Aller au contenu

Arriv(er)ons nous à nous satisfaire?


deja-utilise

Messages recommandés

Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

bonjour

oui tu à raison .je crois que l'une des raisons de tout cela vient de la dernière guerre ( 1940-1945 ).à la fin de cette guerre , il fallait tous reconstruire et surtout la société . les parents espéraient pour leurs enfants une vie meilleur que celle qu'ils avais vécus ( deux guerres très meurtrières en l'espace de 30 ans ) .

le moderne que nous connaissons aujourd'hui commençais à émerger et tout le monde ce précipita dans la faille ouverte de l'espoir .des voitures , des salles de bains , machine à laver , télévision , tout ce que nous avons aujourd'hui et qu'à cette époque , très peut avait .

ayant mis le doigt dans l'engrenage ,nos sociétés ne pouvaient plus le retirer et elles furent entrainés dans le tourbillon du toujours plus ,plus beau ,plus grand , toujours plus ...

les gens d'affaires sentir la bonne aubaine et emplifièrent le mouvement . personnes ne semblaient savoir ou tout cela nous conduirait .

bonne journée

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
  • Réponses 57
  • Créé
  • Dernière réponse
Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 302 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Mais plus nous avions et plus nous étions insatisfaits car dit la bible ,il est plus facile à un chameau de passer par le chas d'une aiguille qu'au riche de trouver son bonheur sur terre .

Et si le bonheur ne dépendait pas des choses matérielles ?Les bouddhistes situent le nirvana au moment où tu atteins l'absence de désir .et quand tu fais Zazen ,le but ultime de ta méditation est que tu ne penses vraiment à rien du tout et c'est l'état d'harmonie recherché .

Et pendant ce temps ceux qui croyaient au veau d'or continuaient à consommer la nature et étalaient leurs richesses dans des demeures qui dévoraient la nature ;Et Gaïa qui portait sur toute sa surface la vie devint entrepôts à objets ou décharge à objets usés et les hommes se mirent à vivre devant d'autres objets ,lumineux ceux ci, qui leur disaient quoi acheter ,quoi penser et devinrent eux mêmes dépendants des objets qu'ils avaient créés .Ils ne vécurent que devant leurs mondes virtuels enfermés dans leurs murs .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Heureux les simples d'esprit, car ils accèderont aux cercueils à ma droite. Heureux les idiots et les sots, car ce seront eux qui y parviendront les premiers.

Sauf que le bienêtre n'a pas à être éventuellement mis en relation avec la durée de l'existence! Si tant est que l'on puisse le faire.

Car on en arriverait à la situation de se poser la question de savoir si il faut mieux une existence plus courte mais satisfaisante qu'une vie plus longue mais frustrante/ennuyante/plate/déplaisante?

Alors que la réalité est plutôt un patchwork des deux, que les plus "naïfs" pourront tout aussi bien vivre longtemps que brièvement et réciproquement pour les autres.

Connais tu la prière de Lincoln ?

Mon Dieu donne moi la force de faire les choses que je peux faire en ce bas monde .

De pouvoir renoncer à celles que je ne peux pas faire .

Et de me donner le discernement pour différencier les unes des autres .

Donc ,il ne te reste plus qu'à faire preuve de discernement ;est ce que toutes tes envies ont vraiment besoin d'être assouvies ?T'apporteront elles la satisfaction que tu en attendais ,En espérant que la FORCE SOIT AVEC TOI .

Mais parfois la bonne volonté ne suffit pas, même lorsque l'on a fait preuve de discernement et que l'on s'est fixé un objectif réaliste/atteignable, il y a surtout des causes extérieures qui nous empêchent d'accéder à ce qui nous tient à coeur! Et c'est là que l'insatisfaction, la frustration, prend naissance!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

La satisfaction, ou son contraire, ne dépend que du niveau d’exigence, plus un esprit est exigent avec la « vérité », moins il peut être satisfait.

