le naufragé du désert

bonjour

il faisait très beau ce jour là . le soleil brillait et le ciel était bleu , l'aventure m'appelait et m'ouvrait ses bras en me murmurent à l'oreille : vient je t'attend depuis longtemps ,vient gouter à la liberté , à la joie de vivre et de découvrir des horizons nouveaux et plein d'espérance pour toi .

j'avais vingt quatre ans et envie de gouter à la vie , à la liberté , à l'aventure .je m'équipais pour une longue randonnée à travers le désert et les gorges désertique d'une région très peut hospitalière ou il ni avais àme qui vive .

avec un sacs à dos remplis de vivre et d'eau pour quatre jours ,je pensais que cela suffirait pour cette petite escapade en solitaire .j'avais un plan de la région et une boussole ,un poignard , un chapeau de brousse

et une confiance en moi total , une grande forme physique et un moral à tout épreuve .

la première journée de marche fut agréable malgré un soleil implacable et une petite brise qui ne me rafraichissait pas .

la nuit allait tombé , je m'arrêtais pour dresser le camps .en fait , cela fut vite fait car , après avoir avalé quelques vivres et quelques gorgées d'eau tiède , je m'enroulais dans mon sacs de couchage car les nuits était fraiche ce qui était un véritable contraste avec la chaleur étouffante de la journée .

je n'arrivais pas à m'endormir car ,dans la nuit étoilé ,j'admirais cette immensité de l'univers dans un ciel limpide et sans limite ainsi que la voie lactée qui s'étendait à l'infinis dans la nuit et les profondeur insondable du cosmos .

cela faisait trois jours que je marchait et , je pensais faire demis-tour .j'avais atteint une canyon parsemé d'une végétation rabougris qui tentait de survivre dans ce paysage sec et sans vie apparente .

soudain , le ciel s'obscurcie et la tempète de sable s'abattie sur moi avec rage et colère aveugle .

je m'abritai derrière un rocher , tant bien que mal en me protégent du sable qui s'infiltrais partout , surtout les yeux , les oreilles et la bouche .

la tempète dura des heures ,je pensais qu'elle ne s'arrêterait jamais .

enfin ,tout redevins calme et je m'apperçus que le sable m'avais recouvert en grande partis . le paysage avait changé , je ne reconnaissais plus rien .

je cherchais fébrilement mon plans et ma boussole en vain , mon sac à dos avait disparus sous le sable .

je grattais partout pour le retrouver car , c'était une question de vie ou de mort .

le finis par le retrouver .le vent violent l'avait emporté plus loin mais ; plus de boussole et de plan ... j'était perdus .

pendant deux jours ,je cherchais une direction à prendre pour revenir à la civilisation mais ,j'avais l'impression que je me perdais de plus en plus .

mes vivres étaient épuisé et , il me restait un peut d'eau dans l'une de mes gourdes . je grimpais sur un rocher pour voir un peut plus loin et , soudain , je glissait et tombais de cinq mètres sur le sol .

une douleurs très vive dans m'à cuisse me fis pousser un cri de bète blessé .

je ne pouvais plus marcher . je me trainais derrière un rocher pour ètre à l'ombre et faire le bilan de la situation .

plus de vivres , presque plus d'eau , blessé à la cuisse ,et perdus sans plan ni boussole dans une région ou il ne passait personne .mes chances de survie étaient presque nul .combien de temps me restait-il à vivre , deux jours ,cinq jours ?

je tentait de ne pas y penser .la nuit était tombé , j'avais froid et soif .le ciel étoilé était toujours aussi beau mais ,je ne voyait plus sa beauté comme les premieres nuits .

deux jours de passés , monotone et sans espoirs et m'à cuisse qui enflait et me faisait beaucoup souffrir.au crépuscule ,je vis un serpent se diriger ver moi .il était très venimeux et moi , je ne pouvais me lever .

surement une vipère à corne .il s'arréta un mètre de moi et me fixa de ses yeux cruelles .

sa langue fourchu tentait de capter mon odeur pour savoir si j'étais une proie ou un ennemi .

j'avais eu la chance d'avoir retrouver mon poignard , je le tenais dans ma main droite et attendait en fixant le serpent .il se mis à glisser ver moi et , avec une rapiditée que je ne me connaissais pas , je lui tranchais la tète .

ce simple effort m'avais épuisé , sans compter la tension nerveuse . malgrés une certaine répulsion , je dévorais le reptile tout cru en prenant la précaution de retirer la glande à venin .

sept jours que j'étais partis et trois jours que je gissais là .je commençais à délirer .je me croyais assis à la terrasse d'un restaurent , buvant une boisson bien fraiche et ... la triste réalité me ramenais à mon triste sort sans espoirs .

puis , sentant la fin venir , je repensais à mes proches et ceux que j'aimai et qui ne me retrouverais jamais et , dans un siècle ou deux , un aventurier égaré ,retrouverais peut-être mes quelques os blanchis par le soleil de plomb du désert .

épuisé , je perdais connaissance et pénétrais dans l'anti-chambre de la mort .

j'ouvrais les yeux et , reprenant lentement mes esprits ,je m'aperçus que j'étais allongé sur un lit au draps blanc dans une chambre d'hôpital .ma cuisse était recouverte d'un pansement et je ne souffrais plus . un tas de truyeau étaient branché sur mon nez et m'à poitrine .

une femme habillé d'une blouse blanche entra et s'approcha de moi .

- vous avez repris connaissance , c'est très bien et ...

- ou suis-je ,que m'est-il arrivé ?

- ne parlez pas et reposez vous , je reviendrait vous voir avec le docteur .

- pourquoi , je veut savoir .

- hé bien , vous revenez de très loin , la mort n'à pas voulu de vous .une caravane qui avait été déroutée par la tempète de sable vous à trouvez à moitié mort dans cette région ou ils ne passent jamais habituellement .

cette histoire est une fiction .

bonne soirée

Ce qui m'interpelle surtout, c'est le jeu de mots dans le titre, en fait. C'est au fond une curieuse association, mais tout à fait pertinente pour qui erre dans un désert, comme vogue un homme perdu à la mer.

bonjour jedino

oui ,tu à raison car , je suis partis pour le titre , des dromadaires que l'on dit ètres les vaisseaux du désert .

de la à naufragé du désert dans cette mer de sable , il ni avait qu'un pas et , je l'est franchit .

bonne journée