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Les parjurés du Doussard. Réïtération.


lexafat

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Les parjurés du Doussard
 Affaire dite de la «  tuerie de Chevaline »

 « Demandez et l’on vous donnera ;
                           Cherchez et vous trouverez ;
                                            Frappez , et l’on vous ouvrira. »

Préambule :   

   Dans une volonté de synthèse claire (d’une affaire trouble et de nombreuses fois troublée), j’ai épuré les divers développements lié à l’affaire, ainsi que les diverses pistes déjà exploitées. Je n’aborderai que des « points » qui me semble acquis. (Je peux bien évidemment étayer mes dires ultérieurement). Je m’adresse donc essentiellement aux initiés de l’affaire de Chevaline.

Tout d’abord, si l’on veut agir en détective, il faut (il n’y as pas d’ordre pré établi à suivre) :
  Primo, savoir  lire entre les lignes. Par exemple : « Si je lis dans la Pravda, que justice a été rendu sur un larbin impérialiste qui mettait en péril la révolution. » Je dois en dégager toute la rhétorique idéologique qui pollue une information pourtant simple : « Un homme, insoumis au régime et au parti, a été exécuté. »* (oui, oui, la propagande ça existe aussi dans les médias occidentaux…).

Deuzio, donner plus de crédit à un témoignage proche (de manière spatio-temporelle) des faits, qu’à une source plus éloigné « historiquement » parlant. (plus il attend, plus le témoin cour le risque d’altérer lui-même, ou d’être influencé, dans ces souvenirs.) 

Tercio, plus les sources « indépendantes » des unes des autres affirment une même chose, plus on est enclin à la considérer comme véridique.

Ensuite, n’oubliez pas que « la lecture la plus difficile vaut mieux que la facile ». Autrement dit, plus une information est embarrassante, plus on est amené à croire qu’elle cadenasse  la vérité.

   Enfin, analysé, d’une part, de manière criminalistique les faits. C'est-à-dire étudier le contexte dans lequel le crime a été commis. D’autre part, analysé de manière criminologique la scène de crime, c-a-d l’étude de la structure même du meurtre.

 

ATTENTION : Néanmoins, toute ces recommandations ne peuvent être aveuglement appliquées, notamment  dans le cadre d’un complot (association de malfaiteurs dans le but de commettre un crime) ou d’une conspiration ( association d’association de malfaiteurs (…)[ mais dans ce cas là on n’en saura pas plus.])

 

La scène du crime.

 Grâce ou à cause d’un hélicoptère médias très vite rendu sur les lieux du crime, plusieurs photos ont circulées sur la toile. L’une d’elle, précise les positions initiales des victimes ainsi que la mise en évidence des positions « finales » de ces dernières :

·         Il s’agit d’une vue aérienne du parking du Martinet

·         La voiture des Al-H est à l’entrée du parking, marche arrière, la calandre et la propulsion du véhicule, embourbés dans le talus.

·         Dans ce véhicule : Deux femmes à l’arrière, caractéristiques communes :

-         Attachées par leur ceinture de sécurité respective.

-         Tuées par deux balles, quasi bout touchant, dans la tête.

·         Un homme à l’avant du même véhicule, conducteur, blessé par au moins deux balles dans le tronc et achevé par deux balles dans la tête.

·         La plus jeune des filles al-H cachée sous les jupes de sa mère, est saine et sauf (certainement cachée dès le début des faits).

·         Devant ce véhicule, le corps de SM, qui porte les marques d’écrasement des pneus de la voiture des al-H et laisse supposé que ce dernier à trainé le corps du haut du parking du martinet, ou ce trouve le vélo de SM, jusqu’en bas du parking, position final de la scène du crime.

·         SM présente une forme d’ « acharnement balistique » : 5 balles dans le corps, une sous l’œil (à bout portant) et une dont on suppose qu’elle à raté (étrange lorsque qu’on voit le strike que vient de faire l’assassin) la tête de SM pour venir s’écraser dans le sol. Soit l’équivalent d’un chargeur plein.