Par conséquent, il peut trouver la quiétude dans l’abandon de la quête, il ne visite plus le monde en espérant trouver des réponses. Il abandonne. Ainsi, il laisse le champ libre à ce qui dans l’être peut se permettre de voyager réellement dans un espace qui ne peut être saisi entièrement par la raison, mais qui peut être « contacté » par « l’intelligence », celle-ci n’ayant pas grand-chose à voir avec la raison.

Mais l'abandon ne peut être un choix satisfaisant, car ce n'est que rarement un choix délibérer et volontaire que de chercher la "vérité"/des réponses, cela s'impose bien souvent à nous, et renoncer à ce fonctionnement, c'est déjà se mettre dans une position de privation insatisfaisante, comme tout ceux qui lutte contre une addiction, jamais complètement, définitivement, guérie même lorsque l'abstinence dure depuis longtemps.

Une autre possibilité, à l'image du passionné cet fois, c'est de vivre jusqu'au bout, cette quête, de tendre vers l'exigence pour soi, encore et encore, mais dépouillée de l'élément moralisateur qui y est rattaché, jusqu'à ce qu'un niveau d'élévation soit atteint et qui permette de mieux se détacher de son propre fonctionnement, que cette ouverture d'esprit déverrouille elle-même son propre cercle auto-reproductif, dit autrement d'atteindre un seuil de satisfaction intellectuelle qui brise la spirale qui s'était instituée.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Mais l'abandon ne peut être un choix satisfaisant, car ce n'est que rarement un choix délibérer et volontaire que de chercher la "vérité"/des réponses, cela s'impose bien souvent à nous, et renoncer à ce fonctionnement, c'est déjà se mettre dans une position de privation insatisfaisante, comme tout ceux qui lutte contre une addiction, jamais complètement, définitivement, guérie même lorsque l'abstinence dure depuis longtemps.

Une autre possibilité, à l'image du passionné cet fois, c'est de vivre jusqu'au bout, cette quête, de tendre vers l'exigence pour soi, encore et encore, mais dépouillée de l'élément moralisateur qui y est rattaché, jusqu'à ce qu'un niveau d'élévation soit atteint et qui permette de mieux se détacher de son propre fonctionnement, que cette ouverture d'esprit déverrouille elle-même son propre cercle auto-reproductif, dit autrement d'atteindre un seuil de satisfaction intellectuelle qui brise la spirale qui s'était instituée.

Merci de me lire D.U. J'ai eu un peu de mal à vous traduire et j'espère n'être pas à côté de votre propos.

Je veux attirer votre attention particulière sur le terme "abandon".

Vous comprendrez que dans le complexe vivant de "faire/défaire/ne pas faire",

Règle N°2 du wou-wei, toute chose à une myriade d'opposés mais un unique contraire.

l'abandon est toujours une action décidée, par contre, dans le contexte toujours aussi vivant du wou-wei, l'abandon est autre chose, ce n'est point votre personne qui abandonne, mais des "choses" de l'espace mental qui vous abandonnent, vos habitudes par exemple vous abandonnent, vos peurs aussi, pour donner un autre exemple.

Une action peut être dépouillée d'un certain nombre d'attributs, elle en demeure une action, lorsqu'elle se dépouille d'elle-même et du sujet, elle est une non-action.

Ps : Ne pas confondre ici dans la terminologie et concept utilisés deux notions en apparence synonymes qui sont celles-ci : "ne pas faire" et "non-faire".

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Merci de me lire D.U. J'ai eu un peu de mal à vous traduire et j'espère n'être pas à côté de votre propos.

Je veux attirer votre attention particulière sur le terme "abandon".

Vous comprendrez que dans le complexe vivant de "faire/défaire/ne pas faire",

Règle N°2 du wou-wei, toute chose à une myriade d'opposés mais un unique contraire.

l'abandon est toujours une action décidée, par contre, dans le contexte toujours aussi vivant du wou-wei, l'abandon est autre chose, ce n'est point votre personne qui abandonne, mais des "choses" de l'espace mental qui vous abandonnent, vos habitudes par exemple vous abandonnent, vos peurs aussi, pour donner un autre exemple.

