cutanées importantes, boutons, démangeaisons, lésions oculaires et respiratoires. 

https://chenilles-processionnaires.fr/?gclid=CMLIrJTq9tICFWIq0wodM-UCNw

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