·         Plus loin, l’ainée prostrée est certainement la cible la plus proche de sa position initiale. Elle est touchée par balle à l’épaule, et présente de graves lésions à la tête liés à une succession de violents coups.

 

Maintenant intéressons nous à la topographie et à l’accessibilité des lieux :

·         Accès unique au parking du Martinet part la voie dite « lambda » du chemin domaniale de la combes d ire. (Existe une voie secondaire à l’entrée de celle-ci voire plus bas)*.

·         Cet accès se situe au bout d’un embranchement en « patte d’oie » entre le village de St Arnand et de Chevaline.

·         Cette route connait un nivelé léger et constant positif, dudit embranchement jusqu’au parking.

·         Passé le parking du martinet,

-         En face : les chemins de randonnées, les véhicules y sont interdits et seul des véhicule spécialisé type 4x4 non urbain, motocycle et vélo tout terrains peuvent prétendre emprunter ce chemin.


-   A gauche : une voie faite de mauvais graviers et de nids de poules plus accessible aux véhicules, mais toutefois interdite. Cette voie est dite secondaire, elle mène au Col du ****. (une succession de virages plus étriqués les un que les autres qui donnerai le mal de voiture a S.Loeb).

*Toujours sur cette même voie :


-plus en amont, un embranchement permet de faire demi tour et de rejoindre un itinéraire parallèle à la route de la combes d’ire. Elle vous fera ressortir en aval de cette dernière. Cette piste est elle aussi interdite aux véhicules à moteurs mais est néanmoins bien plus praticable par un plus grand type de véhicule, que les deux itinéraires précédemment cités.

 

Ø  De part la situation isolée du site et son accessibilité restreinte, dont le terme de la voie fini en « cul de sac ».Et  de part la constatation du crime en lui-même sur ces même lieux, on peut considérer que la thèse du « guet-apens » peut être établie et être considérer comme fiable.

 

Arme du crime typiquement locale
 pour piste étrangère

  C’est à partir du décompte des douilles, de leurs indentification, et de facto, de l’identité de l’arme, que l’on commence à émettre un semblant d’hypothèse. Libre à vous de ne pas en tenir compte.

Il s’agit d’une arme de point, à percussion simple. (tout ça est très technique et très compliqué mais si j’ai bien saisi : La détente enclenche le système de percussion qui frappe et projette la balle (dit semi automatique).
   Au contraire d’un système double action : La gâchette enclenche le percuteur ET ré-amorce le système,  frappe la balle et projette la balle (la plus part du temps dit automatique.)

Sans être un grand expert on comprend que le premier système est plus archaïque que le second. Soit que l’arme du crime n’est pas un modèle récent et est peu adapté a l’exécution  de plusieurs personnes en mouvements et ceci dans une confusion la plus total.

Les experts, eux, affirmeront sans l’ombre d’un doute, grâce à des bouts de crosse  retrouvés et à la marque bien particulière que laisse chaque percuteur sur les étuis, qu’il s’agit d’un Luger P-06 projetant du 7.65 mm. Parabellum. Ils ajoutent, que touts les projectiles ont étés éjectés par la MÊME arme.

En faisant une brève recherche sur cette arme je suis tombé sur une page très concise sur la distinction entre le Mauer allemand original qui projette du 9mm. En gros la version Suisse « Luger » donc, est la version améliorée du modèle Allemand, fabriqué pour les officiers de l’armée Helvete pendant l’entre-deux guerres. Elle ne doit pas être confondu avec la version modifiée du Mauer 38.0 spécial (qui pour le coup s’apparente à un arme de tueur).Dans tout les cas, son système de ré-amorçage reste complexe et s’adresse à des passionnés et des initiés.

 Jusqu’alors et à partir des ces constatations, sans l’intervention de quelque témoin, on peut dire :

·         Que l’arme du crime n’est pas adaptée à une exécution préméditée de plusieurs personnes (en tout cas pas en même temps au même endroit)

·         Que le type de munition utilisé est très spécifique, peu commun sur le marché.

