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Foucault, Deleuze, Althusser et Marx


LouiseAragon

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
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Dix à vingt millions de morts, à la louche...

Pour comparer, voyons maintenant quel type de bouillie pour chat est gracieusement livrée clefs en main aux gentils membres du Parti, histoire de pas avoir l’air trop cons quand on leur parle de Staline.

Accrochez-vous, c'est inhumain de bêtise, ubuesque !

... ou comment prendre les gens pour des cons !

(là pareil, j’ignore la valeur réelle du lien, mais ça semble vrai – et trop con pour l’être – et ça s’adresse aux membres ou sympathisants du PCF)

Bon j'ai mis des commentaires à deux balles, histoire d'aérer la lecture, et souligné les passages grotesques et autres.

(ah oui, le texte est écourté, y'en a pour des plombes)

Au départ, ça se présente comme ça :

Quelle position les communistes doivent-ils prendre sur Staline, sur ce qu’il fut vraiment, sur son image actuelle et ce qu’elle symbolise ? Doivent-ils le rejeter avec effroi, le revendiquer avec hauteur au risque de scandaliser? Doivent-ils l’esquiver comme un secret de famille honteux ?

Allons-y gaiment !

Dans les peuples du monde les plus divers les opprimés dressent l’oreille quand ils entendent son nom. En général ils en entendent parler par la bouche de leurs ennemis. Ils entendent prononcer ce nom au milieu des insultes et des menaces. Et ils se disent que quelque fut le vrai Staline, si les exploiteurs ont encore peur de lui, c’est qu’il ne devait pas être si mauvais.

"Pas si mauvais"... admirable humour, passons.

Le représentant du mal métaphysique ainsi signalé à l'attention du public attire à lui le négatif humain que la société bourgeoise veut mettre au rebut, ceux qui sont acculés à la folie, les précarisés, les perdants, les humiliés. Staline a acquis une mauvaise réputation du genre à plaire à l’opprimé isolé par le spectacle du triomphe planétaire du capitalisme.

"Plaire à l’opprimé" ? Euh, était-ce seulement de l’humour ?

Et c'est maintenant qu'on peut penser qu’il vaudrait mieux pour tout le monde que son nom cristallise la révolte plutôt que celui d’Hitler.

Oui c’est bien connu, on réhabilite Hitler de nos jours... n’importe quoi

Or il apparait de plus en plus clairement que le Staline historique n’était pas le personnage monstrueux que ses ennemis ont cherché à accréditer depuis le rapport Khrouchtchev de 1955. L’histoire objective de son pouvoir sur l’URSS et le mouvement communiste commence à être écrite avec le recul scientifique nécessaire à la manifestation de la vérité. C'est une histoire terrible pleine d’excès et de brutalité. Mais la terreur dont il est question n’a pas été introduite dans l’histoire par la malveillance d’un homme ou d'un petit groupe dirigeant. C’était un politicien très intelligent, habile, convaincu, incorruptible, et plutôt prudent, porté à des mesures extrêmes par des circonstances inouïes. Et qui fut sans doute, comme Mao après lui, victime des illusions que secrète le pouvoir absolu (…) Staline n’a pas exercé la terreur au nom de la bureaucratie contre le prolétariat, il a exercé la terreur sur la bureaucratie, au nom du prolétariat. Terreur qui fut exercée froidement, sans pitié, mais avec une certaine mauvaise conscience.

Ah bon, on a mauvaise conscience quand on zigouille des millions de personne. Voilà qui nous réconcilie avec le genre humain !

Restent les mérites du personnage historique auquel il faut rendre justice : Il a su rendre concrète l’expérience du "socialisme dans un seul pays" (...), expérience que l’humanité du XXème siècle devait faire. Il a su diriger le peuple soviétique pour vaincre le nazisme, presque seul. Sans Staline, le Parti communiste soviétique, et le peuple russe, le Troisième Reich aurait triomphé. Il a accéléré la décomposition du monde colonial et du racisme, et rendu dans le monde entier l’exploitation et la misère illégitime.

On en a les larmes aux yeux... le brave homme.

Nous ne devons pas accepter les jugements moralisateurs des hypocrites dans des faux-procès en inhumanité, car les morts qu’ont causés le capitalisme, et l’ordre social de classe depuis son origine dans la nuit des temps, sont tellement nombreux que personne n’a même essayé de les compter.

En clair, si tu juges Staline, t’es un faux-cul capitaliste. Formidable ! Et d'ailleurs en face, les méchants ils ont plus de morts, na !

