Fac. Les droits d'inscription passeront-ils de 184 à 1000 € ?

Lesquels ?

Plombier, jardinier, tous les métier du bâtiments, pépiniériste,...

Sinon il y a de nombreux métiers où il y a pas besoin de faire pleins d'études.

Bien sûr, mais même dans cette catégorie de métiers il y a des filières bouchées ou bien des filières qui revoient à la hausse les exigences d'études. Avec la tertiarisation de l'économie, ce phénomène n'est pas prêt de s'arrêter.

Sinon il y a de nombreux métiers où il y a pas besoin de faire pleins d'études.

Pour faire un boulot de standardiste, les recruteurs exigent un BTS assistante-je-ne-sais-plus-quoi en plus de quelques années d'expérience.

J'ai de l'expérience dans cet emploi, mais pas le diplôme qui va avec, ce qui gênent les recruteurs.

Plombier, jardinier, tous les métier du bâtiments, pépiniériste,...

Nécessitent un apprentissage qui n'a rien de facile ou de court. Surtout si l'on ambitionne d'intégrer un compagnonnage.

Plombier, jardinier, tous les métier du bâtiments, pépiniériste,...

Pour ces métiers, au mieux, un BEP est exigé, sinon, un bac pro.

Bien sûr, mais même dans cette catégorie de métiers il y a des filières bouchées ou bien des filières qui revoient à la hausse les exigences d'études. Avec la tertiarisation de l'économie, ce phénomène n'est pas prêt de s'arrêter.

Il y a énormément de métiers , en particulier manuel, où les recruteurs trouvent personne.

Heureusement, une Licence t'ouvre toujours les portes de la majorité des concours de la fonction publique.

Déjà que je ne suis pas fichue de gérer le stress dû aux examens, je ne tiens pas à revivre avec les concours (et ce n'est pas ma culture générale et mon esprit critique qui me sauvera la mise à ce moment là).

Lesquels ?

La majorité ne demande même pas de diplômes universitaires.

Que crois tu ? Que je me suis amusé à faire de grandes études ? Ben non je préférais mettre des sous de côté en travaillant, c'était bien plus intéressant.

De toutes façons, à part quelques métiers comme dans la médecine ou dans les banques et assurances, tout le reste que vous soyez diplômé(e) ou non, vous aurez le même salaire, celui d'un débutant en bas de l'échelle.

Plombier, jardinier, tous les métier du bâtiments, pépiniériste,...

Toutes ces professions demandent une formation. Rares sont les métiers échappant à une formation initiale, quelque soit le secteur (primaire, secondaire, tertiaire).

EDIT : devancé par Simplicius et Noisette.

Nécessitent un apprentissage qui n'a rien de facile ou de court. Surtout si l'on ambitionne d'intégrer un compagnonnage.

Pas forcement un apprentissage. Je fais une formation à domicile dans le végétal qui me prendra un peu plus de 6 mois.

De toutes façons, à part quelques métiers comme dans la médecine ou dans les banques et assurances, tout le reste que vous soyez diplômé(e) ou non, vous aurez le même salaire, celui d'un débutant en bas de l'échelle.

Tu oublies la fonction publique, où les concours où l'éventail des concours n'est pas le même selon ton niveau d'étude.

Pour ces métiers, au mieux, un BEP est exigé, sinon, un bac pro.

Même un niveau Bac Pro ça reste faible par rapport à un niveau universitaire.

Nécessitent un apprentissage qui n'a rien de facile ou de court. Surtout si l'on ambitionne d'intégrer un compagnonnage.

Pour ces métiers, au mieux, un BEP est exigé, sinon, un bac pro.

Ca dépend quoi, il y a des boulots où il n'y a besoin de rien, aucun diplôme. D'ailleurs si ils embauchent des étrangers, c'est bien parce que c'est facile d'accès sinon ils ne les embaucheraient pas.

Toutes ces professions demandent une formation. Rares sont les métiers échappant à une formation initiale, quelque soit le secteur (primaire, secondaire, tertiaire).

EDIT : devancé par Simplicius et Noisette.

Oui mais formation courte. De nombreux postes ce font par piston dans ce genre de domaine.

