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Mme Supermarché


pilouetpilou

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pilouetpilou Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
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Le pape Léon XIII critique lelibéralismeet son régime de concurrence effrénée qui réduit les ouvriers à la misère

Sur les pas des catholiques sociaux tels que Frédéric Ozanam, il se saisit de la questionouvrière, et dans l'encyclique Rerum Novarum,du 15 mai 1891, il dénonce d'unepart comme étant un mal « la concentration entre lesmains de quelques-uns de l'industrie et du commerce, devenus le partage d'unpetit nombre d'hommes opulents et de ploutocrates,qui imposent ainsi un joug presque servile à l'infinie multitude des prolétaires »

La période de parution de l'encycliqueest marquée par l'émergence et le développement, principalement en Europe de l'industrialisation.Cette industrialisation conduit à une modification importante de lasociété : apparition de moyens de communication plus rapides (télégraphe,chemin de fer…),de l'électricité, mais aussi de la production. Cetteindustrialisation va voir apparaître une nouvelle catégorie, celle des ouvriers.Les ouvriers deviennent une réalité sociale, mais aussi une source decontestation : révolution de 1848, Commune de 1871, manifestations violentes(par exemple, à Fourmies), émeutes de Chicago en 1886, etc.

Dans cette période, laquestion sociale fait l'objet de réflexions et de démarches de chrétiens etd'hommes d'Église Mgr von Ketteler,en Allemagne,le cardinal Manning en Angleterre,le cardinal de Bonald, en France,développent une pensée chrétienne sociale. Ils contribuent à encourager ledéveloppement de mouvements d'action et de réflexion fait par des chrétienslaïcs, favorisant l'émergence des « catholiques sociaux »[1].

L’industrialisation et la mondialisation ou plutôtla mondialisation de l’industrialisation a entrainé la « qualité desbiens » d’une façon générale vers le bas au profit des gains.

On parle d’industrie de l’alimentaire, de la mode etmême du cinéma, c’est dire !!

A quand les grands patrons (capitaines d’industrie,mon dieu que d’honneur !) de la peinture, de la sculpture, de l’art engénéral ?

L’immédiat après-guerre voit l’instauration du planMarshall qui sous prétexte d’aider au rétablissement européen a permis uneforte croissance économique et le maintien du plein emploi aux états unis alorsque l’industrie de guerre dans ce pays refonctionnait au ralenti après 1945.

Ce plan basé sur le principe du crédit, avec lacomplicité du F.M.I., provoqua en Europe et bientôt dans le monde entier unenouvelle façon de vivre (le crédit consacre l'existenced'une detteet ouvre la mise à disposition d'une ressource financière à caractèretemporaire).

Ainsi les foyers font desemprunts dits « à tempérament » pour acquérir toutes sortes d’objetsnotamment électroménagers (« frigo », lave-linge, robot de cuisine,aspirateur …) mais aussi des automobiles, production en masse des Etats-Unisavec les « belles américaines » qui sillonnent les routes de France jusqu’àla fin des années 60 ainsi que les tracteurs rutilants dans nos campagnes.

Ce fut également le début dela surproduction alimentaire avec l’ouverture des premiers supermarchés dansles années 70 et en conséquence la fermeture des petites épiceries.

Pour faire fonctionner cettesurproduction associée à la « grande distribution » on obligea lescultivateurs à s’installer à grande échelle (modèle américain) et a saturéleurs plantations d’engrais en tous genres et on ne parlait pas encore deproduits génétiquement modifiés (O.G.M.) mais les expériences commençaient encachette.

On nous dit d’ailleurs depuis que l’invention de cesnouveaux produits alimentaires serviront à nourrir les pays du tiers monde,quelle générosité, quel intention altruiste (l'altruisme est un termeemployé pour décrire un comportement caractérisé par des actes n'ayantpas d'avantages apparents pour l'individu qui les exécute mais qui sontbénéfiques à d'autres individus)

Non sans blague !

Les éleveurs suivent aussi lemême chemin, les vaches devront produire 4 fois plus de lait, l’inséminationartificielle permet d’obtenir plus de viande qu’il n’en faut et les farinesdeviennent animales (la boucle est bouclée, argent facile) et arrive la viandefolle !

Les conséquences outre cellesdéjà citées sont un gaspillage sans cesse croissant, des produits de plus enplus frelatés, sans gouts, dangereux, la main mise des grands groupes dedistribution sur les exploitants qui s’endettent tant et plus (on vit toujoursà crédit !) .