·         Que l’arme du crime ne correspond pas à l’ampleur du massacre

·         Que seule la dextérité d’un tireur bien entrainé, habitué au chaos et à la situation de panique (pas forcement la sienne mais celle provoquée), ayant des  « relations » dans le milieu de l’armurerie, peut justifier tout cela.

 Dès lors il est assez logique que les enquêteurs est délaissés l’hypothèse d’un rodeur psychotique qui abats tout le monde sans raison visible sans s’être après coup, suicider, ou chercher le « suicide par police interposée ». Dans ce cas ci, seule la thèse de l’accident qui aurai dégénéré en élimination de témoin puis en fuite, peut encore tenir (mais là… difficile d’expliquer quoi que se soit, ni le profil du tueur ni son mobile).

Le nombre, faramineux, de « douilles » dénombrée qui appel à bien des réflexions. Ce même badaud psychotique qui se balade avec une arme à feu et au moins 3 chargeurs. Quelque soit l’incident qui lié les victimes à leur agresseur celui ci ne comptait pas leur laisser la moindre chance.

Ø  Dans tout les cas de circonstance, la thèse de la préméditation d’un acte malsain peut être établie et considérée comme solide.

 

 

Les témoins.

Ah là ! Là, j’espère que vous êtes du genre à garder la tête froide ! N’oubliez pas  ce que vous savez au sujet de cette affaire jusqu’à présent.

  Les parjurés du Doussard, c’est le titre de mon essai. Car c’est bien là que le bas blesse dans cette affaire. Le nœud de l’affaire consiste en grande partie à classé les différents témoignages et annonces recueillis (presse internet police pouvoir publique…) par ordre de crédibilité. Ensuite, d’établir l’ordre chronologique des événements.
    Et là accrochez vous bien. Je vous épargne dans cette synthèse: les coups de bluffs du procureur, l’esbroufe des  enquêteurs, la connivence des gendarmes avec leurs « locaux » et la mise en scène pathétique de l’incompétence de notre « masse-média ». Ce fût long et fastidieux, je suis prêt à étayer mes recherches, mais ici je ne vous fournirez que les temps de passages les plus précis que possible et non pas la manière dont j’en suis venu à l’établir comme véridique.

CHRONOLOGIE :

§  14h40 : Deux maçons qui travaillent sur un chalet au bout de chevaline (soit avant l’embranchement « patte d’oie » entre chevaline et st arnand) affirme s’ « être écarté de son chantier pour laisser passer un breack anglais avec à son bord une petite fille, un monsieur mate  et deux femmes à l’arrière avec un enfant dans un siège bébé. A part lui, rien n’est MONTE. »( j’insiste sur le « monté » du citoyen local, voir après.)

§  15h05-10 : Un agent ONF descend la combes d’Ire, il croise le motard au niveau du parking du martinet, qui se range pour le laisser passer. Ce motard a des sacoches et/ou un coffre a l’arrière, visière baissé, « mentoniére » ouverte. Croise SM puis WBM (qui confirme le 4x4 vert ). Enfin, l’agent confie (plus tard) qu’un 4x4 sombre conduite à droite par un homme quasi chauve peau sombre et sans lunette (pourquoi le préciser s’il n’en possède pas ?) l’a croisé à vive allure !

§  15h15 : Le timer de l’appareil photo des al H affirme qu’il se trouvait avec le reste de sa famille au bout du village de st arnand non loin de la patte d’oie qui mène au martinet, soit à l’opposé de là ou il était arrivé. (il n’a pas mis 30 min pour faire moins de 300m, voyons…) Ce qui laisse supposer que  le maçon dit vrai et que les al-H étaient déjà « monté » faire un tour au parking du martinet. (qu’est ce qui les a empêchés la première fois et  poussés à y retourner ?)