Une action peut être dépouillée d'un certain nombre d'attributs, elle en demeure une action, lorsqu'elle se dépouille d'elle-même et du sujet, elle est une non-action.

Ps : Ne pas confondre ici dans la terminologie et concept utilisés deux notions en apparence synonymes qui sont celles-ci : "ne pas faire" et "non-faire".

j'ai peur de ne pas tout comprendre:

- le complexe vivant de, je ne saisi pas la tournure!

- wou-wei, quelle est cette discipline?

- une chose a plusieurs opposés mais un seul contraire, des exemples?

- "ne pas faire" qui ne serait pas synonyme de "non-faire", si je suis conscient que la négation d'une notion opposée ne donne pas nécessairement la notion de base ( du type "je ne suis pas malheureux" ne donne pas "je suis heureux" ), pour le coup, j'ai le sentiment que ce sont deux négations de la même notion, et donc je ne vois pas en quoi elle ne sont pas équivalentes.

Merci pour les précisions à venir ( PS on pourrait se tutoyer, non? )

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

j'ai peur de ne pas tout comprendre:

- le complexe vivant de, je ne saisi pas la tournure!

Je voulais dire que dans notre quotidien, notre vie donc, la plupart de nos actes, pour ne pas dire tous, est soumise à ce complexe d'esprit : je fais ? je défais ? Ou ne fais pas ?

- wou-wei, quelle est cette discipline?

Je pensais que vous connaissiez, un terme chinois qui signifie "non-agir", c'est pourquoi j'ai choisi ce terme plutôt que le terme d'origine indienne qui correspond à : non-faire, mais il s'agit là d'une notion plus abstraite qu'il n'y paraît, entre parenthèse et clin d’œil à DdM, Antonin Artaud sans doute a du bousculer ses méninges longtemps avec ce concept qui est plus qu'un simple concept.

- une chose a plusieurs opposés mais un seul contraire, des exemples?

Je ne pourrais pas développer ici maintenant, il ne s'agit pas seulement de raisonnement, il me faudrait parvenir à parler de quelque chose qui se situe au cœur de l'acte.

Il est des langages et des logiques où l'on annonce que - 1 est opposé à + 1, considérons une minute une autre logique, tout chiffre peut être l'opposé d'un autre, même si -1 est l'opposé le plus parfait de +1; parfait dans le sens que les opposés produisent une annulation, et les contraires une complémentation.

Zéro serait donc le contraire de toute valeur, puisque une valeur a cela de propre qu'elle est une valeur au milieu d'une infinitude d'autres valeurs, alors que zéro est l'absence de valeur.

Plein et vide ne sont pas opposés mais contraires.

Il n'est pas possible de dire précisément où je veux en venir par cette proposition, mais essayez d'imaginer que mon histoire d'opposés et de contraires a un lien avec le fonctionnement de nos cerveaux.

- "ne pas faire" qui ne serait pas synonyme de "non-faire",

La nuance est là, ne pas faire serait encore une option, donc une autre forme de faire, comme 3 est une autre forme de 1.

Alors que "non-faire" évoque la position zéro de faire, cette position ne se situe pas dans la raison.

Merci pour les précisions à venir ( PS on pourrait se tutoyer, non? )

[/color]

Si vous voulez, on peu se tutoyer, d'ailleurs vous pouviez me tutoyer dés le départ, je n'ai jamais demandé à ce que l'on me vouvoie, je peux vous tutoyer si vous me le demandez. :)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Si vous voulez, on peu se tutoyer, d'ailleurs vous pouviez me tutoyer dés le départ, je n'ai jamais demandé à ce que l'on me vouvoie, je peux vous tutoyer si vous me le demandez. :)

Ok, allons y!

Je ne pourrais pas développer ici maintenant, il ne s'agit pas seulement de raisonnement, il me faudrait parvenir à parler de quelque chose qui se situe au cœur de l'acte.