En 1970, suite à une demandedu club de Rome, une équipe du M.I.T. (MassachusettsInstitute of Technology) étudie un modèle informatique de type« dynamique des systèmes » publié en 1972 sous le nom de «rapportMeadows » ou « limites de la croissance ».

Il souligne notamment lesdangers écologiques de la croissance économique liée à la croissancedémographique prévoyant (rappel : suivant un modèle mathématique)l’épuisement des ressources terrestre si la croissance (traduisez parsurconsommation à tout va) se poursuit exponentiellement.

Suite à ce travail très intelligent,il y a eu une vive émotion (feinte) des grands dirigeants mondiaux et égalementde vifs débats chez bon nombre d’économistes.

Un seul paramètre cependantmanquait à mon avis dans ce beau modèle informatique à savoir la cupidité deshommes qui elle croit exponentiellement et sans aucune limite connue.

L’argent (monnaie), bonneidée au départ pour échanger entre individus est devenu la religion actuellequi a le plus de croyants avec ses saints (difficile à trouver) mais surtout sesdémons (faites vous-mêmes le tri) : traders, grands capitainesd’industrie, super chef de start-up, spéculation, blanchiment, détournement,corruption, paradis fiscaux…..

L’industrieuse chevalerie del’argent (magnifique formule entendue à la radio sur France Culture) à la placedes vertus nobiliaires, d’idées qui méritent d’être défendues, d’idéologies.

Rien de tout cela n’existeplus, seul compte l’argent roi.

Comment réagir, comment s’ensortir ?

Il faut brider la cupiditéhumaine, s’offrir la possibilité de raisonner sans elle, supprimer le nerf qui l’alimente à savoir : l’argent.

Et c’est cette idée simplequ’il suffirait de mettre en œuvre pour que tout retrouve du sens et de laqualité, il suffit de supprimer l’argent.

Plus d’argent donc plus decupidité, c’est simple.

Cette idée est développéedans le petit texte qui suit, intitulé : « Mme Supermarché »

Titre :Mme Supermarché

Comme à l’accoutumée MmeSupermarché s ‘en va dans son grand magasin favori (vous savez celui ou lavie est plus jolie).

Ce matin la, elle arrivetoujours à l’ouverture, y règne une ambiance particulière, elle n’y prête pasattention concentrée qu’elle est sur son rituel quasi religieux d’achats,toujours les mêmes produits (lessives, conserves, légumes conditionnés, pains industriels,poulets élevés en batterie ….)

Son circuit terminé, elle nerencontre pas, à son grand étonnement ce matin là, les quelques amis avec quielle parlotte toujours des mêmes sujets induits par les médias (vous savez ceuxqui donne la parole aux auditeurs)

Elle se dirige vers lescaisses, pas de caissières !! seul Mr Costaud assure la sécurité et luiexplique que tous les produits sont désormais gratuits et ceci à volonté.

Quoua !!! (à la Coluche)s’exclame t-elle, déstabilisée, énervée, presque contrariée elle se fait répéterpar l’homme aux biceps qui fidèlement récite sa leçon.

Elle rentre chez elle plusvite que d’habitude et alarme Mr Grossevoiture, son époux, et son filsSupervidéo.

Tous trois repartent illicoavec les deux voitures vides (sièges arrières retirés), et les remplissent àsaturation et recommence ainsi cinq fois le voyage.

Ceci prend toute la matinée,ils alertent alors (seulement) le reste de la famille et amis, lesquelsconfirment que cela se passe également dans les autres magasins :électroménager, concessionnaires automobiles, boutiques de vêtements,informatique ….

Ils soulignent cependant lapanique engendrée, bousculades et bagarres ça et là.

Toute la ville est eneffervescence pendant plusieurs jours et même les nuits (certains essayent devoler ce qui sera gratuit le lendemain).

Cette boulimie de bien être(soi-disant) se propage à toutes les couches sociales, certains telle MmeHypermarché (meilleure amie de Mme Supermarché) ne sait plus ou entasser lesproduits, elle casse même un téléviseur en l’empilant sur les dix déjà présentsdans sa chambre.

Qui a donc eu cette idéesaugrenue à laquelle tous les marchands adhérent puisque celui qui fait payern’a évidemment plus un seul client, d’ailleurs les mots marchands et acheteursne veulent plus rien dire.

