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Mon premier roman policier


Harper-Trophy

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Membre, Posté(e)
Harper-Trophy Membre 10 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Salut à toute et à tous! suis nouveau dans ce forum entant que Harper-Trophy et espère passer de bon moments en votre compagnie. l'activité qui me passionne le plus est l'écriture et j'écris présentement mon premier roman policier. je vous partage le prologue. sa me fera énormément plaisir que vous le lisiez et j'attend impatiemment vos remarque et encouragements s'il y a lieu. merci d'avance!

PROLOGUE

La deuxième guerre mondiale eu réputation d’être sans merci, plutôt même cruelle. Les douleurs et tourments qu’elle infligea laissèrent des dégâts et cicatrices incommensurables dans les cœurs et les rues des paisibles citadins, elle n’épargna guère le quotidien des campagnards. Les petites pièces de monnaies devinrent de plus en plus campagnes de certains hommes et femmes plutôt chanceux, et ce au détriment des autres qui furent sans le vouloir prisonniers et assujetti à des maux irratio nnels et presque condamnés à une forme de vie démunie d’espérance . Nos bienheureux, héritiers des vestiges des champs de batailles, riches dans un environnement peu prometteur, se servirent alors de leurs stocks ayant de manière chanceuse échapp ée aux longues mains de ceux qui provoquaient les bruits de bottes dans les rues du sud de la Bretagne, pour se racheter ces pays plats et découverts, considérés surtout par rapport à leurs cultures, à leur productions. Quoi de mieux qu’un important investissement dans le secteur agricole pour relever ce qui reste de l’économie nationale, et se remplir les poches à une époque où l’industrialisation dicte ses règles de jeux. Le hasard, si on peut le désigner de la sorte, a ainsi épargné à certaines familles, surtout à celles d’un certain rang social, le goût du pain d’affliction offert d’un cœur joyeux et plein d’enthousiasme par le milieu du XXème siècle à la terre toute entière en générale et particulièrement à celle de l’occident. C’est de ce rang favorisé par la chance qu’appartenait cette dame blonde aux yeux bleus, et dont la générosité semblait dépasser toute attente. L’aspect de son visage pouvait bien accuser une vieillesse qui naissait mais sans pour autant effacer les traces d’une vraie séductrice aux yeux révolver. Derr ière son apparence féminine et innocente se cachait une détermination sans limite et ceux qui avaient la chance d’être à son service laissaient entendre dire qu’elle coordonnait d’une main de fer main avec un cœur en or. On disait que chaque matin, Dame Marilyn Jefferson, puisque c’est ainsi qu’elle se nommait, maitresse de la villa Jefferson communément appelée villa ovale à cause de la forme de son architecture, avait pour habitude de se rendre à la chapelle de North Street, occasion pour elle de se recueillir avant d’embrasser ses longues journées de travail. Selon le constat des vieux amis de la famille Jefferson et surtout ceux ayant connus Sir Abraham Jefferson, défunt père à Dame Marilyn, qui disparut bien longtemps avant la seconde guerre mondiale, celleci, serait l’identique reproduction de son père, elle portait en elle toute sa personnalité, Homme de nature calme ayant appris à s urmonter les hauts et repriser les bas, Homme considérant l’adversité comme moyen de progression et surtout ennemis de la peur. Le printemps sonnait à peine à la porte, l e soleil s’était levée de bonne heure, les hirondelles gazouillaient déjà… ce fut un mardi matin qui ne se distinguait en rien des autres. On se rappellera que les paroles du curé de la chapelle Saint Mary Eliz abeth se résumait, ce matin-là, en l’amour que devait faire preuve chaque être humain envers son prochain. Et si seulement les fameux auteurs de ce qui s’apprêtait à être une tragédie pour tout Bray Island eurent aussi entendus, ce matin-là les divines pa roles du curé, alors peut être que le récit qui va suivre n’aurait pas apparu dans les annales de la police du sud de la Bretagne, et peut être même que son Bigelow Tea lui aurait encore été servi le soir du jour après, peut être que le diable ne s’en aurait pas mêlé…

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 179 messages
79ans‚ Talon 1,
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Dans conjugaison, il y a "joug", instrument symbole de l'esclavage. Vous vous êtes émancipé. Je ne sais pas si votre oeuvre en sera meilleure.

