con centré d'idées

mon père fut un copiste extrêmement droit ce qui fit de moi un écrit vain donnant de la voix contre ses maux.. il me prenait homo quant j'était guai, travestissant ma pensé qui le voyais en triste sir, en roi des cons ayant autorité sur mon auto hérité, heureusement, j'était le cadet de ses soucis bien que je ne fut le bon à rien qu'il espérait.

il fut paradoxalement syndicaliste très adroit, opposé à lui je fut un encadrant très gauche et en réponse à ses piques me polluant en écho logique je lui tirait quelque larmes à gauche le temps que la nature reprenne ses droit et qu'il me traite de con, de communiste alors que moi simple humaniste, je lui faisais remarquer que de travailler au "progrès"

ne l'empêchait pas d'être conservateur et qu'il avait beau avoir la primeur il ne m'empêcherait de faire couler de l'encre pour le contre dire.

j'était sa descendance, pas son avenir et sa condescendance était à bannir alors je mettais des barrières entre nous et lui creusait le fossé, revenant à la charge je guillotinais son entêtement puis les années passèrent et il fut à ma charge stoppé par une avc qui le faisait régresser et à ma décharge, je ne souhaitais pour enterrement que la hache de naguère.

voici juste quelques maux que je voulais poser pour mieux les oublier avec quelque jeux de mots effet mer qui divague poussé par un vent de folie.

au fond nous ne sommes que des cons centré dépassé par notre avenir et offert au présent comme de simple cas d'homme odieux..

Errant dans la nuit, le sommeil m'ayant encore assailli de désolation, j'ai rencontré tes mots que tu posais ici pour libérer tes maux .Et je me suis sentie très proche de toi.

Combien sommes nous d'âmes errantes à la recherche du paradis perdu, d'un havre de paix pour pouvoir enfin s'abandonner,dis moi, ami de la nuit ?

Nous ne sommes pas odieux, mais à Dieu, et notre pauvre impuissance nous désarme souvent.

Mais parfois nous retrouvons le chemin d'espoir et la petite lumière vacillante qui nous dit que tout n'est pas fini, que la vie n'est pas pourrie, et qu'il nous sera beaucoup pardonné parce que nous avons beaucoup aimé...Du mieux qu'on pouvait,nous,êtres imparfaits.

Va en paix mon ami, tes maux j'en ai pris une partie pour alléger ton fardeau et je m'en suis sentie grandie, malgré les larmes de désespoir.

PS: ton écriture par ailleurs est belle et rebelle, impertinente, et transcendante!

je ne peut te dire que merci reine de la nuit, travaillant aux chant la journée tu déchante à la nuit tombé, jouant avec les notes pour attirer les naufragés et les plonger dans ton univers et moi saoul comme un marin je m'y suis laissé prendre car oui, pour un jeu de mots je me jette à l'eau séant mais aussi j'ai vu tes larmes toi qui pleure sans qu'on puisse le voir et je te renvois un sourire, une pensé lumineuse et je te dis adieu mais pas tout de suite, profitons de cette odyssée avant de partir pour l'au delà et jouons nous des maux aux dés espoir, faisons tournée la roue du festin et régalons nous de l'avis des autres.

j'aurais pu parler de ma mère veilleuse troublé par ses crises de foie , s'opposant à dieu le père, vert de rage dont les colères tonnait comme l'orage et moi qui n'avais l'age de me défendre pour le fendre en larmes et le pourfendre d'émoi , je n'arrivais qu'à prendre des calebottes , droit dans ses bottes il faisait de moi un boat people m'obligeant à me réfugier dans des bras de mère, cherchant le pays des rêves pour échapper à cette réalité chaude, cherchant un nid d’Îles que je n'ai jamais trouvé ou même un port salut terre pour me réfugier, suivant la route du rhum je me suis égaré devenant saoul comme un marin, naufragé de l'amour, perdu après une mère qui c'est retiré, sombrant dans un abysse sans eau, sans fin ou je n'arrive à étancher ma soif et ce père qui se perd en impair et qui aujourd'hui s'accroche à ma gentillesse pour survivre quelque jours encore me sacrifiant sur l'eau tel Abraham devenue athée mais pas pressé de tournée la page de mes souvenir ou je verset l'arme comme l'eau d'un torrent qui va là, là, là, évitant les clerc comme la foudre qui claque sur ma nuque et les mots râles tombant comme le déluge sur mes yeux sens cible.