Mr Grossevoiture et sescopains, logiques et pragmatiquement fainéants, en concluent qu’il n’est plusutile de travailler, seuls les gouvernants du pays continuent, pour ne pasperdre leur pouvoir, à assurer leurs fonctions mais lesquelles au juste ?

Les denrées alimentairesdiminuent rapidement, les stocks familiaux si facilement acquis s’épuisent.

Les intellectuels de touspoils, les médias qui veulent conserver leur chère influence (on ne saitjamais, si tout redevient comme avant) n’arrêtent pas totalement leurs activités,les idées les plus folles circulent : l’effort est vain, la valeur travailn’existe plus, le monde s’écroule ….

Il faut bien manger et boirecependant, Mr Champdeblé et ses comparses agriculteurs reprennent en premier eten autarcie leurs cultures et élevages.

Un nouveau troc s’installesur les produits de première nécessité.

Mr Grossevoiture n’entendspas pour autant diminuer son niveau de confort (climatisation, chauffage,carburant, lit télécommandé, home vidéo…)

Il en discute avec sescopains Philosof et Scientic qui proposent la solution évidente, à savoircontinuer ainsi sans argent mais en reprenant le travail.

Attention dit Philosof,chacun devra travailler mais dans son domaine d’excellence et ainsi trouverason bien être.

Génial dit Scientic, les progrèsn’iront plus à l’encontre de l’humanité puisque le profit financier auradisparu et la recherche avancera très vite.

Alors vint le temps de laréflexion : si on cultivait, élevait que le nécessaire pour bien vivre etsi en plus tout restait accessible à tous et gratuitement ?

Mais attention ! il nefaudrait pas que l’on mange des produits frelatés, ni artificiels mais biensélectionnés et surtout le plus naturels possibles.

Evidemment il ne peut enêtre autrement, il ne manquerait plus que ça que l’on s’empoisonnegratuitement !

Oui mais et ceux (lesfainéants) qui préféraient jadis travailler dans leurs bureaux bienchauffés !

Et bien qu’ils y retournentmais à condition que ce soit des services nécessaires, l’ANPE ne se justifie plus.

Il faut bien que lesgaragistes et autres carrossiers réparent nos véhicule flambant neufs, quoiquesi les fabricants si remettent à leurs chaînes, on pourrait avoir toujours desvoitures neuves dés le moindre petit accro ou dés la première panne, il faudraquand même que certains s’occupent à recycler toute cette ferraille.

Pourquoi pas les anciensvoleurs et gendarmes car ils n’auront plus rien à voler donc on ne pourra plusrien leur reprocher ( remettez chacun dans l’ordre).

Les travaux publics euxpourraient bien entendu s’y remettre mais attention il faudra commencer pardétruire les péages et élargir les routes

Les chirurgiens auront peutêtre toujours quelques accidentés de la route pressés de courir après le temps(les vieux réflexes sont tenaces)

L’espoir que les chercheursenfin libérés de leurs satanés budgets nous trouveraient bien quelques remèdesmiracles pour toutes ces saloperies de maladies et qui sait si elles nediminueraient pas par une meilleure qualité de vie (produits alimentairessaints, moins de stress…)

Il faudrait toujoursquelques enseignants (des bons) pour reformer les tètes des futurs chercheurs,chirurgiens, mécaniciens, vendeurs (excuser c’est une erreur) et encore biend’autres professions (seulement les indispensables)

Et l’essence ! heinl’essence ! Ah le voilà le défaut dans la cuirasse de cette utopie !

Pas sure, car la qualité devie ne passerait plus par le gain en tout genre et les idées de remplacement nemanqueraient pas (moteur électrique ….) puisque ne l’oublions pas rien ne nouspresserait : il suffirait de produire seulement en fonction de nos besoins(les premiers temps d’émoi collectif avec nos 20 postes informatiques dans lamaison seraient bien loin à présent et ainsi d’éviter le gaspillage (d’ailleursce mot disparaîtrait du vocabulaire)

Attention il ne faudrait pasoublier de se reposer, le comble serait que nous n’en sentions plus lebesoin ! C’est que nous deviendrions de plus en plus exigeants pour nousmême, pardi.

Mr Grossevoiture, toujourssoucieux de son petit univers douillet y trouva également son compte car toutela nourriture frelatée qu’il mangeait par plaisir serait aussi la plus sainepossible, en effet il n’y a plus rien à gagner donc consommons le meilleur.