Donc nous voilà devant les dilemmes suivants : devons nous accepter comme des "dommages collatéraux" les aspects négatifs de ce moment de l’histoire communiste? Ou devons nous chercher à convaincre, en nous prenant les pieds dans le tapis d'ailleurs que nous n’avons rien à voir avec cette histoire et qu’elle nous cause des remords terribles ? Devons nous tenter d’ajouter aux omissions nombreuses et aux quelques mensonges de la propagande de l'époque de Staline un mensonge de plus, qui consiste à dire que Staline n’était pas un communiste (ou pas un « vrai » communiste) ?

To be or not to be communiste that is the question, donc ! (le reste, c'est du collatéral)

La critique anticommuniste a raison sur trois postulats :

1) Staline est un communiste authentique, ceux qui s’intitulent encore communistes doivent assumer et expliquer pourquoi ils le font.

Je prétends que ce défi est très facile à relever, et sans provocation ni extrémisme ! Il suffit de savoir ce qu'on veut, la respectabilité ou la révolution. Car ce qui est perdu en obstruction, calomnies et conspiration du silence des médias peut être regagné et largement au-delà par la publicité involontaire que produisent les imbéciles scandalisés par la chose. Et parce que la haine de la bourgeoisie authentifie le mandat révolutionnaire de ceux qui décident de représenter la cause du prolétariat. La référence à Staline est même un procédé qui permet de faire l'économie de la surenchère dans sa stratégie de communication.

Qui veut la fin veut les moyens. Quelques millions de morts plus loin (oups pardon : calomnie). Top cool ! ... et vive la haine au passage (de la bourgeoisie donc). Génial.

2) L’URSS a été une tentative de réaliser une utopie économico-politique qui a échoué dans la confrontation avec l'impérialisme.

Sauf que pour nous, ce n’est pas l’utopie en elle qui la condamne, au contraire ! Et de plus en plus clairement, c'est le projet économique capitaliste dans son ensemble qui semble une utopie mortifère.

Ouais ouais on a compris. Sauf que confrontation ou pas, les dix/vingt millions de morts, ça n’a rien à voir avec le capitalisme !

Et le méchant, c'est l'autre, encore et toujours...

D'accord pour l'utopie donc, sauf que ce genre de torchon que je commente n'a rien d'utopique !

3) Et le phénomène historique nazi-fasciste s'explique par une réaction à la menace communiste.

Le tableau effarant des effets meurtriers de ce phénomène nullement mystérieux n'exige de la postérité aucun mutisme craintif, aucune sidération. Ce n’est que le fruit démesuré d’une réaction de panique de la bourgeoisie, face à ce qu’elle appelle le "bolchevisme", terme émotionnel dont le contenu est à peu près le même que celui de "Staline" aujourd’hui, et le plaidoyer pour une réhabilitation implicite du nazisme qui a été présentée avec cohérence par Ernst Nolte en Allemagne, est en fait un aveu de la bourgeoisie, qui replace Auschwitz sans mystère au terme de l’escalade criminelle de la contre-révolution des années 1920/30.

Oui bien sûr, on est tellement cons qu’on réagit pas aux millions de morts mais au terrible nom de "bolchevisme". Mais qu’est-ce qu’on se marre !

Et la réhabilitation du nazisme encore, mais où ils vivent ces gens, dans un "autre monde" ?

Donc j’affirme que tous les communistes actuels, s’il était possible par magie de les transporter dans l’époque et les circonstances qui ont vu naître et grandir l’URSS, et la contre-révolution fasciste, dans la mesure où ils sont honnêtes et déterminés, seraient staliniens, et sans doute plus que les originaux.

Ben pour une fois t’as raison bonhomme, et c’est là que ça craint : c’est que les types, après avoir été mis au courant des assassinats en masse du peuple, de ces charniers, racontent encore tes bobards !

J’en viens enfin à ce qui me parait le plus important : les communistes actuels, forts de leur expérience historique inestimable et chèrement acquise par les camarades qui les ont précédés dans la lutte ne doivent rien renier de leur passé s’ils veulent avoir un avenir.

Non non, vous ne rêvez pas, c’est pas une pub pour lessive !

S’il s’agit de relancer la révolution prolétarienne, plus nécessaire que jamais, alors il faut avancer, en refusant d’être enfermé dans une « prison scripturaire », dans les mythes de l’histoire contre-révolutionnaire en contestant point par point tous les procès qui concernant le passé de notre mouvement, et en suivant ces principes :

1) La grande majorité des allégations de l’historiographie antistalinienne est fausse ou exagérée. Soljenitsyne, Conquest, Trotsky, Chalamov, les Medvedev etc. ne sont pas des sources fiables, mais des auteurs partisans. 

2) Dans l’affrontement entre la révolution mondiale et la contre-révolution mondiale, depuis 1914, le camp capitaliste est responsable de crimes innombrables et n’a pas de leçon de morale à donner. 