je me souviens de cette prof primaire qui m'a fait détester les règles, la sienne étant de m'empêcher d'écrire à deux mains ou d'écrire à l'envers de manière à ce qu'elle puisse lire plus facilement ma dictée et qui me corrigeait à coup de règle pour que j’apprenne sur le bout des doigt que je ne pouvait compté que sur une main, j'en perdais mon latin pour oublier les maux quant au lieu de sauter une classe j'ai commencé à sauté les cours et à faire l'impasse sur mes devoirs, cette maîtresse avait beau me dire que je doit faire mon travail, je ne pouvais plus le faire qu'à moitie.

et puis ce jours ou arrivé au collège avant même le moindre cours de science physique, une intéro test m'offrit un beau 19/20 alors que personne n'eu dépassé le 5, ce fut une grande fierté de le présenter à mon père qui aurait été fier de moi pour une fois, malheureusement je ne reçu en récompense qu'un t'est trop nul espèce de con tâche de faire mieux la prochaine fois, c'est à partir de là que j'ai commencé à développé une théorie sur l'anti matière en m'efforçant de créer des notes négatives, je devais pour cela travailler sur la relativité de l'effet papillon.

ça me rappel un de ces cours sans grand intérêt pour moi ou j'avais sombré dans une belle sieste, réveillé en sursaut par un aboiement qui m'avait rendu presque sourd, le prof faisant rire la classe par une moquerie, un sourire narquois au coin des lèvres et me posant une question sur son heure de cours soporifique, tous furent étonné de mes bonnes réponse, ce qui me valu un "si monsieur "Lug"est capable de suivre mon cours en dormant, il est autorisé à reprendre sa sieste", ce que je fit aussitôt.

ce prof était particulier et voyait dans mon antimatière que le miroir des choses et m'avais même mis un 15 pour une rédaction de 4 pages sur le silence que j'avais résumer en une petite phrase, "le silence, c'est ça" avec un commentaire pour m'encourager à développer, ha si il n'avait pas été parmi les trop rares personnes.

merci aux plusoyeurs qui m'encourage dans ma folie.

je bois comme un trou presque autant que mon père aboie comme un fou (aboyait , c'était pour la rime), est ce pour fabriquer des trous de mémoire dans mon é mental ou pour ne pas me souvenir de cette année à la maison de l'enfance (aujourd'hui la daas) à mes 4 ans, je n'ai plus de souvenir comme de sous à venir , comme un lien à 40 ans d'écart , serais je aliéné selon eckhart ou un allié né selon les cartes, oui ça me fait repensé à l'expression sort les tarots, les talbins, l'oseille quoi. selon certain ,le destin est dans l'intestin, moi , ça me fait mal au ventre , faut se sortir le tripes quoi, quant je pense à mon père qui dans le passé se remplissait la pense avec des tripes à la mode de Caen, j'en ai la nausée de n'avoir osé l'étripé comme dans les camps mais de cette idée je me repent comme l'on refait son intérieur , d'ailleurs c'est bien ce que j'ai fait de mieux dans ma vie, de refaire mes voies intérieur , cela me donne il une excuse à la cigarette qui m'évita de fumer en pétage de plomb en m'apportant le goudron nécessaire et si aujourd'hui j'ai un coeur de pierre c'est peut être pour mieux le protéger de ces attaques .