Deux anciennes relations peufréquentables Mr Volalatire et Mr Banquier s’inquiétèrent fortement par voie deconséquence de même que Mr Jean d’arme et Mr Pub.

En effet toutes ces professions(non métiers) disparaissaient de fait.

Que faire ? et bientravailler à rendre ma voiture encore plus confortable et performante réponditMr Grossevoiture ; pourquoi pas ?

Ou bien écrire des livres,réaliser des émissions télévisées plus intelligentes.

Et les jeux d’argent !!mon dieu (existait-il encore ?), ces fameux jeux plus que débiles supposésapporter le bonheur, ils n’avaient plus qu’à « se rhabiller ».

L’épanouissement (oubonheur) résidait à présent dans le fait d’exercer un travail qui produiseseulement le nécessaire et cela le mieux possible puisque nous en étions lespremiers bénéficiaires mais également à fournir le superflu, à redéfinir,autant que désir le souhaiterait.

Les gouvernants sentantleurs raisons d’être diminuer puisque les notions de classes sociales, économiemondiale, partage des richesses….disparaissaient se réunir lors d’une énormeassemblée mondiale afin d’y réfléchir.

Dans leur groupe ladépression s’installa rapidement, en effet le seul domaine qu’il restaitéventuellement à contrôler était de traquer les « tir au flanc »quine voulaient pas travailler mais même ceux la, étaient en nombre négligeablepuisqu’à présent le travail n’était plus imposé mais choisi, le médecin avaitla même reconnaissance (aucun salaire) que le garde champêtre ou le berger (ehoui certains métiers très utiles revenaient)

Même Mr Mandarome, grandgourou devant son éternel déprima

Et s’il y a trop de bergerset pas assez de médecins rétorqua

MrLeprésidentdelagrandenationimpéraliste certain alors de tenir la faille à cenouveau système qu’il ne contrôlait plus.

C’est tout simplementrépondit Mr Lechefdelapetiterépublique qu’il y a certainement moins de gensmalades.

Plusieurs crises de nerfss’en suivirent dans cette honorable assemblée.

Mr Grosserépubliquebananièredit alors : il faut trouver celui qui a eu cette idée ou encore l’auteurde ce texte et le tuer.

A l’unanimité, cetteproposition fut approuvée par vote démocratique.

c. T

Livrede la Sagesse chapitre 7

leLivre de la Sagesse fait parti des livres Deutérocanoniques et sont de l'Ancientestament

J’ai été élevé dans les langes, avecsollicitude.

Enfait, aucun roi n’a connu d’autre début dans l’existence :

pourtout être humain, il n’y a qu’une façon d’entrer dans la vie, et une seule d’ensortir.

Aussi j’ai prié, et le discernement m’a étédonné. J’ai supplié, et l’esprit de la Sagesse est

venu en moi.

Je l’ai préférée aux trônes et auxsceptres ; à côté d’elle, j’ai tenu pour rien la richesse ;

je ne l’ai pas comparée à la pierre la plusprécieuse ; tout l’or du monde auprès d’elle n’est

qu’un peu de sable, et, en face d’elle,l’argent sera regardé comme de la boue.

Plus que la santé et la beauté, je l’aiaimée ; je l’ai choisie de préférence à la lumière, parce

que sa clarté ne s’éteint pas.

Tous les biens me sont venus avec elle et, parses mains, une richesse incalculable.

Je me suis réjoui de tous ces biens, lessachant gouvernés par la Sagesse ; j’ignorais pourtant

qu’elle en était aussi la mère.

Ce que j’ai appris sans calcul, je le partagesans réserve, je ne veux rien dissimuler de ses

richesses : la Sagesse est pour les hommes un trésorinépuisable.

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Zelig Membre 5 446 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Les régimes communistes étaient encore bien plus destructeurs de l'environnement, gâchaient comparativement bien plus de ressources et matières premières que leurs homologues capitalistes de l'ouest.

Donc tu vois, même en "supprimant l'argent", l'écologie aurait toujours un problème.

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castet-barou Membre 2 254 messages
Mentor‚
Posté(e)

Les régimes communistes étaient encore bien plus destructeurs de l'environnement, gâchaient comparativement bien plus de ressources et matières premières que leurs homologues capitalistes de l'ouest.

Donc tu vois, même en "supprimant l'argent", l'écologie aurait toujours un problème.