3) Nous éviterons à l’avenir les dérives antidémocratiques, les erreurs et les excès violents en étudiant toute l’histoire de notre mouvement et non en reproduisant les critiques de l’adversaire. 

4) Les critiques émanant de mouvements ou d’hommes pseudo-révolutionnaires qui n’ont pas fait de révolution  (comme celles de Georges Orwell par exemple) sont de peu de valeur, ainsi que celles émanant d’acteurs de l’histoire du communisme qui tentent de couvrir leurs responsabilités, comme Trotski et Khrouchtchev.

"L’affrontement"... vingt-cinq ans après la chute du Mur, avec un Parti qui s’étalait à 2% avant le "sauveur" Mélenchon, les types parlent sérieusement d’affrontement ! Complètement cons...

(notons "scripturaire" au passage, que le brave militant comprenne que le type qui a écrit ça a des billes dans les poches)

L'application de ces principes, en s'inspirant notamment des concepts critiques développés dans les Cahiers de prison de Gramsci, devrait aboutir à une critique nuancée, comme le fait la critique du maoïsme en Chine, et non à la diabolisation de l'histoire de la révolution.

Une critique "nuancée"... on avait bien compris ! :smile2:

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C'était la minute de Mr Cyclopède. Étonnant n'est-ce pas ?

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Hegel et la dialectique.

Lorsque Deleuze se lance dans l’écriture de livres d’histoire de la philosophie, il cherche, avant tout, à identifier ses amis (Hume, Nietzsche, Spinoza) mais aussi ses ennemis : Kant et Hegel. Face à Kant, Deleuze est plutôt compréhensif : il lui consacré un ouvrage entier. Hegel, lui, est identifié comme l’ennemi à abattre.

Et ce que Deleuze rejette de Hegel, c’est précisément la dialectique, et au sein de la dialectique, ce que l’on appelle le « travail du négatif ». Je rappelle que le négatif chez Hegel fait partie du processus qui fonde le moteur de l’histoire. La négation succède à l’affirmation et permet l’Aufhebung, à savoir la sursomption. Le mot caractérise le processus de dépassement d’une contradiction dialectique où les éléments opposés sont à la fois affirmés et éliminés : ils sont à la fois niés et maintenus, dans une nouvelle synthèse conciliatrice. Le négatif est un moment essentiel de la dialectique, qui supprime les déterminations positives premières afin d’en faire advenir de nouvelles, transformées, sursumées.

Deleuze rejette ce négatif hégélien. Le premier pas opéré dans ce sens se repère dès Empirisme et subjectivité (1953) : pour Deleuze, la dialectique hégélienne donne à voir un « faux mouvement », artificiel, chiqué – pour lui, le mouvement de l’Aufhebung est un mouvement logique spéculatif, qui n’a rien de réel, rien de concret. C’est une négation spéculative, qui n’a pas d’effet sur le réel.

Au contraire, chez Kant comme chez Hume – la négation a un autre statut. La négation, quand elle porte sur un objet réel, est positive. Lorsque l’opposition de la force négative rencontre une autre force, il se passe quelque chose : un effet. Cela ralentit le mouvement de la chose, cela la supprime, cela la renverse. Le négatif a cette capacité d’engendrer des effets dans la réalité. La négation appartient donc bien à l’existence : elle a une valeur ontologique et n’est pas qu’abstraite ou spectaculaire, en ceci qu’elle détermine un être ou une chose dans leur qualité.

Ainsi, si le négatif chez Hegel apparaît comme abstrait, le négatif chez Hume fait partie d’un réseau concret d’échanges, de paroles et de pratiques. Comme je le disais, ce négatif a la particularité d’avoir des effets concrets. Alors que le mouvement dialectique est un mouvement de pure logique, selon Deleuze, l’empirisme est davantage porteur d’une négation faisant partie de logique des relations où les concepts émergent de rencontres pratiques, aléatoires, fruits de l’expérience sensible.

La deuxième étape de cette critique du négatif hégélien se trouve ensuite dans Nietzsche et la philosophie (1962) et La philosophie critique de Kant (1963). Deleuze critique tout d’abord la fonction de la négation dans le projet critique kantien. Ces deux livres sont à lire de concert : Deleuze joue Nietzsche et ce qu’il nomme « la symptomatologie » contre Kant et la critique vue comme tribunal de la raison. Concrètement, Deleuze pense notre relation au monde, aux choses, aux objets littéraires. Doit-on les approcher, les analyser en utilisant la critique ou selon une clinique, qu’il nomme aussi une symptomatologie ?