Il est des langages et des logiques où l'on annonce que - 1 est opposé à + 1, considérons une minute une autre logique, tout chiffre peut être l'opposé d'un autre, même si -1 est l'opposé le plus parfait de +1; parfait dans le sens que les opposés produisent une annulation, et les contraires une complémentation.

Zéro serait donc le contraire de toute valeur, puisque une valeur a cela de propre qu'elle est une valeur au milieu d'une infinitude d'autres valeurs, alors que zéro est l'absence de valeur.

Plein et vide ne sont pas opposés mais contraires.

Il n'est pas possible de dire précisément où je veux en venir par cette proposition, mais essayez d'imaginer que mon histoire d'opposés et de contraires a un lien avec le fonctionnement de nos cerveaux.

C'est intéressant, et j'ai bien fait de te questionner, plutôt que de critiquer, cette nuance est troublante.

Néanmoins, j'y trouve à la réflexion des difficultés:

par exemple pour grand et petit, opposés ou complémentaires?

si opposés, sachant qu'il n'y a pas de point milieu, on ne pourra pas annuler en "additionnant"

si complémentaires, cela forme un ensemble ou chacun prend une partie, mais grand peut être toujours plus grand, il n'y a pas de frontière/limite, empêchant de définir la partie complémentaire: explications incomplètes/tronquées.

autre exemple pour chaud et froid

si biologiquement nous pouvons les classer comme opposés, d'un point de vue physique il n'y a que chaleur plus ou moins importante, donc plutôt complémentaires: relativité au sujet.

encore un, pour la douleur et le plaisir ( une piqure et une caresse )

si appliquées en même temps, et bien qu'opposées, nous n'obtiendrons pas une sensation neutre, alors qu'elles empruntent les mêmes circuits nerveux, nous sentirons à la fois la douleur et la caresse, ce qui ne peut pas être complémentaire non plus, puisque c'est l'un ou l'autre, pas les deux en même temps dans le cadre d'une complémentarité: positions tiers.

( Ce n'est qu'un premier jet )

La nuance est là, ne pas faire serait encore une option, donc une autre forme de faire, comme 3 est une autre forme de 1.

Alors que "non-faire" évoque la position zéro de faire, cette position ne se situe pas dans la raison.

Aussi surprenant que cela puisse paraitre après la réponse précédente, tout n'est pas "critiquable", et j'arrive, sans doute différemment de ce qui était dans l'expectative, à visualiser ces trois états, en le rapprochant de l'exemple que j'avais donné.

Je reprends avec mes termes ce que j'en retiens explicitement:

" ne pas faire " sous-entendu ce qu'il faut, mais on fait tout de même quelque chose, d'inapproprié/improductif/inefficace, ce n'est pas rien ( ce n'est donc pas le contraire de faire, opposé? )

" non-faire " l'absence d'action ( le contraire de l'action, l'inaction )

il y a bien trois états, que sont " faire " ( action attendue/appropriée ), " non faire " ( ne rien faire du tout ) et " ne pas faire " ( ce qui n'est pas attendu/nécessaire, mais faire quelque chose )

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Non, lol, tu n'as pas bien compris, et c'est normal.

Il ne faut pas chercher à pénétrer le sens de "non-faire" avec des exemples d'état comme grand/petit, chaud/froid. Chaud et froid sont bien entendu des opposés et entre un point chaud et un point froid non définis, il y a beaucoup d'autres opposés.

Il est plus simple de prendre des situations de mouvement, mais encore une fois, le cerveau occulte à la raison ce qui est une position de fonctionnement en son sein, la raison ne voit pas ce qu'il se passe à partir de cette position.

La raison comprend une action comme : monter

Elle comprend une autre action comme : descendre

Elle comprend encore une autre action comme : ne pas monter et ne pas descendre, ce qui revient à ne pas bouger.

