Le djihadisme est une révolte générationnelle et nihiliste

Regarde cette vidéo

Mon lien

Je l'ai vue. C'est une marée humaine venant de tous les pays et pas seulement des "réfugiés" Syriens comme on veut bien nous le faire croire. Le prêche de l'imam ne laisse aucune ambiguité quand aux ambitions de lislam en Europe : Ils veulent nous mettre à la porte ! Charles Martel, Eudes, à la rescousse !!!!

effectivement.

Et les terroristes étaient français et étaient désocialisés.

Quartiers d'immigration, pauvreté.

Les secondes générations oui... Encore que le fait de trafiquer pour le dieu argent et rêver de voitures de sport ça ferait plutôt d'eux des petits libéraux.

Reste les convertis, issus de la classe moyenne.

effectivement.

Et les terroristes étaient français et étaient désocialisés.

Quartiers d'immigration, pauvreté.

Après je ne les considères pas comme français ,la pièce d'identité n'excuse pas tout ,un traitre est un traitre ,il perd donc ce titre et doit etre executé sur le champs dès que son implication est avéré .

Valls a dit aussi qu'il n'y avait pas de cause sociale au Djihadisme

http://www.lcp.fr/actualites/politique/177233-apres-les-attentats-l-executif-se-detourne-des-justifications-sociales

Enfin cette justification absurde est abandonnée. C'est trop facile d'excuser la violence par la pauvreté.

Cependant il y a quand même un apartheid culturel à Marseille, où les pouvoirs publics font tout pour retarder la construction de métros vers les quartiers nord, même quand le PS est aux commandes.

Et il existe un choc culturel, qui n'a rien à voir avec l'islam : déjà en France, nos enfants ne sortent que pour aller d'un point A à un point B, ils ne sortent pas à l'aventure, au hasard des rues, à traîner comme les jeunes maghrébins, qui ont conservé les traditions de pays où le climat est favorable et où la rue est chaleureuse.

Ici il faut qu'ils cessent de foutre leurs enfants dehors, c'est pas comme ça qu'on élève les enfants, ou plutôt qu'on s'en débarrasse... il faudrait aussi, que le père maghrébin, qui par tradition parle peu avec ses enfants et adopte un rôle d'autorité statufiée ou de père absent, devienne comme le père français, qui parle de tout, qui lit, qui s'intéresse, qui parle aussi avec sa femme, de manière ouverte, sans jouer le rôle du chef de famille intouchable... Il faut que cette population sorte du jeu de rôle et de genre.

Sinon sur l'article du monde, c'est vrai, il y a ce nihilisme, qui est dû aussi aux informations et aux journalistes : les gros titres du journal de 20 heures, c'est l'économie, le fric, un réel austère qui ne donne pas foi en l'humanité. Les recherches passionnantes, scientifiques, en sciences humaines, tout ce qui est dans l'élévation est relégué au second plan et les jeunes ne voient de notre monde, qu'un aspect consumériste et cupide, qui les fait vomir et leur donne envie de le détruire.

C'est surtout que Valls est comme tous les politiques : il se détourne d'un discours qui serait trop défavorable à sa côte de popularité.

La réalité c'est que les éléments sociaux comme la pauvreté, l'exclusion, le chômage etc... peuvent être des déclencheurs provoquant une radicalisation, mais que le probleme de fond reste un problème religieux et islamique, qu'on le veuille ou non.

La clé du problème réside dans la promotion d'un islam respectueux de nos valeurs, ce qui impliquerait de former nos imams, d'interdire le salafisme, d'obliger l'islam à se réformer profondément et durablement dans son idéologie, de renoncer à certains concepts ou certaines fatwas par soucis de modernité, etc.. etc...

Expliquer exclusivement en termes de problèmes sociaux et économiques serait une erreur profonde.

c'est surtout faire l'autruche que de vouloir réduire l'impact d'un contexte socio économique qui aggrave profondément un problème d'identité, on ne peut pas dire "c'est uniquement leur faute et c'est plus des humains".

Depuis des décennes on ignore soigneusement la xénophobie latente, combien de fois a t'on vu un immeuble, une rue, un quartier même se liguer tacitement pour exclure de nouveaux arrivants parce qu'ils ont un nom ou un accent ou encore une couleur de peau différents ?

