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Débutant en bouddhisme


tav58

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Membre, 33ans Posté(e)
tav58 Membre 1 899 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Bonjour a tous,

Comme le titre l'indique, je souhaite me lancer dans le bouddhisme.

Je m'intéresse beaucoup a la théorie depuis un bout de temps déjà et j'aimerai comme suite logique apprendre le bouddhisme de l'intérieur.

Comme le sujet est vaste et que visiblement il y a un "nouveau" mouvement qui ne va pas exactement dans le même sens que "l'ancien", je me pose des questions. Notamment sur certaine personne qui écrive a droite et a gauche de ce méfier des dérives sectaire et compagnie.

Du fait que de plus en plus de personne surf sur une image positive du bouddhisme pour s'enrichir au détriment du mal qu'il peuvent faire au bouddhisme ou au personnes qui cherche a en apprendre plus.

Je voudrais avoir vos avis.

Que pensez vous de cet religion/philosophie ?

Avez vous des point de vues qui pourrais m'aider personnellement a avancer dans le bon sens ?

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 563 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Le bon sens est celui que tu trouveras toi parce qu'il n'existe pas un seul chemin.

D'ailleurs je suppose que tu fais référence à l'opposition généralement faite entre le Theravada et le mahayana, entre "l'ancienne" et la "nouvelle" représentation boudhiste.

Le Theravada est un courant qui fait partie du Hinayana donc présenté par la "nouvelle représentation" comme le petit véhicule qui serait lui même intégrée dans le grand véhicule donc d'une vision restrictive de la "nouvelle représentation" qui serait plus accomplie.

En gros vu par le boudhisme, il n'y a qu'une voie mais plusieurs véhicules mènent à la destination et peu importe ce véhicule qui serait ton choix.

Et quand je parle de destination, je parle du Samsara, donc du cycle de réincarnations duquel un boudhiste cherchera à s'extraire par l'éveil.

Le premier véhicule sera celui du Theravada qui est centré "pour se libérer au plus vite" par l'enseignement d'un bouddha, le second véhicule est celui emprunté par ceux qui se réalisent d'eux mêmes donc sans l'enseignement d'un bouddha et le troisième est celui de l'éveil complet qui donne la capacité d'enseigner le dharma aux autres et donc la connaissance elle même.

Dans le premier cas tu deviens un bodhisattva en transmettant toi même ce savoir, dans le second un aharant et dans le troisième un sambuddha.

Partant de là, l'ancienne école pense que seule l'illumination et la recherche en soi de la vérité permet d'emprunter cette voie de l'arrêt du cycle de réincarnation alors que la nouvelle donne crédit à des textes ultérieurs mettant en avant la dévotion 'religieuse'.

Ils pensent que l'ancienne école est moins avancée dans la réflexion spirituelle.

Mais dans tous les cas, ce sera toujours un choix personnel qu'il s'agit de faire puisque dans tous les cas, l'illumination et l'éveil sous entend une réflexion profonde sur soi et un détachement personnel.

Donc c'est forcément personnel et il n'y a pas de bon sens, juste différentes possibilités qui mènent à l'arrêt du cycle de réincarnation pour atteindre le nirvana.

Je ne suis pas bouddhiste donc un éclairage plus concerné te serait sans doute utile.

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Membre, Posté(e)
Demsky Membre 11 609 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Institut d'études bouddhiques

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.Aller à : navigation, rechercher L'Institut d'études bouddhiques (ou IEB, depuis le 23 juin 2012), anciennement Université bouddhique européenne (ou UBE), est un centre francophone d'étude et d'enseignement sur le bouddhisme. C'est une association culturelle à but non lucratif, régie par le droit français, sous le régime de la « loi de 1901 ». De 1997 à 2002, elle s'est également appelée « Dharma Orient-Occident, Traditions, Sciences et Cultures »[1].

L'Institut[

L'IEB (ex-UBE) a été créé en 1996[2], avec le parrainage de l'UNESCO, dans le cadre du programme « Étude Intégrale des Routes de la Soie : Routes de Dialogue ».

Administré par des universitaires, spécialistes francophones du bouddhisme, Dominique Trotignon[3] en est le directeur général et Philippe Cornu[4] le président, depuis 2002.