Toutes ces actions sont des "faire", un "non-faire" ne sera jamais produit par la raison, il ne découle pas d'un choix et d'une analyse, mais d'une polarité mentale qui ne se produit d'ordinaire que par accident, choc émotionnel violent, hypnose, état de santé fiévreux, etc... mais certains travaillent leur esprit afin de se retrouver dans cet état beaucoup plus souvent, et les disciplines qui le proposent sont nombreuses de par le monde et portent différents noms, Le raja yoga en est une par exemple.

Ces types d'actions, la raison les qualifie comme des actions opposées ou contraires, mais dans le cadre toujours d'un système d'analyse qui lui est propre.

Le "non-faire" de descendre (qui n'est pas ne pas descendre) est un réel contraire parce qu'il se produit à l'intérieur d'un état mental qui échappe au "moi". Ce qui se produit par l'effet de cet état mental (ou état de conscience) est incomparable à tout autre phénomène, l'entraînement du type sportif ou la plus haute concentration ne sont pas en mesure de produire quelque chose de comparable.

Par un non-faire, j'ai vu par exemple, un homme neutraliser des agresseurs armés, sans les toucher.

Un autre homme traverser une zone occupée par des lions sans qu'ils semblent le voir.

J'ai vu un homme tirer à l'arc sur une cible à 80 mètres qui était derrière une butte de terre, donc invisible pour lui, et la flèche toucher un point aussi petit qu'une mouche.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Le "non-faire" de descendre (qui n'est pas ne pas descendre) est un réel contraire parce qu'il se produit à l'intérieur d'un état mental qui échappe au "moi". Ce qui se produit par l'effet de cet état mental (ou état de conscience) est incomparable à tout autre phénomène, l'entraînement du type sportif ou la plus haute concentration ne sont pas en mesure de produire quelque chose de comparable.

Par un non-faire, j'ai vu par exemple, un homme neutraliser des agresseurs armés, sans les toucher.

Un autre homme traverser une zone occupée par des lions sans qu'ils semblent le voir.

J'ai vu un homme tirer à l'arc sur une cible à 80 mètres qui était derrière une butte de terre, donc invisible pour lui, et la flèche toucher un point aussi petit qu'une mouche.

Merci d'avoir pris le risque de me le dire clairement, mais je vais avoir du mal à accepter une telle approche, car je suis bien trop scientifique et sceptique.

( je comprends mieux pourquoi cela me semblait nouveau/inconnu, ;), ce n'est ni philosophique, ni médical, ni scientifique, à moins que tu es des "preuves" irréfutables )

Qu'en pense la zététique?

Bonne journée,

( Néanmoins, dans le cadre du sujet, cela peut certainement aider à se sentir satisfait )

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Merci d'avoir pris le risque de me le dire clairement, mais je vais avoir du mal à accepter une telle approche, car je suis bien trop scientifique et sceptique.

( je comprends mieux pourquoi cela me semblait nouveau/inconnu, ;), ce n'est ni philosophique, ni médical, ni scientifique, à moins que tu es des "preuves" irréfutables )

Qu'en pense la zététique?

Bonne journée,

( Néanmoins, dans le cadre du sujet, cela peut certainement aider à se sentir satisfait )

J'aurais pris le risque de passer pour un idiot ?

J'ai l'habitude :)

Des preuves de quoi ?

Tout le monde a l'expérience de ce dont je parle plus haut.

Par exemple : ne t'es t-il pas arrivé de conduire ta voiture pendant quelques minutes dans une espèce d'absence, ton esprit comme occupé ailleurs dans des "faire" plus importants pour le "moi" et te rendre compte tout d'un coup que tu ne te souviens plus du trajet ni des événements, avec l'impression qu'une autre part de toi a géré, très bien géré d'ailleurs ?

Le "scientifique" que tu es dira sans doute : mais c'est de la distraction !! ça peut en être comme ça peut être autre chose, la distraction génère souvent des accidents.