On a un exemple avec le regime Cubain qui à l'époque soviétique et pour sa réussite économique a rasé la foret du pays pour atteindre des objectifs de production en canne à sucre , en union sovietique la nature est restée vierge , de grandes forets en Russie qui n'ont soufferts qu'a partir de "l'époque capitaliste " , le capitalisme et l'exploitation des ressources jusqu'a épuisement totale des ressources ,voila le pire scénario pour la planete sans aucune mesure avec des pays pauvres communistes imcapables d'une destruction industrielle de la nature . a part l' exemple Cubain les pays de meme régimes ont une nature préservée , comme la majorité des pays pauvres .

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Membre, Posté(e)
Zelig Membre 5 446 messages
Baby Forumeur‚
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On a un exemple avec le regime Cubain qui à l'époque soviétique et pour sa réussite économique a rasé la foret du pays pour atteindre des objectifs de production en canne à sucre , en union sovietique la nature est restée vierge , de grandes forets en Russie qui n'ont soufferts qu'a partir de "l'époque capitaliste " , le capitalisme et l'exploitation des ressources jusqu'a épuisement totale des ressources ,voila le pire scénario pour la planete sans aucune mesure avec des pays pauvres communistes imcapables d'une destruction industrielle de la nature . a part l' exemple Cubain les pays de meme régimes ont une nature préservée , comme la majorité des pays pauvres .

Tu es quand même au courant que lors de la dernières décennie de son existence (les années 80), les habitants de l'URSS consommaient individuellement plus de charbon, de gaz et de pétrole que n'importe quel autre pays européen de l'ouest, France, Allemagne ou Grande-Bretagne inclus ?

Le record du monde de consommation par habitant en 1985, loin devant les USA, c'était la république socialiste de Tchéchoslovaquie.

C'était un gâchis spectaculaire et monumental. Même l'Allemagne de l'est, malgré sa pauvreté, était plus énergivore que son homologue de l'ouest.

Et si tu te confrontes aux infrastructures industrielles héritées de cette époque, ce n'est pas une surprise.

L'URSS, c'est une catastrophe écologique absolue. On ne pensait pas écologie à cette époque. Et le régime qui a suivi, ce n'est pas forcément tellement meilleur, puisque la Russie rejette toujours bien plus de CO2/habitant/an que l'Allemagne.

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pilouetpilou Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Tu es quand même au courant que lors de la dernières décennie de son existence (les années 80), les habitants de l'URSS consommaient individuellement plus de charbon, de gaz et de pétrole que n'importe quel autre pays européen de l'ouest, France, Allemagne ou Grande-Bretagne inclus ?

Le record du monde de consommation par habitant en 1985, loin devant les USA, c'était la république socialiste de Tchéchoslovaquie.

C'était un gâchis spectaculaire et monumental. Même l'Allemagne de l'est, malgré sa pauvreté, était plus énergivore que son homologue de l'ouest.

Et si tu te confrontes aux infrastructures industrielles héritées de cette époque, ce n'est pas une surprise.

L'URSS, c'est une catastrophe écologique absolue. On ne pensait pas écologie à cette époque. Et le régime qui a suivi, ce n'est pas forcément tellement meilleur, puisque la Russie rejette toujours bien plus de CO2/habitant/an que l'Allemagne.

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pilouetpilou Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
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Le texte "Mme Supermarché" n'a aucun lien direct avec l'Ecologie si ce n'est que d'après la philosophie ou mode de vie qui y est développé, nous n'aurions plus de produits frelatés, plus de surproduction, plus de pesticides, plus de transports inutiles générateurs de CO2 à travers le monde, plus de profits illégaux, plus de gains faramineux etc ... puisqu'il n'y a plus rien à gagner en termes d'argent, d'ailleurs le mot gain disparaît de notre langage.

Merci de répondre, vos commentaires m'intéresse.

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pilouetpilou Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
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Le texte "Mme Supermarché" n'a aucun lien direct avec l'Ecologie si ce n'est que d'après la philosophie ou mode de vie qui y est développé, nous n'aurions plus de produits frelatés, plus de surproduction, plus de pesticides, plus de transports inutiles générateurs de CO2 à travers le monde, plus de profits illégaux, plus de gains faramineux etc ... puisqu'il n'y a plus rien à gagner en termes d'argent, d'ailleurs le mot gain disparaît de notre langage.

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