§  15h15-20 : William Brett Martin s’engage vers la route de la combes d’Ire. (témoin très suspect, témoignage à prendre avec précaution) Il dit avoir était alors doublé par un vélo de course qui allait beaucoup plus vite que le lui (ce qui a était démontré).
  Puis dans l’ordre, avoir était doublé par une moto et un 4x4 (tête baissée pendant l’effort, il ne donne pas plus d’indication [crédible]).

§  15h15-20 : Le breack se ré-engage donc, dans voie domaniale avant WBM, (puisque celui ne signale pas avoir était doublé par le familial anglais) double SM et vient se garer sur le parking non loin de la borne indicatrice.

  A ce même moment, plus en amont sur la voie qui mène au col *** (rappelez vous), des agents ONF font faire demi tour au motard qui s’était engagé sur la route. Celui-ci retourne donc en direction du parking en aval.

§    15h32 : Heure à laquelle SM reçois un appel de « sa femme » qui dit s’inquiéter. Il l’a rassure et raccroche, l’appel est bref . A ce moment là, SM est non loin, voire déjà, derrière la voiture des al H.

§  15h40 ( ?) : Heure supposée (selon ses seuls dires) à laquelle WBM arrive non loin du drame. Juste avant de découvrir la scène macabre il croise le motard qui selon lui « roule de façon anormalement lente ».Il va à la rescousse de la petite, déplace SM, coupe le contact de la voiture, tente d’appeler les urgences, sans succès. (il doit certainement être hésitant, tout cela demande un certain temps)

§  15h45 : WBM décide de redescendre, il croise les randonneurs, leur explique péniblement d’appeler les secours (Il est certainement incompris, tout cela prend un certain temps)

§  15h48 : Le randonneur appel la police tout en suivant WBM sur les lieux du crime. (boutade : il parait que le tueur finis toujours par retourner sur les lieux du crime, prématuré pour WBM ?).

 

Ø  La tuerie aurai donc durée entre 3 et 6 minutes. Du rarement vu dans les archives d’une gendarmerie de « bourgade » je suppose.

Ø  Soit un temps moyen approximatif de 4 minutes et 30 secondes. (est ce matériellement possible selon les experts ?)

Voilà, tout ceci est sujet à caution bien évidemment et tout ce qui va suivre à partir de la découverte des corps est connu du grand publique.

 

Ø  Après des années de recoupement de la part des enquêteurs, et, bien que tout ne soit pas rendu publique, on constate que malgré l’affluence de protagoniste au moment des faits, le site reste relativement peu fréquenté en cette arrière saison.
   On remarque aussi, que malgré la profusion de détails, parfois très précis, concernant les différents protagonistes, on ne relève aucun témoignage des uns et des autres pendant, avant et après les faits, concernant l’attitude desdits protagonistes. (a part WBM au sujet du motard « strangely hood. »)

 

Ce qui laisse, malheureusement, à penser que nombres de ces témoignages sont tronqués/falsifié/arrangé/mythifié/mystifié…Bref rayez la mention inutile.
   Certain n’ayant pas envie d’incriminer leurs camarades quant à leur activité suspect ? Des choses à se reprocher ? La peur, après avoir était menacé par le tueur ? Le besoin de se sentir utile vis-à-vis de la police sans avoir quoi que se soit à raconter ? Ou pire, avoir des le début influencé l’enquête ?

 

Hypothèses, annonces et
 témoignages « annexes »

 

 

«  Alors, il emportera avec lui toutes les inégalités de ce Monde ;
Et sur son dos, l’infamie et le mensonge ; Il  servira de bouc émissaire à  notre culpabilité ;
Car  en vérité ; En vérité je vous le dit :
Nous sommes tous au moins coupable d’innocence en ce Monde. »

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v 
Dans la mesure où l’instruction est toujours en cours et comme une nouvelle procureure est en charge du dossier. Je me montrerai plus que mesuré dans mes propos. Je ne prétends absolument pas détenir la vérité. Par contre je risque d’être très critique vis-à-vis de Mr Maillaud, ancien Procureur de la République qui était en charge du dossier et qui a été, je pense, involontairement ou non, manipulé. Je m’en excuse au prés de la personne, pas de l’homme politique. J’estime être dans mon droit et devoir critique, de citoyen.

v 

 

 

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Mr Maillaud : « Hypothèse étrangère ou local, mon cœur balance »

  Ce qui est sûr, c’est qu’on a vite eu fait d’incriminer Zaid pour le motif tout a fait crédible de l’héritage familiale. On parle de 900 000 euros sur un compte en Suisse.
Pourquoi diable, des lors, ce même motif n’est plus valable  pour l’autre victime, SM ? En conflit avec sa belle famille pour un héritage avoisinant 1 000 000 euros.