A part ça, tu as raison, ce n'est pas de la philosophie. Mais à quoi donc la philosophie devrait-elle renoncer ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Non, c'est simplement une dissipation du cortex cérébral pour laisser le cerveau gérer le véhicule de manière subconsciente et impulsive. En réalité, la plupart de nos actes et gestes sont en première instances induits aux profondeurs de la matière grise sans même que nous n'en ayions "conscience". Cette partie cachée de notre moi extérieur passe ainsi occasionellement au volant, et nous faisons des choses "machinalement", "impulsivement" sous le controle de notre "cerveau reptilien", au point que si nous essayons de comprendre pouquoi nous agissons de la sorte, nous ne savons pas toujours y donner une explication intelligible. Même si en règle générale nous y inventons une raison a posteriori satisfaisante et crédible. Mais pas de panique, ce ne sont pas des symptomes pathologiques de mythomanie, tout le monde fonctionne ainsi. :p

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Non, c'est simplement une dissipation du cortex cérébral pour laisser le cerveau gérer le véhicule de manière subconsciente et impulsive. En réalité, la plupart de nos actes et gestes sont en première instances induits aux profondeurs de la matière grise sans même que nous n'en ayions "conscience". Cette partie cachée de notre moi extérieur passe ainsi occasionellement au volant, et nous faisons des choses "machinalement", "impulsivement" sous le controle de notre "cerveau reptilien", au point que si nous essayons de comprendre pouquoi nous agissons de la sorte, nous ne savons pas toujours y donner une explication intelligible. Même si en règle générale nous y inventons une raison a posteriori satisfaisante et crédible. Mais pas de panique, ce ne sont pas des symptomes pathologiques de mythomanie, tout le monde fonctionne ainsi. :p

Vous dites non à quoi précisément ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

J'aurais pris le risque de passer pour un idiot ?

J'ai l'habitude :)

Loin de moi, une telle idée, mais une franche incompatibilité, oui, donc d'avoir pris le risque d'être en parfaite opposition. ;)

Des preuves de quoi ?

Tout le monde a l'expérience de ce dont je parle plus haut.

Pas vraiment justement, c'est pour cela que ça heurte ma sensibilité tangible.

Par exemple : ne t'es t-il pas arrivé de conduire ta voiture pendant quelques minutes dans une espèce d'absence, ton esprit comme occupé ailleurs dans des "faire" plus importants pour le "moi" et te rendre compte tout d'un coup que tu ne te souviens plus du trajet ni des événements, avec l'impression qu'une autre part de toi a géré, très bien géré d'ailleurs ?

Le "scientifique" que tu es dira sans doute : mais c'est de la distraction !! ça peut en être comme ça peut être autre chose, la distraction génère souvent des accidents.

Là je le comprends très bien, et peut te donner grossièrement la même explication que Frelser, car notre inconscient représente au moins 90% de ce que nous sommes, je dirai même que c'est lui le maitre à bord, et que notre raison/conscience n'est là que comme subordonné, pour prendre le temps de calculer plus justement qu'instinctivement.

Donc l'explication scientifique repose sur un mécanisme non conscient de notre activité cérébrale, rien d'obscur ou extravagant, voire paranormal.

A part ça, tu as raison, ce n'est pas de la philosophie. Mais à quoi donc la philosophie devrait-elle renoncer ?

Ce qui ne signifie pas que ce soit sans intérêt, je digresse régulièrement également, et on peut donc à tout moment revenir sur un mode plus philosophique après avoir exposé notre affaire, ou continuer la digression, peu importe, du moment que cela reste structuré et argumenté, avec une réelle envie d'expliquer.

********

Disons le clairement, tu penses que notre cerveau a des capacités que nombre d'entre nous ignorons, ou n'exploitons pas selon toi? Une action à distance donc?