Même un niveau Bac Pro ça reste faible par rapport à un niveau universitaire.

Si quelqu'un veux exercer un métier manuel, il faut que ses compétences soient sanctionnées par un diplôme. La prise du métier sur le tas n'intéresse plus les recruteurs.

Oui mais formation courte. De nombreux postes ce font par piston dans ce genre de domaine.

La formation initiale peut être courte, certes (encore que...). Mais nombreux sont les métiers de ce genre dépendant également des innovations techniques développées et donc demandant une formation continue en plus de l'exercice de la profession.

Du reste, le piston reste une pratique observable dans la plupart des métiers.

Ca dépend quoi, il y a des boulots où il n'y a besoin de rien, aucun diplôme. D'ailleurs si ils embauchent des étrangers, c'est bien parce que c'est facile d'accès sinon ils ne les embaucheraient pas.

C'est vrai, dans certains boulots l'employeur te forme tellement il trouvent personnes, le poste de métreur dans le bâtiment par exemple.

La formation initiale peut être courte, certes (encore que...). Mais nombreux sont les métiers de ce genre dépendant également des innovations techniques développées et donc demandant une formation continue en plus de l'exercice de la profession.

Ce ne sont pas des domaines où l'innovation est très rapides, et si il y a du nouveau matériel le fournisseur fait une formation.

Ce ne sont pas des domaines où l'innovation est très rapides, et si il y a du nouveau matériel le fournisseur fait une formation.

Ah bon ? Prenons le bâtiment : entre les nouveaux matériaux, outils et critères environnementaux de construction, la profession doit revoir ses critères à la hausse, de l'aveu même des chefs d'entreprises et artisans du secteur. L'informatique prend par ailleurs une place croissante dans les métiers manuels. Il faudra en conséquence des compétences dans de nouveaux domaines.

Toutes ce qui faut savoir s'apprend sur le terrain. Les outils coutent bien trop chère pour les changer régulièrement, et une perceuse même si c'est un nouveau modèle le fonctionnement reste le même. Les matériaux évoluent mais la pose reste souvent la même les différences sont expliqués par le fournisseur, les normes suffit de les connaitre, suffit d'une formation.

Dans le bâtiment le critère principal est la motivation.

Dans les métiers manuels il y a que en pratiquant sur le terrain que tu apprends.

Toutes ce qui faut savoir s'apprend sur le terrain. Les outils coutent bien trop chère pour les changer régulièrement, et une perceuse même si c'est un nouveau modèle le fonctionnement reste le même. Les matériaux évoluent mais la pose reste souvent la même les différences sont expliqués par le fournisseur, les normes suffit de les connaitre, suffit d'une formation.

Dans le bâtiment le critère principal est la motivation.

Dans les métiers manuels il y a que en pratiquant sur le terrain que tu apprends.

Tout métier exige une expérience, l'application sur le "terrain" tôt ou tard. Les métiers manuels n'en ont pas le monopole.

Et votre propre aveu, il "suffit" d'une formation pour se mettre à jour. Preuve qu'en réalité, on ne peut être exempté de près ou de loin de toute formation ayant une valeur de certification d'acquisition d'une compétence. L'expérience, si elle est centrale bien sûr, se valorise toujours par une preuve de son acquisition. C'est là qu'un diplôme, obtenu initialement ou par reconnaissance des acquis en cours de carrière ou formation continue, s'avère toujours indispensable, tôt ou tard.

Le fait est que quelque soit la profession, une formation initiale et souvent continue par la suite est exigée pour rester dans la place. Même des professions intellectuelles n'échappent plus à cette exigence de formation constante. Rien que dans mon secteur, où l'informatique joue une place centrale désormais, la nécessité d'acquérir de nouvelles compétences avec l'apparition de nouveaux softwares et hardwares commence à véritablement s'imposer.

C'est le progrès technique qui veut ça : plus la totalité des connaissances acquises s'accentue, plus la nécessité de leur apprentissage s'impose. C'est en fait le "problème" de nos sociétés contemporaines : une exigence toujours plus forte d'acquisition de compétences théoriques ET pratiques. L'époque où l'on opposait métier manuels/intellectuels s'éloigne.