  Le procureur de la république se dit, des le début de l’enquête que « SM est à 99% une victime collatérale ».
Donc Mr Maillaud suppose que les Al H étaient à bien les cibles. Comment Mr le procureur justifie le choix de l’arme du crime ?
  Non, à première vu ce dernier n’est pas du genre concerné pas sa tache administrative au sein des pouvoirs publiques et ce contente de faire du showbiz politique, répétant bêtement ce qu’on lui rapporte, voyant dans cette affaire un bon spot pour sa carrière, au détriment du bons sens et de la morale.
   Et à mon humble avis il est trop facile de justifier ceci par un coup de bluff. Le bluff, c’est crédible lorsque ça amène à un résultat, sinon c’est de l’esbroufe.

  Le fameux portrait-robot du suspect motard présent le jour des faits. Pareil, l’on nous assure que c’était pour ne pas l’effrayé et garder une chance de mettre la main dessus.
05/09/2012 : Les forces de l’ordre dresse le portrait robot.
04/10/2013 : Diffusion du portrait robot et appel à témoin.
--/05/2015 : Les forces de retrouve l’individu contre son gré et l’interroge.

  Pourquoi avoir retardé si longtemps la diffusion du portrait robot alors que les recherches étés depuis longtemps considérées comme infructueuses ? De l’esbroufe, encore.
  Pourquoi et dans quelle circonstance, une fois interrogé, ce suspect ci n’est pas, contrairement à Mr Devouassoux, inquiété ?
N’est il pas suspect qu’un homme qui ce sais recherché par toute les polices d’ Europe ne cherche pas à se discriminer plus tôt ?
  De plus ce n’est pas lui qui se rend aux enquêteurs mais bien eux qui iront à sa poursuite. Et il est d’autant plus suspect que  celui-ci n’est jamais entendu parler de l’affaire de Chevaline en 3 ans ?

  Que son seul alibi est fourni par Mr Maillaud, qui dit simplement, que son profil ne correspond pas et qu’il est sur à 95% de l’innocence de cette homme. Un homme qui au mieux devrait être inculpé pour non assistance à personne en danger, entrave à la justice, au pire, pour meurtre… (A part WBM il n’y avait pas de danger imminent, il pouvait donc porter secours. Sauf si WBM représente un danger imminent. Dans ce cas là pourquoi ne pas le dénoncer ?)
…« Sûr à 95% », quand on connait la fiabilité de raisonnement en terme de statistiques et de combinaisons aléatoires de Mr Maillaud, on peut rester dubitatif.

 

Ma théorie :

   En réalité c’est une théorie qui peut se subdiviser en deux. Elle se base sur un critère précédemment expliqué en préambule, dite de la lecture la plus embarrassante. Vous allez comprendre :
  Pour moi, malgré l’étude (lacunaire) précédemment fournis et bien que tout converge vers un guet apens. Je ne retiens pas en premier lieu la préméditation. 
  Il peut effectivement s’agir d’une mauvaise rencontre. Un homme (bel et bien local) vient tirer quelques cartouches, il est équipé et entrainé, habitué à dominer les situations de conflits. Il rencontre l’une ou l’autre des deux victimes, se querellent, la menace de son arme, la victime tente de s’en emparé le coup part, la petite est touchée, S Al H et SM se précipite à son chevet. Le malheureux tueur disjoncte et se dit que foutu pour foutu… on connait la suite, et on imagine l’incompréhension faire place a l’affolement.
   Ensuite, il aurait bénéficié d’un incroyable et heureux concours de circonstance qui ne l’aurai amené à ne croiser personne du début à la fin (peu crédible).Ce qui laisse penser que, membre reconnu et honorable de sa communauté, le tueur aurai bénéficié de l’appui de certains protagonistes.