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Membre, Posté(e)
Harper-Trophy Membre 10 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Dans conjugaison, il y a "joug", instrument symbole de l'esclavage. Vous vous êtes émancipé. Je ne sais pas si votre oeuvre en sera meilleure.

Merci pour le commentaire Talon 1. là, je ne suis qu'au premier chapitre, et je doit revoir bcp de chose. j'ai encore un long chemin devant moi.

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Membre, 67ans Posté(e)
indolent Membre 190 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)

Salut à toute et à tous! suis nouveau dans ce forum entant que Harper-Trophy et espère passer de bon moments en votre compagnie. l'activité qui me passionne le plus est l'écriture et j'écris présentement mon premier roman policier. je vous partage le prologue. sa me fera énormément plaisir que vous le lisiez et j'attend impatiemment vos remarque et encouragements s'il y a lieu. merci d'avance!

PROLOGUE

La deuxième guerre mondiale eu réputation d’être sans merci, plutôt même cruelle. Les douleurs et tourments qu’elle infligea laissèrent des dégâts et cicatrices incommensurables dans les cœurs et les rues des paisibles citadins, elle n’épargna guère le quotidien des campagnards. Les petites pièces de monnaies devinrent de plus en plus campagnes de certains hommes et femmes plutôt chanceux, et ce au détriment des autres qui furent sans le vouloir prisonniers et assujetti à des maux irratio nnels et presque condamnés à une forme de vie démunie d’espérance . Nos bienheureux, héritiers des vestiges des champs de batailles, riches dans un environnement peu prometteur, se servirent alors de leurs stocks ayant de manière chanceuse échapp ée aux longues mains de ceux qui provoquaient les bruits de bottes dans les rues du sud de la Bretagne, pour se racheter ces pays plats et découverts, considérés surtout par rapport à leurs cultures, à leur productions. Quoi de mieux qu’un important investissement dans le secteur agricole pour relever ce qui reste de l’économie nationale, et se remplir les poches à une époque où l’industrialisation dicte ses règles de jeux. Le hasard, si on peut le désigner de la sorte, a ainsi épargné à certaines familles, surtout à celles d’un certain rang social, le goût du pain d’affliction offert d’un cœur joyeux et plein d’enthousiasme par le milieu du XXème siècle à la terre toute entière en générale et particulièrement à celle de l’occident. C’est de ce rang favorisé par la chance qu’appartenait cette dame blonde aux yeux bleus, et dont la générosité semblait dépasser toute attente. L’aspect de son visage pouvait bien accuser une vieillesse qui naissait mais sans pour autant effacer les traces d’une vraie séductrice aux yeux révolver. Derr ière son apparence féminine et innocente se cachait une détermination sans limite et ceux qui avaient la chance d’être à son service laissaient entendre dire qu’elle coordonnait d’une main de fer main avec un cœur en or. On disait que chaque matin, Dame Marilyn Jefferson, puisque c’est ainsi qu’elle se nommait, maitresse de la villa Jefferson communément appelée villa ovale à cause de la forme de son architecture, avait pour habitude de se rendre à la chapelle de North Street, occasion pour elle de se recueillir avant d’embrasser ses longues journées de travail. Selon le constat des vieux amis de la famille Jefferson et surtout ceux ayant connus Sir Abraham Jefferson, défunt père à Dame Marilyn, qui disparut bien longtemps avant la seconde guerre mondiale, celleci, serait l’identique reproduction de son père, elle portait en elle toute sa personnalité, Homme de nature calme ayant appris à s urmonter les hauts et repriser les bas, Homme considérant l’adversité comme moyen de progression et surtout ennemis de la peur. Le printemps sonnait à peine à la porte, l e soleil s’était levée de bonne heure, les hirondelles gazouillaient déjà… ce fut un mardi matin qui ne se distinguait en rien des autres. On se rappellera que les paroles du curé de la chapelle Saint Mary Eliz abeth se résumait, ce matin-là, en l’amour que devait faire preuve chaque être humain envers son prochain. Et si seulement les fameux auteurs de ce qui s’apprêtait à être une tragédie pour tout Bray Island eurent aussi entendus, ce matin-là les divines pa roles du curé, alors peut être que le récit qui va suivre n’aurait pas apparu dans les annales de la police du sud de la Bretagne, et peut être même que son Bigelow Tea lui aurait encore été servi le soir du jour après, peut être que le diable ne s’en aurait pas mêlé…

Le texte est difficile à lire. Il faut lire un roman comme on écoute une chanson.Sans faire d'effort.

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