L'association compte parmi ses administrateurs : Françoise Bonardel (agrégée de philosophie, docteur d'État et professeur de philosophie des religions à l'université de Paris-Sorbonne), Catherine Despeux (sinologue, chercheur au CNRS, professeur honoraire de l'INALCO en langue et philosophie chinoises), Jérôme Ducor privat-docent de l'université de Lausanne, chef du département Asie du Musée d'ethnographie de Genève, responsable du temple Shingyoji de Genève - école Jôdô-Shinshû) et Eric Vinson (journaliste de formation, ancien rédacteur-en-chef du magazine Prier, enseignant sur le fait religieux à Sciences Po et à l'Institut catholique de Paris).

Parmi ses collaborateurs réguliers : Raphaël Liogier (docteur en sciences sociales, maître de conférences des universités, responsable scientifique de l'Observatoire des religions à l'IEP, université Aix-Marseille III), Lionel Obadia (docteur en sciences sociales, professeur en anthropologie sociale et culturelle et directeur du Centre de recherches et d'études anthropologiques (CREA) à l’université Lyon-II), Stéphane Arguillère (agrégé de philosophie, docteur en histoire des religions et anthropologie religieuse, chargé de conférence à l'École pratique des hautes études).

Vocation[

La vocation de l'IEB est « d’offrir à un large public un accès fiable aux enseignements du Buddha », par la présentation historique et critique des enseignements bouddhiques et des différentes écoles qui les ont transmis, en Asie et en Occident. L'Institut propose plusieurs cycles de formation en études bouddhiques (il ne s'agit pas d'un centre de pratique bouddhique).

Intervenants

Outre ses collaborateurs réguliers (voir ci-dessus), l'IEB fait appel à de nombreux spécialistes reconnus tels que : Marc Ballanfat (agrégé de philosophie, directeur de programme au Collège international de philosophie, spécialiste de l'Inde), Jean-Pierre Berthon (ethnologue, chercheur au CNRS, chargé de cours à l'INALCO), Michel Bitbol (directeur de recherches CNRS au Centre de recherche en épistémologie appliquée de l'École polytechnique, chargé de cours à l'université Paris I), Katia Buffetrille (chercheur-ethnologue à l'École pratique des hautes études), Patrick Carré (auteur et traducteur, ex-directeur de la collection « Trésors du bouddhisme » aux éditions Fayard), Alain Forest (historien, docteur d'État es lettres et science humaines, ingénieur au CNRS et directeur de recherche à l'université Paris VII), Dennis Gira (docteur en études extrêmes orientales, diplômé de l'EPHE, ancien directeur-adjoint de l'Institut de science et de théologie des religions de l'Institut catholique de Paris), Michel Hulin (professeur honoraire de philosophie indienne et comparée à l'université Paris IV), Helen Loveday (docteur ès lettres de l’université d'Oxford, chargée de cours en art asiatique à l’université de Genève et conservateur à la Fondation Baur, Musée des Arts d’Extrême-Orient, à Genève).

Eric Rommeluère[5] et Jean-Paul Ribes[6] en ont été vice-présidents.

Parutions[

Depuis juin 2005, l'IEB publie une revue scientifique intitulée Les Cahiers bouddhiques[7]. Son Comité scientifique est composé de Stéphane Arguillère, Françoise Bonardel, Philippe Cornu, Raphaël Liogier et Lionel Obadia.

Notes et références à lire :

Journal Officiel des Associations [archive]

La France à l'avant-garde du bouddhisme. Une université européenne va s'ouvrir à Paris en novembre [archive], France Culture, 22 juin 2012

Philippe Cornu, spécialiste du bouddhisme [archive], France Culture, 17 juin 2007

Le bouddhisme n'est pas nihiliste [archive], Le Monde des Religions, 1er septembre 2003

Les Français de plus en plus séduits par le bouddhisme [archive], Nouvel Obs, 11 août 2008

  1. Les Etudes du Bouddhisme

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Membre, Posté(e)
eaglelife Membre 49 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Peut-être il est préférable de l'aborder non pas comme une religion ou une philosophie, mais comme une pratique de la conscience.

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