    Des lors vous comprenez que les plus romanciers d’entre nous y voient un complot, ce qui justifie l’ « in-inquiétude » du tueur et amène à mieux comprendre l’incohérence de certains propos des divers intervenants.

 

v 

 

Cependant, si la préméditation et le complot sont prouvés, j’ose avancer avec beaucoup de prudence toutefois, que se serai bien Sylvain Mollier la cible de cet attentat.
Encore une fois, libre à vous de tenir compte de mon avis, mais je peux tout de même étayer mon intuition.

v 

 

 

 

Epilogue :
 
       
     Quid de ce fameux 4x4 sombre conduite à droite. J’ai finis par renoncer à y croire. Il ne rentre dans aucun des calculs (sauf celui de la conspiration évidemment).
  De plus, ce témoignage est venu s’ajouter bien après. Comment en vient on à oublier un tel élément aussi important lors de sa première déposition ? Et surtout, comment être aussi précis sur le conducteur des jours plus tard ? Je n’y crois tout simplement pas.

Cependant, un témoignage apparut en début d’enquête, maintenant introuvable, faisait état d’un 4x4 Pajero gris conduite à gauche.
   Or coïncidence troublante (bien plus que le mari caché qui meurt au même moment à l’autre bout du monde [Merci monsieur Maillaud pour ces fabuleux voyages entre les USA, Le R-U, La Suède…Vous nous avez fait rêver, pas sûr que les familles des victimes soient autant  enclin à en rire.]) un 4X4 Pajero gris est retrouvé dans un ravin de 30 mètres quelques jours plus tard.
  Explication des intéressés, qui n’a pas fait soulevé le moindre sourcil dans les rang de la gendarmerie : «  les occupants à l’avant du véhicule voyant qu’ils perdent le contrôle du véhicule, saute de celui ci en marche et laisse coincé à l’arrière (c’est un véhicule 3 portes) un passager de 35 ans. Ce dernier sera tué sur le coup après avoir percuté un arbre, 30 mètres plus bas.

Mouais… le sens de l’amitié en Savoie, on repassera. Mais le plus surprenant c’est que cela ce passe à Ugine, lieu de vie de S M. (pure hypothèse ? le minot allé craquer, les anciens ont fait ce qu’il devait faire pour garder l’omerta intact).
  Et si vous trouver ça tiré par les cheveux, laissez moi vous citer, Mr le Procureur de la République Eric Maillaud, quadruple champion savoyard de la capilo-tractation en technique dite du « développer-sans-broncher », qui peu avant son départ, fin 2016, (suite à la mauvaise gestion, reconnu par ces pairs, de cette affaire ?) avoué à demi-mot-penaud : « Nous avons peut être sous estimé la piste du tueur local. » Quel oeuphémisme.


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  Je souhaite sincèrement bon courage aux familles des victimes, aux pouvoirs publiques et particulièrement à Mme la Procureure, qui je l’espère bénéficiera d’une atmosphère plus saine pour rendre aux gens affectés pas ce drame, la dignité et la vérité auxquelles ils ont droit.

  Peut importe que j’ai tort ou raison sur cette affaire. Ce qui m’importe, c’est d’une part, de ne pas oublier ces victimes dans les bas fonds administratifs des affaires classés.
  D’autre part, garantir que ce genre de comportement dans une société dite saine, ne soit jamais toléré.
 
Enfin, de prouver que les valeurs d’une nation et les fondements de son système, ne concerne pas seulement les gens qui la dirige, mais aussi et surtout les gens qui l’érige.

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  «En la vérité  je crois. »

« Force et Honneur ; Que  l’espoir demeure. »

«  Flancher, parfois ; Céder, jamais ; Vaincre, toujours ! »

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