L'islamisme radical se nourrit de ce sentiment d'excusion et surtout quand cette exclusion est double, dans le pays de naissance et également dans le pays d'origine de la famille, le problème c'est que les dégats sont la et on commence tout juste a en mesurer l'étendue

Tout le monde est responsable de ce désastre

http://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/moi-le-coran-je-men-tape-les-jeunes-djihadistes-dirig%c3%a9s-par-une-soif-de-violence-pas-par-lislam/ar-AAfIIeq?li=AAaCKnE

c'est surtout faire l'autruche que de vouloir réduire l'impact d'un contexte socio économique qui aggrave profondément un problème d'identité, on ne peut pas dire "c'est uniquement leur faute et c'est plus des humains".

Depuis des décennes on ignore soigneusement la xénophobie latente, combien de fois a t'on vu un immeuble, une rue, un quartier même se liguer tacitement pour exclure de nouveaux arrivants parce qu'ils ont un nom ou un accent ou encore une couleur de peau différents ?

L'islamisme radical se nourrit de ce sentiment d'excusion et surtout quand cette exclusion est double, dans le pays de naissance et également dans le pays d'origine de la famille, le problème c'est que les dégats sont la et on commence tout juste a en mesurer l'étendue

Tout le monde est responsable de ce désastre

C'est surtout que tu n'as rien compris de mon propos qui ne réduit absolument pas l'impact du contexte socio économique (j'ai parlé de déclencheur) mais qui explique qu'il y a aussi des facteurs religieux et culturels. C'est un échec du multiculturalisme plus encore qu'un échec de la politique économique et sociale. Certains terroristes étaient parfaitement intégrés et possédaient de bonnes connaissances dans certains domaines, si bien que nous n'aurions jamais pu soupçonner leur appartenance à une mouvance djihadiste.

Les problèmes socio-économiques sont un élément incontournable et déclencheur, mais sans la religion islamique qui fournit un terreau considérable à ces salopards, le problème ne se poserait clairement pas. Sinon nous ne comprendrions pas que la France rurale subissant des taux de chômage très élevés ne produise pas les mêmes types d'individus.

Le prétexte islamiste n'est qu'une apparence comme une autre, ç'aurait pu être une autre cause, la question serait plutôt pourquoi ce prétexte a pu faire son nid dans tant de têtes ?

C'est surtout que tu n'as rien compris de mon propos qui ne réduit absolument pas l'impact du contexte socio économique (j'ai parlé de déclencheur) mais qui explique qu'il y a aussi des facteurs religieux et culturels. C'est un échec du multiculturalisme plus encore qu'un échec de la politique économique et sociale. Certains terroristes étaient parfaitement intégrés et possédaient de bonnes connaissances dans certains domaines, si bien que nous n'aurions jamais pu soupçonner leur appartenance à une mouvance djihadiste.

Les problèmes socio-économiques sont un élément incontournable et déclencheur, mais sans la religion islamique qui fournit un terreau considérable à ces salopards, le problème ne se poserait clairement pas. Sinon nous ne comprendrions pas que la France rurale subissant des taux de chômage très élevés ne produise pas les mêmes types d'individus.

L'article ne parle à aucun moment du multiculturalisme... mais en plus il s'agit principalement d'un conflit interne à l'Islam: la révolte des jeunes qui ne veulent pas de l'islam modéré de leurs parents.

Dans les années 50 à 80 les jeunes n'avaient pas le djihadisme mais l'extrême droite pour poser des bombes... puis dans les années 70 à 80 c'était des attentats d'extrême gauche. Rien à voir donc avec le multiculturalisme, c'est, toujours d'après l'article, générationnel... et quand bien même on supprimerait totalement l'islam de la surface de la planète, il y aura toujours une poignée de jeunes pour se révolter contre la société et se faire embrigader ici et là par des mouvements extrêmes.

Et c'est pas les bouffeurs de cerveaux qui manquent, rien qu'avec les sectes y'a de quoi faire

Je pense qu'on peut parfaitement associer daesh à une secte. Surtout qu'ils vont cibler leurs victimes en fonction de leur mécanisme... l'humanitaire pour les uns... les grosses bagnoles et les flingues pour les autres... donner un sens à sa vie pour bidule... offrir une figure masculine rassurante à truc...