Si c'est la cas, je te donnerai une démonstration que cela n'est pas réaliste:

Tout d'abord, il faut savoir que tout ce qui rayonne "sphériquement" ( puisque impossible de focaliser et de connaitre la position du récepteur à l'avance à partir de la position de la tête ) suit une loi régressive en 1/r2, c'est à dire l'inverse du carré de la distance entre l'émetteur et le récepteur, d'autre part, l'énergie produite est nécessairement limitée, car nos ressources bioénergétique le sont également, ce qui fait qu'à une distance assez réduite si émission il y a, l'intensité est déjà très fortement réduite, à cela se rajoute, toutes les autres cervelles émettrices, qui produiront un brouillage/capharnaüm indémêlable/inintelligible, autrement dit une personne plus proche saturerait de signaux occultant les autres plus loin, même si elle ne cherche pas à établir de contact. Vois tu?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 302 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Euh ,tu voudrais pas mettre une ampoule rouge au dessus de ta voiture quand tu es distrait que je passe un peu plus loin ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Là je le comprends très bien, et peut te donner grossièrement la même explication que Frelser, car notre inconscient représente au moins 90% de ce que nous sommes, je dirai même que c'est lui le maitre à bord, et que notre raison/conscience n'est là que comme subordonné, pour prendre le temps de calculer plus justement qu'instinctivement.

Donc l'explication scientifique repose sur un mécanisme non conscient de notre activité cérébrale, rien d'obscur ou extravagant, voire paranormal.

L'exemple que je donnais était censé illustré une de ces conditions mentales ordinaires et courantes, quelque chose qui arrive à tout le monde et qui invite à la méditation sur le "comment" le moi se trouve différemment impliqué au niveau de ses moyens de contrôle sur les choix et actes quotidiens, une explication scientifique peut oser avancer une théorie mécanique sur les fonctionnements du cerveau, cela ne s'oppose en rien à des faits.

Ce serait comme vouloir opposer des vérités à des réalités, pour faire un lien avec un autre topic.

Disons le clairement, tu penses que notre cerveau a des capacités que nombre d'entre nous ignorons, ou n'exploitons pas selon toi? Une action à distance donc?

Si c'est la cas, je te donnerai une démonstration que cela n'est pas réaliste:

Tout d'abord, il faut savoir que tout ce qui rayonne "sphériquement" ( puisque impossible de focaliser et de connaitre la position du récepteur à l'avance à partir de la position de la tête ) suit une loi régressive en 1/r2, c'est à dire l'inverse du carré de la distance entre l'émetteur et le récepteur, d'autre part, l'énergie produite est nécessairement limitée, car nos ressources bioénergétique le sont également, ce qui fait qu'à une distance assez réduite si émission il y a, l'intensité est déjà très fortement réduite, à cela se rajoute, toutes les autres cervelles émettrices, qui produiront un brouillage/capharnaüm indémêlable/inintelligible, autrement dit une personne plus proche saturerait de signaux occultant les autres plus loin, même si elle ne cherche pas à établir de contact. Vois tu?

Je ne sais où tu as cru entendre que je défendais cette théorie de communication à distance. Le thème du non-faire n'a rien à voir avec cela.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

L'exemple que je donnais était censé illustré une de ces conditions mentales ordinaires et courantes, quelque chose qui arrive à tout le monde et qui invite à la méditation sur le "comment" le moi se trouve différemment impliqué au niveau de ses moyens de contrôle sur les choix et actes quotidiens, une explication scientifique peut oser avancer une théorie mécanique sur les fonctionnements du cerveau, cela ne s'oppose en rien à des faits.

Ce serait comme vouloir opposer des vérités à des réalités, pour faire un lien avec un autre topic.

Et bien justement, sur cet exemple précis, j'étais d'accord sur sa réalité, puisqu'il m'arrive également d'être perdu dans mes pensées lorsque je conduis, et pourtant je ne finis pas dans le décor.

Ce sera l'explication apportée qui nous fait diverger!

Je ne sais où tu as cru entendre que je défendais cette théorie de communication à distance. Le thème du non-faire n'a rien à voir avec cela.

