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Identité biologique et conscience sociale.


latin-boy30

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Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Tous coupables, la balle au centre ! :smile2:

Est-ce ainsi qu'on rend la justice ?

:o

Un homme viole une femme !

L'homme est à la fois tyran et victime, :o

prédateur et proie ?

Et la victime serait elle aussi tyran et prédateur ? :o

:o°

Attendez, il y a autre niveau où peut s'entendre ce que j'ai dit.

Bien entendu que je ne pose pas sur le même plan la victime d'un viol et son agresseur.

Lorsque je dis que l'agresseur est aussi une victime, il va de soi que ce n'est pas en rapport avec la victime du viol.

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Invité Lion2
Invités, Posté(e)
Invité Lion2
Invité Lion2 Invités 0 message
Posté(e)

Leveilleur :

"Lorsque je dis que l'agresseur est aussi une victime, il va de soi que ce n'est pas en rapport avec la victime du viol. "

Je suis d'accord pour dire que l'agresseur est aussi une victime sur un autre plan.

Un "agresseur" ne le devient jamais par hasard. Il a lui aussi été "victime", victime d'injustice probablement...

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Leveilleur :

"Lorsque je dis que l'agresseur est aussi une victime, il va de soi que ce n'est pas en rapport avec la victime du viol. "

Je suis d'accord pour dire que l'agresseur est aussi une victime sur un autre plan.

Un "agresseur" ne le devient jamais par hasard. Il a lui aussi été "victime", victime d'injustice probablement...

La colonisation est-elle un viol, une violence, un vol ?

Qui en est la 'victime' ?

Qui est l'agresseur ?

Peut-on dire que l'agresseur est excusable à cause de son histoire ?

Les droits de l'Homme seraient-ils à géométrie variable ?

Faut-il, compte tenu de l'histoire de cette agression depuis 60 ans,

désigner les coupables selon le droit international, les juger et trancher enfin ?

En un mot, la communauté internationale doit-elle juger et conclure

enfin, pour que règne la paix ?

Ou bien doit-on attendre que le fort gagne ?

C'est ce qui se passe depuis 60 ans !

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Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Attention, dans votre citation vous regrouper des mots de deux sources différentes.

La colonisation est un viol, une violence et un vol, c'est entendu, mais je ne vois pas bien le rapport.

La colonisation est-elle un viol, une violence, un vol ?

Qui en est la 'victime' ?

Bien entendu que la colonisation est un viol, une violence, un vol, il y a une première victime facile à identifiée.

Qui est l'agresseur ?

L'agresseur et la victime ne sont pas difficiles à identifier, me semble t-il.

Peut-on dire que l'agresseur est excusable à cause de son histoire ?

Il ne s'agit pas d'excuse mais de chercher à comprendre le comment, dans tout procès digne de ce nom, des experts sont invités à aider à comprendre le "comment".

Les droits de l'Homme seraient-ils à géométrie variable ?

Faut-il, compte tenu de l'histoire de cette agression depuis 60 ans,

désigner les coupables selon le droit international, les juger et trancher enfin ?

Les droits de l'homme ? Lesquels ? Ils sont différents par tout dans le monde et encore différents selon les époques, ceux d'aujourd'hui ne seront pas valides demain, il y a des chances.

Plutôt que m'enfoncer dans le bourbier des droits, je préfère creuser dans la conscience.

En un mot, la communauté internationale doit-elle juger et conclure

enfin, pour que règne la paix ?

Je me méfie du jugement de toute communauté. Ainsi fonctionne aussi les lapidations publiques.

Conclusion, je pense que nous ne regardons pas le même secteur du ciel, de votre côté c'est nuageux, du mien le ciel est bleu, ou l'inverse si vous préférez.

La Rose et le Réséda

Celui qui croyait au ciel

Celui qui n’y croyait pas

Tous deux adoraient la belle

Prisonnière des soldats

Lequel montait à l’échelle

Et lequel guettait en bas

Celui qui croyait au ciel

Celui qui n’y croyait pas

Qu’importe comment s’appelle

Cette clarté sur leur pas

Que l’un fut de la chapelle

Et l’autre s’y dérobât

Celui qui croyait au ciel

Celui qui n’y croyait pas

Tous les deux étaient fidèles

Des lèvres du cœur des bras

Et tous les deux disaient qu’elle

Vive et qui vivra verra

Celui qui croyait au ciel

Celui qui n’y croyait pas

Quand les blés sont sous la grêle

Fou qui fait le délicat

Fou qui songe à ses querelles

Au cœur du commun combat

Celui qui croyait au ciel

Celui qui n’y croyait pas...

De qui vous savez... L.Aragon

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