Pour le dire de manière très condensée et schématique, Deleuze critique la critique kantienne car c’est une fausse critique : la critique entendue comme un jugement de choses vraies et de choses fausses, pose un problème de fond : la raison n’est elle pas à la fois jugée et juge elle-même ? La raison juge de ses propres fins, est actrice et spectatrice, juge et partie. Ainsi, l’on peut facilement diagnostiquer la faiblesse de la critique kantienne.

Deleuze pense la faillite de la critique kantienne en proposant une alternative : la vraie critique n’est pas un tribunal de la raison (c’est-à-dire la critique, ce n’est pas juger si cela est vrai ou faux), mais plutôt une expérimentation d’idées, relevant d’un constructivisme de la pensée. C’est ce qu’il nomme la clinique, qui est un type de critique qui a lieu non pas dans un tribunal, mais dans « un espace dynamique (…) défini d’un point de vue d’un observateur lié à cet espace, et non d’une position extérieure ». La posture intellectuelle de Deleuze n’est pas de juger les œuvres, mais de déceler leur potentiel d’expérimentation. Ainsi d’un côté, la négation est l’instrument du jugement. Et de l’autre côté, la négation va être l’outil d’une expérimentation.

A partir de là, si on considère la négation dans un contexte clinique, on peut dire que Nietzsche s’impose à Deleuze comme le philosophe-artiste-médecin de la civilisation dont une des tâches est une critique de la culture, qui passe par une clinique, une attention portée aux symptômes, aux représentations, aux affects qui constituent la crise morale de la civilisation. La philosophie n’a pas d’autre nécessité que la critique du monde – mais cette tâche critique passe par une logique des rapports de force et non par le jugement – et c’est précisément ce qui est appelé clinique. De cette manière, la clinique ne cesse d’être encadrée par le problème de la critique, en restituant les dynamismes du monde, dressant une typologie des forces, une symptomatologie des phénomènes, des modes collectifs d’existence, des formations sociales, des agencements pratiques.

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

Si tu fais les demandes et les réponses, tu es sûr d'avoir raison, à la fin !

Hitler, pouah ! et Staline, pouah aussi !

Il n'empêche qu'il nous est difficile même aujourd'hui de faire la part de la CALOMNIE capitaliste

(Je cois que tu aimes bien ce mot !) à l'égard du communisme et la réalité vécue.

Pour moi, je suis communiste en ce sens que je pense (peut-être bêtement) qu'il est plus sain de partager que d'être égoïste...

( Tu vois que mon idéologie ne va pas très loin !)

Peut-être que logiquement il est nécessaire et plus efficace pour une société que ceux qui travaillent (vraiment), la majorité soient exploités par une petite élite sociale. Peut-être. Mais a priori, je trouve ça injuste. Et je pense qu'il faudrait inventer une autre forme de partage.

Mais j'en reviens à la calomnie ou à la propagande capitaliste anti-communiste.

Un exemple.

J'ai plusieurs fois entendu les propagandistes du libéralisme nous dire que derrière "le rideau de fer", du temps de l'URSS, la sexualité était triste.

C'est le meilleur moyen de déprécier une société, ça. LE SEXE ! Là-bas, ils baisaient triste !

On est sûr de rallier un consensus, comme ça.

Il se trouve que j'ai une copine à l'époque Tchécoslovaque, qui a vécu ces années-là, là-bas.

Son témoignage :

"Putain, qu'est-ce qu'on s'est amusé quand on était jeunes ! C'était de la folie !"

Voilà.

Faisons la part des choses.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

M'enfin ta part des choses, elle répond aux binaires qui se font une idée du monde mais surtout des gens en deux camps : capitaliste ou communiste.

Bref, c'est la logique du Parti.

Sauf que les gens, c'est pas comme ça, même s'ils pensent un max de conneries, dont ton exemple de baise à l'Est par exemple. Y'a pas les gentils et les mechants.

A part ça moi je crois pas que ça me dérangerait une société communiste, disons juste et égalitaire histoire de pas confusionner les mots. Seulement faut voir qui définira la justice et l'égalité dans cette affaire.

La justice, ça commence avec la souffrance non ?

Qui c'est qui dit les besoins de Joe Bousquet par rapport aux miens ou aux tiens ?

Qui c'est qui dit la souffrance ?

Pas Staline en tous cas !

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

On est d'accord !

La binarité ça manque de finesse... Ou de vie.

Mais l'ordi sur lequel je tape, lui, ne comprend que les 1 et les 0 !

Et ça marche !

Il y a le proverbe : "De deux maux il faut choisir le moindre".

Je me suis parfois plu à dire : "De deux maux je n'en choisis aucun !"

C'est un peu une posture.

Mais je crois bien que si au second tour on a la Le Pen et Sarko, je ne me dérange pas...

Je crois...

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