Ici:

1-Par un non-faire, j'ai vu par exemple, un homme neutraliser des agresseurs armés, sans les toucher.

2-Un autre homme traverser une zone occupée par des lions sans qu'ils semblent le voir.

3-J'ai vu un homme tirer à l'arc sur une cible à 80 mètres qui était derrière une butte de terre, donc invisible pour lui, et la flèche toucher un point aussi petit qu'une mouche.

Qu'est ce donc, si ce n'est une action de type " télépathique "?

1-n'est ce pas avec la force de son "esprit" à distance?

2-hormis si ils étaient complètement rassasiés, ils n'auraient pas pu ne pas le voir, comment cet homme aurait-il pu brouiller cet instinct naturel de chasseur chez les lions, de loin/à distance?

3-pour viser une cible, il faut bien savoir d'une manière ou d'une autre où elle se situe, et comme ce n'est pas par la vue, par quoi d'autre, et à distance?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Et bien justement, sur cet exemple précis, j'étais d'accord sur sa réalité, puisqu'il m'arrive également d'être perdu dans mes pensées lorsque je conduis, et pourtant je ne finis pas dans le décor.

Ce sera l'explication apportée qui nous fait diverger!

Je pense que nous nous ne sommes pas compris par rapport à l'explication.

Ici:

Qu'est ce donc, si ce n'est une action de type " télépathique "?

1-n'est ce pas avec la force de son "esprit" à distance?

2-hormis si ils étaient complètement rassasiés, ils n'auraient pas pu ne pas le voir, comment cet homme aurait-il pu brouiller cet instinct naturel de chasseur chez les lions, de loin/à distance?

3-pour viser une cible, il faut bien savoir d'une manière ou d'une autre où elle se situe, et comme ce n'est pas par la vue, par quoi d'autre, et à distance?

C'est une interprétation possible de mes mots, je te l'accorde, mais ce n'est pas la théorie à laquelle je pensais.

Maintenant, dans quelle circonstance de rapport entre être vivants, on ne peut parler de distance, je pense qu'il y a toujours une question de distance. Lorsque je parle avec une personne, il y toujours une distance, et ce qu'il fait de mes mots, qui ne m'appartient pas, est encore soumis à la distance.

Mais non, je n'insinuais pas un quelconque pouvoir télépathique ou télékinétique.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Maintenant, dans quelle circonstance de rapport entre être vivants, on ne peut parler de distance, je pense qu'il y a toujours une question de distance. Lorsque je parle avec une personne, il y toujours une distance, et ce qu'il fait de mes mots, qui ne m'appartient pas, est encore soumis à la distance.

Tout à fait, tu m'accorderas que le vecteur "son", annule cette distance, comme si le message était écrit sur un papier que je te donnais en même propre, il y a un support physique à l'échange, que ce soit un écran, une feuille ou l'air, l'information y transite, nous sommes reliés par un intermédiaire!

Maintenant, comment expliques/interprètes tu les exemples que tu m'as donnés?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Soleil d'Hiver, 60ans Posté(e)
Cassandre 0101 Membre 9 857 messages
60ans‚ Soleil d'Hiver,
Posté(e)

Non, c'est simplement une dissipation du cortex cérébral pour laisser le cerveau gérer le véhicule de manière subconsciente et impulsive. En réalité, la plupart de nos actes et gestes sont en première instances induits aux profondeurs de la matière grise sans même que nous n'en ayions "conscience". Cette partie cachée de notre moi extérieur passe ainsi occasionellement au volant, et nous faisons des choses "machinalement", "impulsivement" sous le controle de notre "cerveau reptilien", au point que si nous essayons de comprendre pouquoi nous agissons de la sorte, nous ne savons pas toujours y donner une explication intelligible. Même si en règle générale nous y inventons une raison a posteriori satisfaisante et crédible. Mais pas de panique, ce ne sont pas des symptomes pathologiques de mythomanie, tout le monde fonctionne ainsi. :p

je crois que ta réponse est là déjà-utilise...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×